Accueil > Humanité > Monde, actualité internationale, politique, relations, diplomatie, (...) > Politique, France, francophonie, Algérie, Maroc, Tunisie, Afrique, monde (...) > associations, mouvement, vie associative, initiatives citoyennes, intérêt (...) > Terra Nova sur les traces d’une "Sahwa", émancipation, introuvable pour l’islam
L’islam de France jure de s’affranchir de l’obscurantisme !
mercredi 22 février 2017, par
Alors que nous mettons en ligne ce sujet, nous apprenons que l’armée turque a approuvé le port du foulard islamique dans ses rangs. L’effondrement de la laïcité "Kaméliste" est symptomatique de l’avancée inexorable de l’islamisme sur des Terres où reculent certaines valeurs conséquentes avec les progrès qu’elles ont généré. Le pays de la laïcité qu’est la France, vit des secousses dues aux disparités entre les populations qui l’habitent, mais aussi est exposée à une menace qui a eu largement de devenir internationale. L’islam et le terrorisme sont en cohabitation, le premier comporte des adeptes à l’identité plongée dans le clash des civilisations. Prenant pour révolution ce que les théologiens tentent de présenter, comme Sahwa, par la rigueur de leur science, l’égarement...
Le think tank français « Terra Nova » qui se consacre à l’analyse de l’actualité, vient de publier, le 22 février 2017, son étude de « l’islam de France » (lire ICI) à la lumière de la loi de 1905 qui établit une « séparation des Eglises et de l’Etat ». Cette éminente législation, à l’origine d’une modernité pratique pour les institutions et les équilibres au sein du tissu social, a inspiré plusieurs comportements dont l’instinct d’égalité entre croyances religieuses. Ou bien simplement, elle guidé les gestes de l’humain, séparant sa foi de l’ordre factuel de la vie quotidienne.
17 juillet 20164 novembre 2015
L'invité de 7h50 : Dalil Boubakeur par franceinter
D’emblée il faut annoncer que le lancement du projet « Islam de France », s’inspire de l’adoption au sein de la république la communauté musulmane, au sein de celle large regroupant l’ensemble des Français. C’est une aussi une aubaine pour faire avancer vers la modernité, une religion qui semble vivre l’ère antérieure, du moyen- ge, à laquelle ont fait référence plusieurs commentaires dans les discussions aussi bien officielles qu’informelles. A l’épreuve de l’occident, la présence des musulmans sur l’ancien continent, ou ailleurs sur la face du globe terrestre, sont confrontés à des modes des vies qui semblent les exclure, sinon de ne pas convenir à leurs convictions. Alors que la radicalisation est aussi le boulet alourdissant la marche d’un Monde sur des échanges culturels, sachant surmonter les murs et le confins...
La sentence de 1905, car elle ressemble à une jurisprudence, a habité les appareils publics, en remplaçant le régime juridique antérieur, le concordat signé en 1801 par Napoléon, qui alors premier consul décrochant l’approbation du pape Pie VII, le répondant officiel de l’église. Elle a été étendue ensuite aux religions protestantes (1802) et juive (1808). Mais bien deux siècles plus tard, l’islam se rajoute au socle originel de la république française qui cite catholicisme, protestantisme luthérien et réformé ainsi que judaïsme. Ce qui fondait l’approche étatique du dogme religieux qui traditionnellement ancré à l’espace territoire d’application, soit tout un empire...
2 septembre 200919 novembre 2015
L’islam est devenu une question politique, une préoccupation journalistique et un sujet de débat de société prenant en France. Ressurgissant des clivages multiformes, où la mémoire coloniale s’apparente à l’agent ayant engendré la présence en territoire métropolitain, d’une communauté religieuse à la fois absente du concept, prêtant le fait confessionnel à la lumière d’un texte animé par séparation ce qui est collectif, l’Etat, du choix privé. Mais actuelle la mise en lumière que la dernière grande révélation monolithique, apportée par les prophéties attribuées à Mohamed, est proposée par certains de ses adeptes, comme un projet de société global, négociant l’ordre nécessaire.
La concentration des avis, qu’est l’appréhension des médias, dépasse toutes les autres considérations, dès lors que les dénonciations pleuvent de partout, pour l’approche réservée à l’islam. Elle suggère que les puissants canaux d’informations et de diffusion des idées, au sens de sciences de pensées philosophique qui suit et couvre les faits vécus par la société, sont entre les mains des argentiers et ces outils médiatiques, comme le désigne le dernier président des USA Trump, sont contre la volonté du peuple.
20 août 201521 janvier 2015
En effet l’évolution de la perception de l’islam dans toutes les plateformes de la presse, qui a un fort attachement à l’actualité, puise l’essentiel de sa matière des actes terroristes qui s’accolent étroitement à la communauté musulmane, par le fait de glissement d’un croyant au geste criminel et d’une cruauté qualifiable. Cette tendance est mondiale, cependant l’exemple du Data-projet qui s’est chargé de quantifier comment les médias français parlent de l’Islam, est révélateur…
Bien sûr, au commencement l’islamisme s’est placé en théologie dite de la « Sahwa », qui peut être traduite par la renaissance. Cet islam politisé, de vocation à piétiner la laïcité, s’est enraciné dans la l’ambition de conquérir le pouvoir. L’islamisme est un programme réducteur du populisme opposé au créationniste ainsi qu’il renie de nombreuses théories scientifiques. Il a été mis au service de la féodalité, et du capitalisme à l’époque des opérations de la CIA en Afrique, en Amérique Latine et en Asie. Pour être lancer dans des processus guerriers afin de rebuter le marxisme, en Afghanistan il est passé au djihad impérialiste…
14 février 201529 décembre 2011
En France l’islamophobie et l’antisémitisme décorent les confrontations primaires, alors que la forme de nationalisme droitier plus dévorant préconise le retour aux priorités réservées aux citoyens de souche identitaire. Alors donc, que disent les médias à propos depuis 1998 ? C’est ce que tente d’exposer l’étude Terra-Nova en exploitant les éléments, construite avec des données, dans une chaire de recherche espagnole. Notons que les seuls organes concernés par cette recherche sont les quotidiens français d’informations : Le Figaro, Le Monde et Libération.
Voir en ligne : Notre dossier : FRANCE
Recommander cette page |
|