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Propagande pour le changement climatique, un devoir de journalistes.

Alerter par engagement trouve toujours surdité et de hauts murs d’entraves.

samedi 13 novembre 2021, par N.E. Tatem

Un journaliste couvre un fait artistique, comme un spectacle, une exposition ou une conférence différemment que comme il le fait avec un match de football. L’expérience du COVID-19 a montré que la désinformation existait bien au-delà et avant la pandémie, pour servir la médiocrité et même la délinquance. Pour le changement climatique, la menace s’approche et accélère son arrivée. Ce n’est pas uniquement de l’empathie que nous devons aux espèces en extinction, mais il est question de notre survie.

Nombreux journalistes se sont assignés de donner de l’intérêt dans leur recherche sur les événements météorologiques extrêmes tels que les sécheresses, les vagues de chaleur et les tempêtes. Et ils tentent de comprendre si et dans quelle mesure ces catastrophes naturelles sont rendues plus probables ou intenses en raison du changement climatique.

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Mais ce n’est pas acquis. Car ils sont encore une fois de plus catalogués être serviles à la propagande alarmiste qui est aussi indiquée plus à la mode, qu’une prévention qui inquiète. Oui les données matérielles prédisent, pour les organes de presse, la prise de conscience des faits quotidiens couverts par les médias. Les choses du terrain sont clairs et visibles.

Des journées de chaleur intense font inéluctablement exploser des incendies, quand elles s’étalent en semaines. Maintenant il est presque ridicule de rendre compte des calcinations des végétaux, comme en Kabylie en 2021 et en Californie où les dévastateurs feux frappent fortement depuis ces dernières années, sans que les reporters ne mentionnent la crise climatique comme cause sous-jacente.

Telle une nouvelle école ou une chaire des disciplines déclenchées dernièrement, à l’instar de la « data-science », l’écologie traverse plusieurs corporations, métiers, organisations politiques ou culturelles. Ainsi qu’elle pénètre en immersion dans les esprits en idéologie ou même religion ou philosophie de la vie, l’omniprésente consigne du climat troublé par l’humain mobilise tous. La jeunesse se rebelle aussi pour ça !

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L’urgence climatique questionne aussi les journalistes. Ils sont encore accusés d’être activistes pour cela. Si l’alerte des scientifiques a fait une mobilisation consciente de la jeunesse, elle a aussi constitué un sujet de mise en garde pour certains médias, dont le personnel a pris position sur l’empreinte carbone de chaque élément de la vie. Y compris de leur travail quand ils se déplacent dans le Monde par avions. Y compris chaque contributeur et salariés de la production médiatique songe à son impact climatique.

S’il est encore difficile de trouver des journalistes spécialisés en matière de climat et l’écologie en général, d’autres blocages existent autrement. Parmi lesquels les observations des activités des entreprises, il y a le constat du silence douteux de la part de la presse. Une paresse attribuée au manque d’expertise en matière de climat, qu’il faut préciser que ce n’est la même rubrique que la météorologie.

Les ressources des salles de rédaction de la presse, que la publicité empile dans la communication pour faire la réclame des produits, laissent peu de chance aux médias de dénoncer les entités impactant l’environnement et la nature. La couverture des questions climatiques et des effets désastreux comme les incendies se passe dans les localités et les infos des régions. Ce que sont ici les infos alternatives négligées par les médias lourds et traditionnels.

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Il n’y a pas assez de clarté sur la façon de faire la distinction entre le journalisme et l’activisme, dans la position vis-à-vis du climat. Comme pour protéger les libertés et maintenant il faut défendre la planète des pollutions. Les reporters sur le climat sont maintenant une tendance qui s’apparente à une avant-garde alliant l’importance de la revendication de la jeunesse couplé à celle d’exposer les alertes des scientifiques.

Les jeunes générations militent pour leurs jours prochains. Des journalistes qui connaissent leur public, s’adonnent à lui communiquer ce qu’il aime. Cette notion de marchandise du journalisme est dangereuse. Ainsi ils évitent d’agacer les entreprises et les autorités qui leur donnent de la publicité et d’autres financements.

Cette pratique des médias est contraire à l’éthique des sociétés humaines. Et elle doit être tenue pour responsable des dégâts irréparables que subiront les communautés, dont la vulnérabilité due à l’indépendance des influences et les pressions. Ici les communautés du Brésil sont comme les espèces détruites !

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Voir en ligne : Changement Climat

     

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