Accueil > Humanité > Monde, actualité internationale, politique, relations, diplomatie, (...) > Politique, France, francophonie, Algérie, Maroc, Tunisie, Afrique, monde (...) > vie, parti, politique, agissements, internes, situation, association, (...) > L’Algérie face à la criminalité de l’islamisme armé.
La stratégie obscurantiste devance les volontés citoyennes
lundi 17 novembre 2014, par
1ère partie : Franchissement de l’Algérie de la décennie noire, face à la menace aux frontières,
Un budget militaire conséquent pour limiter les dérives de la famille qui recule.
2ème partie : Le rééquilibrage endogène en Algérie, s’envisage avec la menace exogène.
L’islamisme modéré géniteur des hordes barbares repousse l’échéance finale.
"Le vrai du faux", en matière de sécurité en Algérie, est collé à la propagande qui croit tout savoir sur le DRS et l’ANP (Armée Nationale Populaire) dont on cite les généraux. Les choses sécuritaires ont évolué dans ce pays maghrébin qui a connu la pire barbarie de notre. Mais restent collées au cadencement de la politique aspirant à l’application de la charia islamique.
Outre la menace interne souvent atténuée dans les discours de l’opposition et même cyniquement entretenue par la tendance réactionnaire des décideurs. Le pays s’occupe désormais aussi d’un flux de factions terroristes pénétrant à travers les frontières... Après la décennie noire, c’est aussi le dévoiement du printemps arabe par la voyoucratie obscurantiste.
Au déclenchement du « Printemps Arabe » en janvier 2011 en Tunisie, comme contestation généralisée des despotes arabes, l’indécrottable régime algérien qui a monopolisé le pouvoir depuis l’indépendance, s’est plus préoccupé de sauver son dernier et cacique rejeton « Bouteflika ». Puis en Algérie, la métamorphose, du monde arabe, détournée ailleurs en cruauté islamo-terroriste, n’a connu que de timides agitations réprimées promptement…
Une nouvelle situation plus explosive, entraîna la prise en compte de la porosité des frontières entre les Etats de toute la région, avec l’aspiration de changement. L’Algérie n’a engagé beaucoup d’attention sur ses confins méridionaux que dès 2013, la crise interne ne permettait autre priorité que sauver le pouvoir des tuteurs historiques.
Des assauts et intrusions ont été détectés depuis la Tunisie, tenue les islamistes d’Ennahdha à l’époque à partir 2012. Aussi depuis la Libye, jusqu’à ce jour livrée aux milices locales n’ayant que le « salafisme » armé comme référence, s’est dessiné la donne d’une grave instabilité non encore continue et qui s’accroît.
Le Mali était devenu une zone de repli terroristes algériens, du GSPC qui s’est converti en AQMI, dès les débuts de l’an 2000. La décennie noire passée au pays qui a vu son intelligentsia massacrée et plus de 200 journalistes assassinés, a laissé des hordes éparses au nord pour proroger l’insécurité. Et l’appel de ce pays du Sahel, est initiée l’intervention africaine soutenue par l’armée française qui dispose de presque 15 000 hommes répartis sur le continent.
Les menaces externes sont devenues la 1ère préoccupation de l’armée algérienne, alors que l’épouvante interne a quelque peu était mise en berne, depuis le « printemps arabe ». Jusqu’à l’assassinat d’Hervé Gourdel en 2014, l’Algérie jouissait de prestige en matière de lutte contre le terrorisme. Même ce fait demeure bien une imprudence aveugle, alors qu’un nouveau label « le Daesh » mobilisait les esprits fanatisés et ravivait la criminalité politique de l’islamisme.
2ème partie : Le rééquilibrage endogène en Algérie, s’envisage avec la menace exogène.
L’islamisme modéré géniteur des hordes barbares repousse l’échéance finale.
Voir en ligne : DECRYPTAGE DU FAIT TERRORISTE : L’armée algérienne et les résidus revigorés par Daesh
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