Accueil > Editoriaux / Opinion > Editorial, opinion, point de vue, déclaration, paix, pertinente, monde, (...) > Actualité, événement, opinion, intérêt général, information, scoop, primauté > OBAMA, CIA ET MEDIAS TRADITIONNELS POUR LE SAUVETAGE DE L’ESTABLISHMENT
L’intégrité du vote qui intronisa Donald Trump, la fausse démocratie a parlé...
lundi 12 décembre 2016, par
La nouvelle alliance des médias corporatistes, traditionnels et professionnels des USA avec la CIA, se décline avec la formule dite de "sources crédibles ou anonymes". L’establishment qui est l’ancien système de domination des opinions, approuve largement de replonger dans une nouvelle froide. Les régimes ou nations qui dérangent, avec l’ancienne configuration des relations internationales, où les USA peuvent faire de l’ingérence, sans se gêner de la légalité internationale et encore moins des droits humains, sont visés comme concurrents...
Le résultat de la dernière élection présidentielle des Etats-Unis continue d’alimenter les spéculations, quant au rôle de la Russie. Vendredi 9 décembre 2016, la Maison Blanche a annoncé que M. Obama avait ordonné aux responsables du renseignement de procéder à un examen général des élections, au regard des cyber-attaques, de procéder à des enquêtes sur les hacks (piratage informatique) des courriers électroniques. Le président exige de faire rapport avant qu’il ne quitte ses fonctions le 20 Janvier. Il soulève la question de sécurité, mais trop tard, les jeux sont faits...
Les médias corporatistes persévèrent à laisser croire que Poutine a réussi par influencer l’événement le plus important qu’a vécu le pays de l’oncle Sam, le journal anglais « The Gardian » et le New-York Times » ainsi que le « Washington-Post » persistent dans de récents articles persistent à donner, d’après des sources de la CIA, des commentaires injustifiés et sans grande crédibilité.
Sous Obama les Etats-Unis ont été absolument impitoyables dans la persécution des dénonciateurs, comme Snowden, et la poursuite de pirates étrangers par l’extradition, comme Assange. Cette intransigeance terrifiante pour la transparence et la disponibilité de l’information dans une démocratie qui se veut exemplaire, avec un président qui se parfait, n’échappe aux vertus du système politique largement externalisée et ayant l’arrogance diplomatique comme doctrine.
Les dernières présidentielles qui ont débouché sur la victoire de Donald Trump ont prouvé que le jeu logique avec la Russie repose sur des soupçons, puis le Kremlin a rejeté toutes les accusations de piratage, alors que le fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, a bien dit que les fuites qui ont bien concerné la défaite du parti démocrates ne sont pas liées à la Russie, elles sont internes puisque Bernie Sanders a été désavantagé illégalement. Manifestement ça pue que les conneries de la CIA augmentent désormais…
Paradoxalement la nouvelle administration de Donald Trump réplique de son coté à ses accusations, qui même si elles s’avèrent fondées, elles sont de bonne guerre, comme nous avons cru bon de le dire dans un de nos article (lire ICI). Ces revendications ont attirent une cinglante réprimande de l’équipe de transition du président élu, dont une déclaration dans un communiqué a expliqué : « Ce sont les mêmes personnes qui dites Saddam Hussein avait des armes de destruction massive. »
Les USA tentent de déstabiliser politiquement la Russie, via une myriade d’ONG financées de richissimes philanthropes étrangers, alors que le Kremlin n’atteint pas un tel emboîtement à une subversion de grande échelle en Amérique. Cette recherche d’alimenter un conflit avec la Russie qu’entretiennent des médias ébranlés par leurs positions hégémoniques pour répandre de fausses informations est devant une nouvelle conscience des auditoires.
Pour sa part la police fédérale, le FBI, réfute complètement la validité de l’évaluation de la CIA, concernant l’histoire du vote et de la Russie, aucune arrestation et aucun élément ne peut étayer cette thèse. Seuls les médias continuent d’alimenter une propagande, en vue de priver Donald Trump de sa victoire. Le site internet Intercept, a qualifié « le journalisme classique américain de la pire espèce ».
Obama ordonne de vérifier les piratages de la Russie lors de la présidentielle qui intronisa Donald Trump.
Voir en ligne : Notre dossier : USA Etats-Unis
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