Accueil > Humanité > Monde, actualité internationale, politique, relations, diplomatie, (...) > conflits, situation, points chauds, monde, international, efforts, (...) > Boucliers humains pour terroristes dans la propagande humanitaire...
La guerre antiterroriste de Syrie a pour ennemi un mercenariat islamiste !
mardi 6 décembre 2016, par
A l’ONU, on demande une trêve humanitaire à Alep en Syrie, rien n’est inopiné quand les combats font rage ! La Chine et la Russie associent leur véto au conseil de sécurité. L’offre de sortie des ennemis du régime, faite par les Russes, est refusée par la nébuleuse de l’opposition armée, dont l’anonymat ressemble davantage au mercenariat qu’à une population en guerre civile interne. Ces belligérants armés sont aux ordres des islamistes syriens, auxquels une chaire à canons étrangère sert en Irak et en Syrie, au sein de l’EI (Etat Islamique) et autres groupes. Qu’on veule préserver des civils, OK ! Ils se mêlent aux terroristes par les divers liens et la réalité sociale de cette guerre, menée contre Bashar, ne tient pas compte de ses propres conséquences sur la population !
Un hôpital militaire russe a été atteint par les pseudos rebelles syriens. L’opposition de 2011 a été inondée par « djihadistes » locaux qui ont recruté des milliers de mercenaires islamistes venus de presque l’ensemble des pays de la Terre. Le porte-parole du ministère de la Défense Major russe, Général Igor Konashenkov, a confirmé l’attaque qui est un pilonnage venu du sol. Il accusa aussi les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et la France d’être en mèche avec les auteurs concernant l’emplacement de l’hôpital.
– Quand l’ONU fait des négociations de honte en Europe pour la Syrie
4 mai 2016
C’est l’une des moult machinations de soutien à des acteurs d’une guerre dont l’identité est douteuse. Balançant entre simples civils insurgés contre le régime et des islamo-terroristes dont l’appartenance vacille entre Daesh, Al-Qaïda et autres factions autonomes. La nébuleuse que l’Iran, le Hizbollah libanais et la Russie combattent, avec l’armée syrienne, sont servis d’équipements et d’indications, pour détruire le régime en place...
De même qu’ils utilisent les civils comme boucliers humains, de que ces pseudos rebelles sont inconnus. Certains de ces derniers sont les familles des Syriens engagés contre le pouvoir, femmes et enfants d’abord. Et d’autres sont des otages participants aux combats sous la pression, comme l’enlèvement de parents, des filles, servant dans un chantage. Puisque tous sont des civils convertis en terroristes, ils servent militairement en opérant au sein même de leurs proches.
– Les tortionnaires américains d’Irak recrutés pour travailler en Syrie
4 août 2016
Ces factions utilisent les hôpitaux et les écoles pour s’abriter, sachant la possibilité que l’ennemi se priverait de les frapper dans ces lieux. Et pour surtout pour éviter, en végétant sur le front, sans besoin de s’en prendre aux biens des personnes, afin de gagner leur confiance. Ils sont dirigés vers ces lieux par la nouvelle organisation d’humanitaire financée directement par la CIA, appelée les « casques blancs », en similitude des casques bleus de l’ONU, pour travailler en plein champ de guerre.
Un hôpital militaire est une structure mobile, dont le personnel a la spécificité d’avoir dans la composition de son personnel, les « brancardiers ». Un corps d’infirmiers spécialisés qui sont chargés de secourir, en plein combats, les blessés. Le campement a été mis en place par l’armée russe, afin de fournir des soins médicaux pour les civils qui ont récemment fui les combats dans l’est d’Alep. Où les forces gouvernementales mènent une féroce bataille pour reprendre d’autres districts.
– La Russie a stabilisé des zones de Syrie, l’épilogue à Alep...
6 octobre 2016
Un plan de la position de cet hôpital a été donné par plusieurs sources d’informations. Il se situe dans le quartier Al-Furqan, situé à environ 2 km à l’est de la ligne de front, plus loin les militants sont retranchés dans le quartier Bustan Al-Qasr. Une femme travailleuse, médecin russe, a été tuée, deux autres blessés, des civils en soins, que des obus de mortiers tirés par des combattants rebelles ont atteints.
Quand on entend les pleurs, notamment dans les médias et à l’ONU pour les civils tués par l’armée régulière, le matraquage réalisé avec des images d’enfants pris dans le feu, on se demande que font ces familles dans le front ? Si elles se ne servent pas de boucliers, elles ne sont pas uniquement donc pas des victimes collatérales !
Voir en ligne : Notre dossier : Syrie
Recommander cette page |
|