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Trahisons ou corruptions ?
lundi 28 septembre 2009, par
De rares investigations auxquelles notre modeste organe (POPULISCOOP) a tenté de participer en osant questionner des observateurs et autres sources, c’est le revirement d’un pays africain et d’un pays arabe qui sont à l’origine de la non-élection de Farouk Hosni.
L’élection de la bulgare Irina Bokova à la tête de l’Unesco, devant l’égyptien Hosni Farouk, n’a pas encore révélé ses dessous. Les tractations qui ont débouché par l’écartement d’un favori pronostiqué depuis des mois et même des années, ne sont pas encore rendues publiques. Et peut-être, sans aucune certitude qu’elles seront révélées, lors de l’installation –début de l’année 2010- de la nouvelle responsable de cette organisation onusienne de la science et de l’éducation. Elles seront connues et feront scandale. Mais comment cet échec a vraiment eu lieu ?
Aux premières appréhensions, c’est la mobilisation contre et pour ses propos de retirer les livres israéliens des bibliothèques de son pays qui est à l’origine de son éloignement. Et pour lesquels il a tenté à maintes reprises, sans réussir à se faire entendre, de se repentir car ils ont été considérés comme antisémites. Et là les lobbys sionistes ne restent pas les mains croisées et ne pardonnent pas. En effet ça a constitué le sujet essentiel pour assigner les pays votants, sous la pression des alliés de l’entreprise colonialiste, qu’est Israël, à lui tourner le dos. Il a été dépassé de seulement 2 voix par la candidate bulgare, alors qu’au premier tour, il était question de 29 voix chacun. Cette égalité a même suscité l’idée d’un tirage-au-sort.
D’après le résultat obtenu la stabilité au Proche-Orient n’est pas encore dans la première préoccupation des Européens et des USA, car l’Egypte est le premier pays à avoir signé des accords de paix avec Israël. De même pour le projet UPM (Union Pour la Méditerranée) qui sert plus à mettre Israël au centre de cette démarche initié par le président français, Nicolas Sarkozy connu pour être diplomatiquement un impénitent et grand protecteur de l’entité sioniste, l’Egypte a joué un grand rôle. Mais cela ne suffit pas… Il est question plus de mettre le monde arabe hors des champs d’influence onusien et des échanges diplomatiques internationaux.
Comment donc cet échec de l’égyptien a été opéré ?
D’après de rares investigations auxquelles notre modeste organe (POPULISCOOP) a tenté de participer en osant questionner des observateurs et autres sources, c’est le revirement d’un pays africain et d’un pays arabe qui sont à l’origine de la non-élection de Farouk Hosni. Il est impossible de déterminer actuellement lesquels, chose que nous saurons avec le premier mois de l’année 2010. Et peut-être jamais.
C’est carrément une trahison de pays qui avaient officiellement des opinions complètement inattendues de la sorte... Mais bien sûr lesquels ?
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