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Un mouvement sans organisation est donc sans objectif consensuel.
samedi 14 décembre 2019, par
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Il n’est pas de notre ligne de commencer son article en donnant une liste de manipulateurs. Ils n’ont pas aidé la population algérienne, et encore moins ses institutions dont l’armée, à élire dans la joie un président. Lequel doit répondre adéquatement aux exigences de l’étape. Voire, ces intervenants ont plus court-circuité la démarche collective d’une élite, certes anonyme, ayant pu relayer, depuis les réseaux sociaux du Net, l’aspiration d’arrêter la prédation, en chassant d’Al-Mouradiya le gang des Bouteflika.
Désigner ces personnes, aux capacités de nuisance certaines, qui essaient, sans réussir, de dépecer l’Algérie, après avoir souillé de crasses politiques le Hirak, est un exercice inhabituel pour nous. A ce stade du résultat de l’élection du 12 décembre, nous nous remettons à une pédagogie pour éclairer le sentier et pour négocier le maintien du mouvement social avec sa doléance de 2ème république.
– Données du climat favorables au reboisement en Algérie.
vendredi 13 décembre 2019
Cependant, Tebboune est passé à la tête du pays, alors que même les preuves de trucage pour l’introniser ne sont pas établies. Donc la question : de qui la non-convergence des forces de changement et d’alternance qui ont travaillé depuis plus 9 mois, car elles sont disparates et ne sont pas encartées, a subi des influences négatives ? Donc nous, nous prétendons dénoncer les auteurs, les-voici :
– Amir-DZ
– Abdou Semar
– Mouloud Boumghar
– Hichem Aboud
– Nicolas Beau
– Said Bensedira
– Bernard Henry Levy
– Mohamed Sifaoui
– Luis Martinez
– François Geze
– Larbi Zitout (déserteur de l’armée)
Coup dur pour la démocratie en Algérie. Le seul tour de la présidentielle s’est déroulé dans un climat de provocations, de désinformations et d’insultes. Les citoyens avides de bien-être et de liberté se retrouvent, encore cette fois, oubliés comme des vaches dans les près regardant passer les trains. Ils sont désormais présidés d’un bureaucrate, pas du tout différent du sérail dont il est l’idoine rejeton.
Ayant roulé sa bosse à désuétude, pour un pays doué de son peuple et doté de bonnes ressources, Abdelmadjid Tebboune est arrivé à son but. Et avec lui un esprit de réforme inachevée. La crise et le conflit légèrement dégonflé, car la phase de défiance que le Hirak de février 2019 a engagé, a plus orienté le pays sur la rupture avec l’autocratie de Bouteflika assiégé par un gang de fratrie sans vergogne. Le reste à faire est attendu.
Aussi, après le 12 décembre, les masques sont tombés, pour révéler les gueules inacceptables des faux dévots. Aussi les médiocres mains incapables de lier l’ancien du nouveau, même si la continuité entre les deux n’a nul besoin de grand passionné, ont supposé... Oui la lecture de la situation algérienne, à la lumière du Hirak, est maintenant appréhendable, en regardant tous les acteurs qui interfèrent.
– L’enjeu de l’écho médiatique du Hirak en Algérie.
9 décembre 2019
Populi-Scoop se fait même le devoir de citer les plus influents éléments qui agissent, d’une manière ou d’une autre, en espérant que les événements aillent selon leur tentation de dominer la conjoncture. Nous n’avons aucun but de les priver de tribunes ou de les censurer. Cependant à bien entendre leur hostilité à l’armée, on peut se demander que souhaitent-ils à ce pays ?
L’Algérie a vécu la décennie noire qui a failli, avec le vote heureusement annulé de 1990/91, la plonger définitivement dans la théocratie. Sans ses militaires, alors qu’elle est encore livrée au terrorisme islamiste, il y a une réflexion. Quand quotidiennement des preuves, de préparatifs, sont découvertes en casemates renfermant les attirails de criminalité islamiste, le songe est triste. Elle passerait une autre mauvaise phase, voulue des aventuriers qui se sont faits connaître à Sant-Egidio et avec des armes à l’intérieur du pays.
Or plus ces prêcheurs tirent vers un sens dangereux, ce qui est délibérément prémédité par d’innombrables cas, plus le péril se montre. Ceux qui se préconisent experts en « Algériologie », intellectuels en es-DZ et même meneurs révolutionnaires des faits historiques, fourmillent avec des idées fumantes. Ils rêvent de bombes, ce qui éclabousse leur théorie qui n’ont aucunement de prédictions avérées.
Nous organisons des sondages et enquêtes. Vous êtes invités à vous inscrire à nos panels. Merci si vous participez.
Voir en ligne : Notre dossier ALGÉRIE
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