Accueil > Humanité > Monde, actualité internationale, politique, relations, diplomatie, (...) > écologie, planète, mer, sauvegarde, générations futures, avenir, verts, (...) > Les nouvelles énergies en Afrique, où un booster de l’émergence !
1ère partie : La transition avec et dès le développement du continent.
mercredi 10 novembre 2021, par
C’est avec un effort de Bill Gates, le milliardaire philanthrope connu dans le monde pour Microsoft qui s’est aussi intéressé à la pauvreté et de développement. Pour le continent africain il s’est consacré à la santé et l’hygiène. On lui doit l’idée que les besoins énergétiques profonds des pays en développement devaient être satisfaits sans libérer de nouveaux gaz à effet de serre.
2ème partie en ligne : L’Afrique s’active à s’éclairer au temps de la transition.
Lire la 2ème partie :
La transition énergétique en Afrique serait plus opportune pour la planète. Car l’émergence économique table d’emblée sur des ressources moins nocives, en surfant sur la vague actuelle qui alerte dans le Monde entier. Pour un continent qui tente d’élargir l’électrification à ses moult populations, le passage directement à une énergie verte est un développent approprié.
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Comme il y a diverses opportunités aussi perfectibles les unes que les autres, les possibilités sont moins connues, mais le continent refuse d’être à la traine. Ce qui est dangereux pour le continent et la planète, c’est l’incompétence des décideurs qui empêcheraient d’aller vers des énergies vertes, à l’orée même de l’imagination d’un programme de développement.
La situation de transition énergétique en Afrique est aussi native que l’essor économique. Dans la mesure où, selon l’International Energy Association, plus de 590 millions de personnes n’ont toujours pas accès à l’électricité en Afrique, l’accès à la lumière passerait par des modes nouveaux et sans impact sur l’environnement. Sans des consignes claires les avancées se feront sans innovation.
Dans l’ensemble des impératifs énergétiques qui permettent de lutter contre le changement climatique qui s’emballe, l’Afrique chercherait donc à amorcer son émergence dans des conditions conformes à l’avenir saint pour l’humanité et la planète. Toutes les options d’une industrie et d’une alimentation des populations conformes aux préoccupations, ce qui n’est une conversion.
– Eolien : Selon la Banque mondiale, les premiers marchés de l’hydrogène identifiés sur le continent africain sont Djibouti, l’Égypte, l’Éthiopie, le Maroc et l’Afrique du Sud. Ces pays sont déjà avec Siemens Gamesa le pionnier de l’éolien, dans divers projets. L’hydrogène vert implique l’utilisation d’énergies renouvelables pour séparer l’eau en hydrogène et en oxygène par électrolyse. Cette technologie est actuellement plus chère mais offre une méthode de production d’hydrogène à très faibles émissions et les coûts sont susceptibles de baisser à mesure que l’industrie décolle.
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– Voitures électriques : Alors que les pays industrialisés ont déjà commencé à se fixer des objectifs pour éliminer progressivement les voitures à essence et diesel, qu’en est-il des Véhicules électriques en Afrique ? Du Cap au Caire, les startups de technologies vertes mènent la charge de l’Afrique vers la mobilité électrique, une intervention essentielle dans la lutte contre le changement climatique entraînée par une marée mondiale dans l’utilisation des véhicules électriques (VE). Quelque 19 pays ont alloué une partie de leur financement du Fonds Des Nations Unies pour l’environnement pour la mobilité électrique. Un investisseur libyen est maintenant leader des stations de service pour alimenter les véhicules en électricité.
– Solaire : Ce secteur a une particularité qu’il faut rappeler. C’est qu’il est biphasé. D’une part le soleil capté par l’unité familiale ou micro-utilisateur. Et de l’autre celui industrialisé qui est un investissement. Il s’est développé à peu près parallèlement à l’énergie éolienne. L’énergie solaire en Afrique est boostée par la baisse des coûts des équipement qui entraîne l’attrait dans ce dernier créneau. L’Afrique du Sud et l’Égypte ont fait le plus de progrès, avec 2 495 MW et 1 465 MW introduits respectivement fin 2020. Le Maroc vient ensuite avec 1 315 MW, alors qu’il y a une forte baisse de l’Éthiopie à la quatrième place avec 324 MW, du fait des progrès voisins. Selon le rapport African Solar Outlook 2021, publié par l’Africa Solar Industry Association (AFSIA), neuf autres pays africains ont prévu au moins 1 GW de capacité solaire : Algérie, Zimbabwe, Zambie, République démocratique du Congo, Angola, Namibie, Éthiopie, le Maroc et le Botswana. Dans chaque cas, l’accent est mis sur les projets de production à grande échelle.
Dilemme pour le continent africain est frappant. Cette contradiction est cruciale, car des pays africains découvrent des ressources énergétiques fossiles, ce qui est une richesse qui se vend encore. Mais les appels de l’avenir de la planète les confrontent à la problématique écologique mondialisée. Cette équation où résonnent les tambours de l’alerte du réchauffement climatique, mérite notre sujet qui est la 1ère partie.
Il nous reste à soulever dans la seconde partie :
– Le renouvelable.
– Le nucléaire.
– L’hydroélectrique.
– Le charbon.
Vous remarquez que le gaz et le pétrole ne sont pas à plaider pour l’avenir, alors que l’autre fossile, le charbon, est tellement accessible qu’il est convoité.
2ème partie en ligne : L’Afrique s’active à s’éclairer au temps de la transition.
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