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mardi 24 mars 2009, par
Occupant un poste de nuit, je ne savais si c’était possible de bénéficier d’une formation, et quelles sont les dispositions relatives à la formation des travailleurs de nuit...
Après le décès de l’époux, sa femme, dans le cas où elle a des enfants et ne travaille pas, bénéficie d’une garantie décès proportionnelle aux membres de la famille...
Je suis un salarié dans une boulangerie industrielle. J’y suis engagé depuis deux ans. J’ai voulu bénéficier d’une formation. Mais, occupant un poste de nuit, je ne savais si c’était possible, et quelles sont les dispositions relatives à la formation des travailleurs de nuit. J’en ai discuté avec un de mes collègues qui m’a assuré que je pouvais en bénéficier et m’a recommandé de consulter la Convention collective de boulangerie-p tisserie. Alors, je me suis rendu au site convention-collective-fr.com, et j’ai découvert que je devais demander d’être affecté à un poste de jour pendant le temps de la formation et j’étais rassuré en se rendant compte que la Convention collective prévoit le maintien de la rémunération, y compris les majorations de nuit. J’ai effectué les étapes recommandées et j’ai pu bénéficier de la formation nécessaire.
Garantie décès due au conjoint.
Mon mari travaillait dans une entreprise de commerce de volaille. Il s’est décédé depuis deux mois, me laissant avec deux enfants en charge. Je ne travaille pas et le salaire de mon mari défunt était notre seule ressource. Je me suis trouvée dans une situation critique. Une de mes amies m’a incitée à consulter la Convention collective dont dépend l’entreprise où travaillait mon mari. Alors, je l’ai consultée sur le site convention-collective-fr.com. Et j’étais sauvée, la Convention collective prévoit une garantie décès, pour l’ensemble du personnel, dont le bénéficiaire, en ordre de préférence est le conjoint survivant. Je me suis adressée à l’employeur de l’entreprise qui a vérifié de mon droit à la garantie, et finit par me la verser.
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