Accueil > Editoriaux / Opinion > Editorial, opinion, point de vue, déclaration, paix, pertinente, monde, (...) > Protéger l’intérêt général avec une citoyenneté responsable du lanceur d’alerte
La nécessité de créer le statut du lanceur d’alerte pour ne plus être résigné à la corruption.
lundi 8 juillet 2019, par
Notre époque connaît des multitudes d’innovations, touchant nombreux domaines, afin de faciliter la vie et améliorer les activités. Parmi elles, le guide des lanceurs d’alertes qui est un document diffusé par l’ONG « Transparency International » qui, existe depuis 2003 et tente de vulgariser des méthodes. Ces dernières devaient être autorisées, pour parfaire les Etats, les économies, les systèmes politiques et financiers.
Les pratiques essentielles, pour faire parvenir à l’opinion générale et aux juridictions, des informations pouvant permettre le traitement de la corruption, notamment de la faire cesser et de mettre en fonction les retombées de tels fléaux. Le corps des lanceurs d’alerte n’est pas reconnu, en dehors de texte qui lui donne vie et surtout protège ceux qui restent des dénonciateurs.
<doc1437|right> Dernièrement la Commission du Parlement Européen a réussi à faire valider un nouveau cadre, voie la première législation du genre, protecteur des lanceurs d’alerte. C’était à la veille des dernières élections, car la prochaine législature devait revoir à zéro un projet qui a longtemps trainé, alors que son utilité publique est établie.
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Notre but ici est de faire échos de ces nouveautés, afin de permettre aux citoyens de les utiliser. Et surtout de donner possibilité aux plus honnêtes, compte tenu de certaines attitudes obsolètes et insensibles des gouvernements, de faire le devoir moral qui démontre leur engagement dans l’intégrité de toue la société. Consulter le « Guide pratique à l’usage du lanceur d’alerte », joint à cet article.
Toute personne, groupe ou institution ayant connaissance d’un danger, un risque ou un scandale, est habilité de lancer un signal d’alarme. Sur la base d’avoir pris conscience d’une situation inadmissible, avec l’objectif d’avertir qui de droit, l’avertissement est rendu public et c’est aux concernés de l’adopter et d’en vérifier la véracité.
Pays à surveiller : USA, Brésil et la république thèque. Pour nos lecteurs, l’Algérie : 105è place depuis des années.
De l’action des lanceurs d’alerte, le processus de régulation, de controverse ou de mobilisation collective, doit en principe être enclenché pour apprêter un acte correctif. Elle a permis dans plusieurs cas dans le Monde de réaliser des coups fatals à la corruption.
Célébrée la Journée mondiale des lanceurs d’alerte, le 23 juin dernier, avec les victoires sérieuses pour la protection est déjà derrière nous, pour cette année. Des développements encourageants à l’horizon, comme en En Europe. Plus d’un demi milliard de personnes ont bénéficié de cette directive adoptée en mars. Le signalement d’actes répréhensibles au travail, dans son boulot est l’une des sources d’alrte des plus satisfaisantes.
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6 juillet 2019
Trois étapes pour lancer une alerte, afin de ne pas commettre ce qui peut être une manipulation, doivent accomplies. On en invente d’ailleurs à ce sujet, les principes juridiques qui existent depuis toujours en matière de recours. Mais pour le "lanceur d’alerte", il ne faut pas qu’il soit directement bénéficiaire de son action, le critère ou La notion du désintérêt tient de la justesse de l’aspiration...
– Il faut d’abord, prévenir le concerné de son erreur ou de sa propre malversation. Ce qui n’est pas souvent simple de s’adresser à un protagoniste qui volontairement est l’auteur responsable de son acte.
– Ensuite il faut s’adresser aux contrôles institués, comme les hiérarchies. Ce qui est exactement alerter les autorités comptétentes, comme l’ordre professionnel concerné ou bien les juges. Et leur donner aussi un délai raisonnable pour poursuivre vers les autres démarches.
– Généralement au bout de 3 mois, faire proclamation afin de rendre publique ce qui est considéré illégal, dangereux ou maléfique. Toucher les médias, les ONG et les syndicats en sont les principaux exemples...
Voir en ligne : Notre dossier ALERTE
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