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L’inspiration de l’opinion et l’intérêt local n’existent plus pour des titres ou sites commerciaux
lundi 26 août 2019, par
Populi-Scoop est dans un éventail de projets, avec de la recherche comparative, portant sur l’avenir de l’information. Des idées qui sont aussi siennes, notamment la création de sondages (proposition en fin de cet article). L’évolution des activités du journalisme et la montée en puissance des médias numériques, dont il est partie prenante après d’une décennie d’existence, est une aventure haletante. Elle aide à comprendre, suivre et aider l’évolution de la société vers le progrès.
Un journalisme de qualité, ainsi que les défis et opportunités liés à la production d’un travail d’informations, est en plein changement des pratiques. Internet éloigne l’édition en papier, chaque année des sites Web fournissent des pages d’actualités quotidiennement renouvelées. Alors que les détenteurs de la tradition et leurs anciennes corporations passent sous contrôle de gros financiers…
– 10 ans que Populi-Scoop est en ligne : l’escale du marcheur qui ne se retourne pasjeudi 17 janvier 2019
Même si les objectifs utiles à la société, dans l’explosion de l’environnement numérique, ne changent pas, de nouveaux défis culturels, politiques, sociaux, économiques et sans abstraction des responsabilités sont dressés pour être surmontés. Sinon ils seront adoptés et deviendront de bon goût. Parmi les nouveaux combats la lutte contre la haine et la désinformation.
Pour certaines nouvelles appréhensions du journalisme, il est plus question de relations publiques. C’est-à-dire l’interdépendance entre source d’informations et un support de diffusion, est comme un club informel, les choses restent classiques et même bureaucratisés. Ce genre de vieilles recettes n’est plus en vigueur, un nouveau modèle est né et il nuit aux informations locales.
Quand les investigations passent désormais au côté coulisse, sans demander à ce qu’on leur ouvre de lucarne par où percevoir les faits, l’ancienne relation publique appartient à la publicité et au traitement comme copier/coller du communiqué. Tous les retours d’expérience sur le journalisme actuel, disent que ce sont les batailles philosophiques et les joutes partisanes qui fonctionnent le plus.
– L’avenir des "Fake News" entre les mains du public averti : notre sondage continue.
lundi 7 janvier 2019
Le croisement, entre les anciennes organisations et les nouvelles technologies, s’opère au détriment des opinions critiques. En particulier les différentes formes d’engagement civique et de participation populaire qui émergent et se développent notamment avec les mouvements sociaux comme en Algérie, perdent l’aide et le soutien. Les institutions qui les sous-tendent et les rendent possibles, se sont désengagées pour l’impartialité qui est devenue une insuffisance.
Il existe dans les sphères locales des intermédiaires numériques importants, notamment ceux qui fournissent des revenus et des informations. Mais des sociétés telles qu’Apple et Amazon avec certains acteurs régionaux restent importants. Cependant aucun ne rivalise avec Google et Facebook pour ce qui est de la manière dont les gens recherchent sur le Web et accèdent directement aux informations. On ne cite plus les kiosques, l’abonnement et en ligne une autre vie se dessine.
Les journalistes utilisent généralement Twitter afin de partager leurs histoires. Ils le font en professionnels, comme chargés aussi des réseaux sociaux du Web. Ils diffusent des articles de leurs pairs et enfin ils citent ce qu’ils croient est important. Oui les médias sociaux occupent une place plus importante dans les plans de communication. Donc comprendre de quoi les journalistes parlent et ce qu’ils partagent aident pour de bons résultats.
Accéder directement au sondage par ce LIEN
Voir en ligne : Notre dossier : médias, presse et informations
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