Accueil > Humanité > Monde, actualité internationale, politique, relations, diplomatie, (...) > écologie, planète, mer, sauvegarde, générations futures, avenir, verts, (...) > Une technologie de capture du CO² avec des aspirateurs, pour sa liquéfaction.
Au cycle final d’une émission de gaz, sa récupération de l’atmosphère.
samedi 26 juin 2021, par
Les besoins humains se multiplient, alors que la démographie continue de croître et les émissions de gaz néfastes à l’atmosphère sont aussi en augmentation effrénée. Une technologie nouvelle, DAC (capture directe d’air), est actuellement déployée parmi tant d’autres, pour lutter contre le réchauffement climatique et surtout elle est chargée d’absorber le CO² répandu par diverses sources.
Sa technologie est précise par sa simplicité. Elle consiste en système utilisant un ventilateur pour aspirer de l’air. Ce dernier est ensuite exposé à un mélange liquide qui lie le dioxyde de carbone. Là il subit un emprisonnement qui lui administre un raffinement supplémentaire à l’arrêt. Le liquide obtenu est transformé en pastilles de carbonate de calcium.
Quand les déchets sont un trésor de matières engendrant des richesses.
16 mai 2021
L’autre phase du traitement est plus industrielle aussi. Lorsque les pastilles sont exposées à une température d’environ 900C, elles se décomposent en un flux de CO2 et d’oxyde de calcium. Puis le nettoiement élimine les impuretés de l’eau. À ce stade, il peut être pompé sous terre et enterré de manière permanente, vendu à des fins commerciales ou même transformé en carburant liquide.
Il s’agit d’une grande installation, première du genre dans le nord-est de l’Écosse, est capable d’extraire des quantités importantes de dioxyde de carbone de l’air. Forcément quand l’idée est inconnue on se demande que peut être cette autre action de nettoiement de ce qu’on respire ? S’il se concrétise, ce DAC est 1er Europe par son amplitude et selon sa configuration finale, il pourrait être la plus grande au monde.
Alors qu’il est encore dans sa phase précoce, le projet conjoint entre la société britannique Storegga et la société canadienne Carbon Engineering développe une louable innovation. L’annonce marque le début de l’ingénierie et de la conception de l’usine. Une faisabilité étudiée et, si tout se passe bien, l’installation serait opérationnelle d’ici 2026.
Alerte & colère pour l’effet du plastique sur l’environnement
8 janvier 2021
À l’heure actuelle, il est prévu que Carbon Engineering licencie sa technologie à la société britannique Storegga, qui sera responsable du choix du site et de la construction de l’installation. Mais très peu de peu de pays sont engagés à accueillir cette infrastructure. Selon les deux sociétés concernées, le nord-est de l’Écosse présente des avantages significatifs pour ce type de technologie.
D’abord localiser l’usine très près que possible des infrastructures, donc sans transport, de stockage, permet de supporter de plus en plus les coûts de déplacement du carbone capturé qui est déposé en mer ou sous terre. L’Ecosse a une main-d’œuvre qualifiée de l’industrie pétrolière de la mer du Nord. Elle possède le type de compétences nécessaires pour construire et exploiter une installation DAC.
Par ces temps économiquement moroses, les promoteurs disent que jusqu’à 300 emplois seraient créés pendant la phase de construction. Et nombreux obstacles se dressent, notamment la planification qui est du domaine des décideurs ainsi que la mobilisation des finances bloquent. Comme le site accueillant l’usine qui ne sera sélectionné que l’année prochaine.
La pression continue en matière de dégradation Groupe d’experts intergouvernemental sur l’ évolution du climat (GIEC), si le monde veut rester en sécurité, la hausse des températures mondiales doit être maintenue en dessous de 1,5° C d’ici la fin de ce siècle.
Voir en ligne : Les articles d’études & recherche scientifiques...
Recommander cette page |
|