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vendredi 30 janvier 2009, par
Je suis un propriétaire d’une entreprise de fabrication d’ameublement. J’ai engagé récemment un salarié en tant que cadre. Il devait effectuer une période d’essai de trois mois. Pendant le deuxième mois, il s’est absenté pour une semaine. Ensuite il est revenu à l’entreprise.
Je suis un propriétaire d’une entreprise de fabrication d’ameublement. J’ai engagé récemment un salarié en tant que cadre. Il devait effectuer une période d’essai de trois mois. Pendant le deuxième mois, il s’est absenté pour une semaine.
Ensuite il est revenu à l’entreprise. A la fin du troisième mois, il m’a demandé de confirmer son engagement, puisqu’il a effectué la période d’essai. Mais, je me suis rappelé qu’il s’est absenté pendant une semaine.
Alors, je me suis référé à la Convention collective de la fabrication d’ameublement, sur le site convention-collecctive-fr.com, pour discerner les dispositions concernant ce cas. Et j’ai constaté que toute absence pendant la période d’essai la prolonge d’autant.
Donc, j’en ai informé le salarié et il a complété la période d’essai, avant de lui donner l’accord définitif.
Absence du salarié sans notification du motif
Je suis propriétaire d’une entreprise de location de linge. Un salarié s’est absenté pour une durée de trois semaines sans prendre une autorisation ou fournir un motif. Alors je lui ai envoyé une demande d’explication.
Ne recevant pas de réponse, j’ai envoyé une lettre de licenciement pour faute, dix jours après l’envoi de la première lettre. Dans les cinq jours suivant, j’ai reçu la réponse : le salarié était obligé de s’absenter pour soigner un proche gravement malade. J’étais indécis à propos des actions à prendre, et n’étais plus sûr si le licenciement était valable.
Mais, revenant à ma Convention collective que j’ai recommandée du site convention-collective-fr.com, j’ai trouvé qu’effectivement les absences exceptionnelles répondant à un besoin essentiel n’entraînent que la suspension du contrat.
Or au cas où le salarié ne répond pas valablement dans les huit jours francs à la demande écrite d’explication formulée par l’employeur, son attitude entraîne la mise en oeuvre d’une procédure immédiate de rupture de son contrat de travail. D’où, le licenciement était bien régulier.
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