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Les colonisés sous le joug d’un fascisme raciste quand Gaza est frappée.
jeudi 14 août 2014, par
Il indéniable que la guerre médiatique que gagne à chaque fois l’Etat hébreu, lors de ses expéditions punitives contre la population de Gaza, revient à l’apport de journalistes d’abord. Aussi les médias occidentaux, entre agences et organes pour leur ligne éditoriale, assurent la propagande pour l’impunité. En utilisant la désignation des combattants pour la libration en terroristes...
Plusieurs études, investigations et observations, montrent la répression des sujets et individus citant les vérités qui incriminent Israël. Ils peinent dans leur incapacité à démontrer crimes de guerre et crimes contre l’humanité. Alors que les artifices, qui font objets et sujets de matraquage, sont des tromperies…
L’opinion occidentale subit des présentations de divers faits, comme ceux d’Ukraine, complètement incohérentes avec la réalité. Ce qui est la plus basse contrevérité, pour le cas de Gaza, c’est le propagande qui insiste que 95% des israéliens soutiennent l’action de l’armée contre une population palestinienne, abritant ses derniers défenseurs du Hamas.
Or si on sait qu’au moins 20 % des israéliens sont arabes, surtout des palestiniens qui n’ont été déracinés, auxquels il faut rajouter les partisans de la paix… Les citoyens arabes d’Israël constituent un cinquième de la population du pays. Et aux yeux de la loi, ils ont exactement les mêmes droits que les juifs israéliens. Beaucoup se sont déjà plaints qu’ils sont traités comme des citoyens de seconde classe.
Pour les reporters et commentateurs écartés du terrain même où se déroulent des tueries, le règne du silence a gagné les salles de rédactions. Rappeler le bannissement des artistes espagnoles des studios des USA, comme le subit Mel Gibson chassé depuis son film sur la vie du Christ, ne tient plus aux unes des pages « peoples ». Alors delà, le paparazzi ou le journaliste qui sort de la conduite édictée par les forces de l’argent qui font des ingérences dans le Monde, se retrouve au « placard ».
Dans les réseaux sociaux du Web, une guerre aux arabes colonisés en Palestine transformée en Israël !
The reason I quit my BBC show ; got strict orders not to mention Israel in any context. This kind of censorship leads to #Gaza horror.
— Max Keiser (@maxkeiser) 3 Août 2014
La majorité des Juifs israéliens est favorable à l’introduction de politiques discriminatoires, excluant la population arabe du pays. Et elle serait favorable à un système « d’apartheid » en Cisjordanie, si elle ne sera jamais annexée, selon un sondage d’opinion de 2012, qui a touché 503 personnes. Voir article in « The Télégraphe » de 2012, où est dite l’avancée d’un nationalisme ouvertement raciste. Comme ils se développent nombreux en Europe et en Amérique du Nord.
Alors qu’en est-il de l’opinion israélienne intérieure, qui est contre le génocide de Gaza entre juillet et août 2014 ? Plusieurs rapport de presse ont rapporté les harcèlements, voire les agressions physiques, enregistrés comme ayant visé les militants contre la guerre. Un climat de fascisme et d’apartheid, avide de massacrer une population cloîtrée et ayant subi des années de blocus, règne pleinement en Israël, pour que la « démilitarisation du Hamas », dit Netanyahou, soit prétexte à la guerre et au nom d’une unanimité.
Steven Beck, le directeur des relations internationales à l’Association pour les droits civils en Israël (ACRI), a déclaré qu’il y a eu plusieurs cas de citoyens arabes d’Israël congédiés de leur gagne-pain, par leurs employeurs, après avoir critiqué l’armée sur les médias sociaux. Pour l’ONG israélienne « Nouveau Fond Israélien » (NFI), plusieurs cas d’Israéliens (d’origine palestinienne ou pas) ont été licenciés de leur travail à cause de leurs opinions contre la guerre. Ils plusieurs dizaines, à consulter ICI.
Pour cette dernière organisation, au moins 25 cas de statuts Facebook ont été échangés, avec des appels comme « Pas dans nos écoles » et « Exposer les traîtres », où les gens copient les messages d’Israéliens (palestiniens vivants sous colonialisme) avec leurs photos et leurs lieux de travail. Ils demandent, d’un appel public, aux employeurs de les licencier. Sinon, ils les menacent d’un boycott.
« NFI » déduit que le résultat de cette pression est dans tous les cas, quand les Juifs israéliens lisent ces statuts de collègues, ils demandent la révocation de leurs collègues ou employés. Elle rajoute que : « nous n’avons pas entendu parler d’un seul cas, dans lequel un travailleur juif a été congédié pour dire "Mort aux Arabes" ou quelque chose comme ça, même si nous savons que beaucoup de gens l’ont fait » .
Quelques cas de journalistes
Voir en ligne : Notre dossier : Palestine Israë l journalistes médias
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