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Les vols d’identité servent aux fraudes au nom d’autrui.
samedi 28 décembre 2019, par
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La prise de données est toujours possible et fréquente sur Internet. Les comptes des utilisateurs qui ne sont pas bien protégés par leurs propres détenteurs, sont donc pris par d’autres internautes souvent malintentionnés. La question des mots de passe, dits forts, conditionne l’évitement de dommages sur ces éléments individualisés. Précisément avec ce sujet, je soulève le cas de perte des informations d’identification sur le Net.
Lourd bilan, en 2019 en matière de violation de ces indications qui peuvent servir dans bien des domaines et ont des conséquences souvent coûteuses. C’est une perte qui permet la prise d’activités importantes et ou même les anodines entraînent à de pesants dangers. De telles actions de piratage ne sont pas toutes dangereuses ou coûteuses. Mais laisser visibles et à tous vents, ses identifiants, est une vulnérabilité qui change au grès des présages de l’auteur qui prend possession de telles datas.
– L’analyse des données manque de compétences, innovation ou formation ?
mardi 1er octobre 2019
Une vraie question, non pas de sécurité purement délinquante mais de l’ordre de changement d’époque et de culture humaine, entre dans les mœurs et les comportements sur la toile du Web. Avec Internet, les datas sont presqu’ouvertes, quoiqu’on fasse. La data-science permet de les manier pour des profits, pour l’anticipation et la recherche bien affinée.
Alors que le nouveau réflexe, de l’augmentation des pratiques en ligne, du commerce et des forums sociaux, accélère la tempête des détournements. Donc la formidable sympathie des contacts sociaux, qui brise le confinement des êtres dans la solitude, n’est pas si rose que comme elle semble être.
<doc1458|right> L’évolution des conversions frauduleuses des datas en 2019, selon l’expertise de « Cyber-Risk-Analytic » (lire document), un collectif de geeks qui analysent et suivent ce domaine, est un risque numérique grandissant. 5183 violations ont été signalées au cours des 9 premiers mois de l’année 2019 qui se termine. Elles révèlent 7,9 milliards enregistrements, qui sont les traitements qui peuvent être souvent criminels. Les pénétrations sont suivies d’accaparements.
Les premières sont les cas de prises massives de renseignements d’usagers, produites sur des sites. Et les seconds concernent les pièces réellement mises en un stockage inconnu qui, originellement, ne leur ont pas été destinés. Le rapport intitulé « Risk Based Security », diffusé en novembre, fait état qu’avec 6 violations il y a eu plus de 100 millions de mise en causes.
Malgré une prise de conscience accrue des "cybermenaces" et des milliards de dollars d’investissements en "cybersécurité" ces dernières années, la grande majorité des organisations restent plus vulnérables que jamais aux violations.
Avoir ces données d’autrui n’est pas si utile par ailleurs pour diverses inopportunes détentions, qui font un délit. Cependant elles peuvent être fort attractives au piratage, étant la principale raison de la plupart des violations encourues. En comparaison avec le 3ème trimestre 2018, le nombre total de violations a augmenté de 33,3%. En conséquence celui des documents exposés à ces attaques a plus que de doublé. Il est en hausse de 112%.
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jeudi 12 décembre 2019
Dans les pays à forte densité du trafic où l’utilisation de compte d’usagers est quasi quotidienne et répétitive, les services médicaux, les détaillants et les entités publiques ont connu le plus de violations. Alors que les secteurs liés aux entreprises qui ont plusieurs services combinés, tant pour la gestion interne que pour les relations clients, leurs affaires générales restent bien le type d’organisation le plus profané.
Bien que le paysage des brèches ait changé radicalement depuis le temps où on avait commencé à exiger des inscriptions pour accéder aux sites Internet, certaines vérités restent inchangées. L’accès non autorisé aux systèmes (hack dans ce rapport) reste le type de violation par nombre d’incidents. La majorité d’entre elles proviennent toujours de l’extérieur des entités attaquées.
Bien que les événements d’initiés, revenant aux services endogènes des entités, restent exceptionnellement préjudiciables. Tous les acteurs malveillants recherchent continuellement des opportunités de gagner rapidement de l’argent. Une différence peut être dressée pour les frappes internes ou les intrusions venant de l’extérieur.
Les premières servent des intérêts souvent étatiques, comme nous l’avons diffusé dernièrement sur un cas de Twitter. Et les secondes, ce sont des malveillances qui accèdent aux systèmes ou à des bases de données et des services qui sont mal configurés. Ils laissent donc des millions de documents, dont ceux sensibles librement accessibles. Ce qui est dû à la faiblesse humaine de ne pas bien prendre des mesures des cas de gravité.
Les indications de Cyber ??Risk Analytics. A consulter ICI. Le site est dérivé d’un moteur de recherche propriétaire et de l’analyse approfondie de milliers d’incidents de violation de données signalés et des mesures à l’origine des cyber-expositions.
6 851 | Violation YTD 2019 |
44,490 | Les violations de tous les temps |
3,310,874,676 | Emails compromis |
15.185.303.596 | Records YTD 2019 |
39 858 576 441 | Records de tous les temps |
100 104 | Organisations surveillées |
Voir en ligne : Notre dossier Datas ¤ Données
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