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COVID19 déclaré pandémie par l’OMS par la faute des irresponsables.

L’humanité, ses politiciens et des lanceurs d’alertes...

mercredi 27 mai 2020, par Jaco

Par la voix de son 1er responsable, Ghebreyesus, l’OMS a diffusé son bilan qui réactive une forte alerte mondiale. "Le nombre de cas en dehors de la Chine a été multiplié par treize et le nombre de pays touchés a triplé..." Les choses empirent alors que la recherche des nouveaux cas n’est toujours pas facilitée. L’épidémie semble ralentir en Chine et accélérer en Italie, Iran et de plus en plus de cas aux États-Unis.

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Mercredi, COVID-19 a fait 4 585 morts et infecté 124 775 personnes dans le monde selon les deniers chiffres de l’OMS. Dénonçant l’inaction face au « COVID-19 » qui se propageait avec une dissémination transfrontalière. Les journalistes la comparent sans gêne à la montée du réchauffement climatique et la continuation des effets de la pollution pour lesquelles la mobilisation est modeste, voire elle souffre du déni.

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C’est parce que les politiques, comme à leur habitude, font la sourde oreille. Comme il est constaté, tel pour le déni pour le changement climatique, les lenteurs bureaucratiques qui ne sont pas le propre d’un pays. Moult nations n’ont pas pris avec promptitude des précautions…

Par exemple, c’est en janvier que le 1er cas a été détecté aux Etats-Unis, mais peu de réactions. Nous avons aussi entendu parler du médecin chinois décédé, qui lui n’est pas une personne à vulnérabilité et n’avait pas de morbidité, c’est-à-dire qu’il n’était pas atteint d’autres maladies. Il a été d’abord désavoué, puis honoré comme un héros national.

En attendant que l’alerte ne tombe de du pays de Mao, avec une dynamique insoupçonnée, les autorités dans d’autres pays tergiversaient, non pas seulement par négligence, mais parce qu’elles sont désarmées du bon conseil. Maintenant l’inversion en Chine du fléau et la propagation dans d’autres continents où les détections s’accentuent du fait d’une infection d’ampleur inconnue.

Le Coronavirus n’est pas anodin, une épreuve et une opportunité à de larges pans de l’humanité pour qu’ils appréhendent ensemble ou même pour chaque personne cette maladie et ses conséquences. La nature des coronavirus zoonotiques du passé, ceux venus des animaux aux humains, comme le SRAS et le MERS, nous intéresse plus que jamais, surtout nous de la presse.

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Comme nombreuses lourdes pathologies, l’hypertension, le diabète et les maladies cardio-vasculaires comme des facteurs aggravants la maladie, d’après l’étude préliminaire de Chine. Depuis l’apparition, le 20 janvier est la date de la déclaration officielle de l’épidémie, les constats sont dressés à partir du virus, notamment les perspectives de mutation.

Tout a commencé avec un homme de 38 ans de Wuhan, en Chine, qui a été admis à l’hôpital central de Wuhan (Tongji Medical College), le 20 janvier 2020, avec une histoire d’un jour de fièvre sans vertiges, toux et maux de tête. Sa température était de 38,1°/C alors que la moyenne est de 36.5. La persistance des symptômes, malgré les traitements prodigués, a alerté et depuis le risque d’une pandémie mondiale.

Puis le 12 février 45 204 cas de coronavirus 2019 (COVID-19) ont été confirmés et 1116 décès avaient été signalés dans 25 pays. A la même date, la majorité des cas, tous les décès un se sont produits en Chine, malgré les efforts déployés dans le pays pour arrêter la transmission en fermant les transports, en mettant en quarantaine des villes entières et en imposant l’utilisation de masques faciaux. Au moment de la rédaction du présent rapport, plus de 110 000 cas avec plus de 3000 décès.

L’approche des médias a maintenant complètement été adaptée au sujet et des méthodes de travail ont été montrées aux journalistes, afin de mieux avertir les populations et aider les scientifiques. Les médecins se posent la question des tests de dépistage qui s’effectue d’une manière aléatoire et inégale. Or seuls les personnes ayant les symptômes doivent, en priorité, subir le dépistage. Or l’incohérence est de voir des contrôles médicaux exigés par les citoyens, sans nécessité absolue.

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