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La science et l’économie des insectes comestibles sont au stade primaire et l’avenir les attend.
mercredi 9 octobre 2019, par
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Commençons avec ce détail de calcul épicier. Un kilo de viande bétail nécessite en moyenne plus de 10 kilos de nourriture. Alors que la croissance d’un kilogramme de grillons, l’exemple de variété d’insectes connues comestibles, ne vaut qu’environ 1,7 kg de nourriture. Comparativement le choix est incassable, il reste d’en avoir le délice tant attirant aussi.
Ce n’est pas uniquement l’information qui manque, quand l’ONU demande aux consommateurs de s’intéresser aux insectes dans son rapport datant de 2013. Il est vrai que l’organisation n’est politiquement pas assez crédible. Mais l’impact de son appel a eu l’effet escompté dans nombreux pays dits développés. Des startups sont nées depuis et leur avenir s’avère être très prometteur.
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27 septembre 2019
De publications et des recherches en informations non diffusées sur l’élevage et la consommation d’insectes, qui existaient depuis 2008, ont finalement été reprises. Certaines populations ne croient toujours pas quitter leurs obsolètes traditions alimentaires qui causent un désastre écologique. L’agriculture des petites exploitations se ruine, le sujet des insectes comestibles ouvre un innovant secteur économique qui se braque sur un large éventail de domaines thématiques.
Alors que d’autres régions du Monde, on fait encore « beurk » du dégout, en sachant, comme avec illustration de plats, qu’existent des consommateurs d’insectes. L’absence des journalistes « localiers » dans les grands médias, leurs rapports sur les innovations sont perdues. Même comblé, chaque fois qu’Internet a des connexions des régions pour un lien à la communication universelle.
La négligence de l’information est catastrophique. Pourtant une responsabilité publique. Comme elle émet aussi des alertes sur les corruptions et la bureaucratie. Ce qui rend la dangereuse et impacte ce déficit d’autres savoirs, sur les modes de vie exotiques qui restent inconnus. Y compris ceux décisifs dans la qualité de la vie des habitants et économiquement meilleurs, sont ainsi évités.
En Algérie par exemple les chameliers viennent juste d’être regardés par le ministère de l’agriculture, or ils ont tenu le Sahara peuple et depuis la nuit des temps fourni des protéines à la population. Pour ce pays qui détient le plus vaste désert du Monde, une carte de professionnelle a été mise en place en septembre 2019, pour encourager ce type d’élevage parmi la gamme animalière pratiquée.
– La perspective de régime alimentaire personnalisé selon la flore intestinale
lundi 27 août 2018
Le manque de nourriture en 2050 avec quelques milliards d’humains sur Terre, on s’y prépare. Les océans sont surexploités, le changement climatique causera des pénuries diverses dont celle de l’eau avec de profondes répercussions sur production alimentaire. Les insectes sont producteurs de protéines efficaces, tout en émettant beaucoup moins de gaz à effet de serre, ce qui est reproché aux bovins et les porcs. Cet élevage à grande échelle occupe beaucoup moins de terre aussi.
Encore plus largement, au niveau mondial, de très de grands reporters, de scientifiques et même de managers d’entreprises genre « multinationales », ne savent que 2 milliards des habitants, le quart, de notre planète consomment des insectes. Et ça ne date pas d’hier, de depuis l’alerte sur le réchauffement climatique.
Les alimentés entomophages se multiplient dans les pays développés. Allez voir qu’est-ce que c’est cette catégorie qui pourtant date des ères anciennes, quand le mot « végane » s’invite et s’installe dans le vocabulaire, sans qu’on l’autorise. Mais les pionniers qui surmontent l’insécurité alimentaire mondiale, dont Gene R. DeFoliart (1925-2013) reste un précurseur qui inspire.
Voir en ligne : Notre dossier Science & Médecine
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