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Front intérieur en Algérie pour brimer la relève générationnelle.

L’ancienne-garde & la bureaucratie allient incompétence & corruption.

jeudi 31 décembre 2020, par Djamel Damien Boucheref

Ok pour le renforcement du front intérieur. Mais est-ce pour libérer les 100 prisonniers d’opinions à qui il est reproché d’être opposés à Tebboune, de démoraliser les militaires et de fomenter des hostilités contre les bureaucrates qui ont ruiné le pays ? Ou pour faciliter le remplacement des gangs du faux-FLN qui ont aidé le clan Bouteflika, par celui qui isole le peuple Algérien du reste du monde ?

Le conflit générationnel que l’ancienne garde algérienne a fomenté contre sa relève n’est pas seulement politique. Il est économique dans la mesure où les castes qui s’accaparent la rente sont descendantes des « tuteurs historiques ». Voire des tricheurs qui ont gouverné et ruiné le pays. Entre gardiens du temple et récalcitrants, le problème est particulièrement sociétal, quand le programme nationaliste est devenu confessionnel, aliénant sa qualité de libérateur.

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24 décembre 2020

Il n’y a aucun algérien qui vous parle des faits d’actualité et de la vie politique, sans puiser l’essentiel de son discours de l’islam ou du rôle de l’armée. Ces deux supposées références donnent le tempo de la dialectique de la violence qui hante la population marquée de moult brutalités. Alors que la conjugaison démocratique reste clanique, régionalisée et malheureusement une aventure sans lendemain.

L’Algérie est affermie de son passé et ce que la nouvelle lignée actuelle veut changer. Cette mémoire se détermine de la forte incidence de la guerre 1954/62. Alors le pays est ancré dans de biens plus ancestrales genèses et d’antiques mémoires liées à l’Histoire universelle. Les tenants de l’identité étroite et de la stagnation des « constantes », demeurent farouchement en divorce avec l’humanité. Et redoutent les révoltes de leur descendance.

Ce qui sert grandement aux rentiers devenus de vrais prédateurs des richesses collectives, en corrompant les militaires avec la distribution des privilèges via l’administration tenue par les énarques. Les revanchards de la mémoire indiquent en la France leur malheur, pour se dédouaner de la faillite et de la décadence qu’ils ont bien organisée. Même la cause réelle et préjudiciable du terrorisme obscurantiste sorti des carcans bureaucratiques est attribuée à une main étrangère.

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7 décembre 2020

Alors que les islamistes parlent "d’algérianisation" de leur théologie et de leur djihad. Quand en 1988 le recours, en tant que premier Etat du Monde, à la légalisation des partis islamistes, les bureaucrates sectaires qui ont placé A. Tebboune, ils avaient opté au rapatriement des criminels qu’ils avaient envoyé en Afghanistan. Nombreux terroristes algériens portaient des noms de guerre comme Tayeb el-afghani à Guemar, Djaafar à la Casbah d’Alger et...

Bien avant la Turquie et d’autres pays, sous un misérable prétexte populiste dit utile à l’inclusion de tous, mais pour le blocage de la modernité, l’Algérie est l’inventeur primaire et originel de l’islam politique. Faut-il encore mesurer la conséquence de la cruauté de la « décennie noire » ? Ou bien mesure-t-on les conséquences sur la région dont la crise du Sahel, que les islamistes locaux ont fomenté en maquis sahariens ?

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12 décembre 2020

Des manifestations à grande échelle, menées par de jeunes Algériens dès 2019, ont évincé le parti "faux-FLN", tenu par des usurpateurs, du pouvoir en 2019. Le « Hirak » est, en cette fin d’année 2020, comme une prolongation du « printemps arabe ». Duquel la pléthore de féodalités régionales a préféré réanimer les conflits communautaires. Et les despotes, tel que Bashar en Syrie, ont encore alimenté la négation des alternances comme même en Russie ou principalement en Algérie !

Plus d’un demi-siècle de mauvaise gestion, sépare la mémoire de la colonisation terminée en 1962. Mais ce a profondément été inspiré des pirates barbaresques et des corsaires sarrasins qui ont opéré jadis depuis les ports algériens, reste comme un segment de la mémoire trahie. Les respect du Monde pour le passé de la tâche historique de décolonisation est maintenant ruiné par la corruption qui emprisonne actuellement 100 citoyens pour leurs opinions.

Ce qu’ont fait les dirigeants issus du nationalisme, est pire que la tradition post et précoloniale. Ils ont évité les universitaires jugés rebelles et ont aidé les bureaucrates issus de l’ENA (Ecole Nationale d’Administration). Les gouvernements corrompus et ineptes composés de bureaucrates servant des dirigeants autocratiques persistent encore. Ils aspirent à maintenir le pouvoir pour servir leurs enfants. Et pourquoi pas de cocaïne !

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