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... tant que ce mécanisme dans la génétique reste difficile à comprendre !
dimanche 16 juin 2019, par
La grande difficulté du travail sur les gènes qui influent indéniablement toute existence, est reconnue impénétrable par les savants, avec une étude parue dans la revue américaine "Cell", le 6 juin dernier. La publication bimensuelle, spécialisée en biologie cellulaire est éditée depuis 1974, reste un référence en médecine, pour les spécialités orientées par la recherche. Et dont l’exactitude relève de l’observation physique et les mesures cliniques.
Notre ADN est beaucoup plus complexe que comme s’attelaient les enthousiastes à tenter de déchiffrer qu’il soit...
A l’origine la cellule, composée de plasma et noyau qui sont couverts de membrane. Il y en a des milliards dans les organismes. Certains de ces derniers microscopiques en ont juste ce qui leur permet d’exister et des fois, les unicellulaires, en sont qu’une seule. Comme on se l’imagine, l’affaire concerne l’infiniment petit, alors pour admettre toute idée scientifique il faut le constater de près.
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2 juin 2019
Dans le corps humain par exemple, une cellule du cerveau ou bien d’un muscle travaille différemment. Selon ce qu’elles possèdent dans leurs noyaux, c’est-à-dire à partir des gènes et d’après ce qui lui est commandé de réaliser, il y a la justesse, ou bien l’erreur, des actions. Qui ont l’air jusqu’à la connaissance actuelle être rythmées et générées au hasard.
En cas d’une démarche erronée, qui est hélas fréquente, la cellule est affectée d’une manière ou d’une ampleur supposée. En supposant donc que la traduction de l’ordre donné par le gène pour la mission d’une protéine, une régulation joue un rôle important dans la formation de la matière protéinique ainsi que dans la fabrication attendue…
<doc1433|left> C’est ce que révèle une recherche du groupe Tanenbaum, spécialisé en sciences biomédicales de l’Université d’Amsterdam, qui utilise une microscopie pour toute molécule présente au sein des cellules vivantes. Elle insiste que rien n’est encore déchiffré, de la manière du décodage de l’information génétique.
La méthode développée par ces scientifiques est baptisée MoonTag et de SunTag. Comme « Hashtag », cet étiquetage permet de visualiser l’hétérogénéité de traduction provoquée par les gènes sur les protéines. Notons que bien des nouvelles de ces dernières, proviennent inédites avec l’inexorable marche de la vie de la présence évolutive de l’existence.
La visualisation qui est le décodage de nos informations génétiques, secrétées au sein cellules vivantes, s’est faite avec le marquage avec différents produits protéiques de différentes couleurs, afin de les visualiser en mouvement.
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Au cœur des structures cellulaires qui orchestrent la vie, la forme simple du pépin ou d’un centre où réside l’information essentielle de la génétique et des composantes qui traduisent les particularités de l’être. Les chromosomes en sont eux-mêmes l’ADN qui renferme quelques 25 000 gènes
Les chromosomes, au nombre de 46, ayant la formule de la paire pour réaliser une quelconque intersection pour épauler la logique de l’interaction du duo et par-delà leur espace. Dernièrement une recherche pointue a finalement tranché que la complexité des informations génétiques stockées dans l’ADN est plus ardue que prévu.
Alors interviennent les protéines qui sont des outils exécutant la volonté des gènes. Mais pour qu’un site d’initiation, comme un organe quelconque d’un corps humain, ordonne au mécanisme qui fait agir les protéines motrices, avec justesse, ce n’est pas probable. Comme il est évoqué plus haut, ces opérations sont aléatoires et à environ 50% déformées.
Développement du MoonTag, un système d’étiquetage par fluorescence permettant de visualiser la traduction d’ARNm simples.
L’acide ribonucléique messager, ARN messager ou ARNm est une copie transitoire d’une portion de l’ADN correspondant à un ou plusieurs gènes. L’ARNm est utilisé comme intermédiaire par les cellules pour la synthèse des protéines.
Acide ribonucléique messager (in — Wikipédia)
Voir en ligne : Notre dossier : médecine
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