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MOURAD DHINA, chef-terroriste enfin arrêté !

Les pleureuses algériennes, d’un arbitraire révisionniste et négationniste, veulent sauver un criminel présenté comme humanitaire !

dimanche 19 février 2012, par Azouz Benhocine

Un commanditaire du terrorisme algérien des années 90, du nom de Mourad Dhina, qui s’est satisfait publiquement et à plusieurs reprises via les médias des tueries, particulièrement celles qui avaient pour cibles les intellectuels, a été arrêté le 16 janvier 2012 en France. Il est présenté par ses soutiens en : humanitaire et hautement intelligent et même "DOCTOUR".

Il ne serait pas le seul prédicateur du terrorisme islamiste à être bien diplômé ! L’islamisme en général se doit aux campus théologiques qui engagent, suite à l’endoctrinement, des millions de jeunes BOMBES HUMAINES. Toutes les têtes d’Al Qaeda, du 11 septembre, étaient ingénieurs et DOCTOUR ! Une filière de l’Internationale Islamiste...

Une pétition a été produite par des journalistes algériens, première corporation à avoir été ciblée par le terrorisme, pour le livrer à la justice algérienne. Cette dernière a lancé, depuis 2003, un mandat d’arrêt international à l’encontre du présumé. La pétition, malgré le peu de publicité, a engrangé plusieurs centaines de signatures en moins d’une semaine.

POUR LA SIGNER ENVOYER un émail à : dhinacriminel@yahoo.fr

Celle soutenant le chef-terroriste, outrancièrement propagée par un média nommé Rashad qu’animait l’emprisonné lui-même et bien de nombreux sites qui s’accordent de temps à autres l’apologie de l’islamo-terrorisme, reste sur son chiffre de signataires, malgré la 5ème semaine de son émission à l’opinion publique.

Jamais la France n’a extradé d’opposants politiques algériens. Cette fois il s’agit d’un leader du crime politique de l’islamisme violent qui menace plusieurs pays du monde. Et qui continue en Algérie à massacrer aveuglement d’innocents enfants d’un peuple plus que martyrisé par l’obscurantisme assassin...

ALORS QUE NOUS PUBLIONS CE SUJET 4 citoyens, dont 2 jeunes militaires, ont été tués aujourd’hui 19 février 2012. Une bombe a éclaté au passage d’un camion rempli de jeunes soldats. Le véhicule militaire était suivi par un autobus de voyageurs...

Mourad Dhina est sous contrôle judiciaire depuis que la police française l’a appréhendé, le 16 janvier. Le nouveau juge d’instruction français Marc Trévidic, chargé de l’enquête sur la mort des moines trappistes de Tibhérine, s’est rendu en Algérie en début février. La coïncidence de cette visite avec la présence derrière les barreaux de cet individu, au parcours clairement fait en matière d’islamisme, n’établit pas encore de lien entre les deux cas, pourtant bien édifiante.

REVENDICATION DE MOURAD DHINA DES TUERIES

L’impuissance des autorités algériennes d’exécuter un mandat de justice, et le mutisme des victimes du terrorisme désarmées devant les complicités, qui s’avèrent plus puissantes avec ce cas, n’ont pu arriver à bout des chefs du crime politique signé par l’islamisme violent qui sévit dans le monde.

Pas si curieuse que ça la coïncidence ! L’homme a trempé dans les plus sordides tueries. Le nouvel enquêteur français est réputé pour être tenace et imperméable aux pressions. Son déplacement concorde avec la présence, entre les mains de la justice française, de l’homme qui a assumé les carnages subis par le peuple algérien pendant deux décennies, d’ailleurs qui continuent sous le label AQMI.

Quand le bras armé de l’islamisme s’est déclaré en Algérie, il portait le nom « El-Hidjra ou Takfir » et était partagé par l’ensemble de la mouvance islamiste sans exception. Puis devint le FIDA (Front Islamique pour le Djihad Armé) pour être soumis au parti de toutes les terreurs "l’ex FIS" qui ont marqué les esprits aussi bien en Algérie que dans le reste du monde.

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Mourad Dhina était parmi les animateurs essentiels de toutes les organisations criminelles des débuts (décennie 90), avant que le contrôle des hordes de tueurs échappe à même les fondateurs. Mourad est le maître attitré qui a préconisé « d’algérianiser » le terrorisme sous le vocable « El-Djaza ra » (l’algérianité). Celle qui est l’origine de l’actuelle AQMI

Contrairement à ce qui est dit par les soutiens et partisans de cet individu, qui avancent qu’il a rejoint l’ex FIS (le parti aux menaces les plus brutales) en 2002, alors ce dernier a été dissout en 2001 par le tribunal de Blida. Mourad Dhina a été des militants du FIS dès les premières heures, à qui le poste de ministre était promis comme membre fondateur.

Parmi les inventeurs et promoteurs du terrorisme ainsi que des premiers à tracer ses actions, il était même au sein des rédacteurs des déclarations, que des criminels analphabètes ne pouvaient si bien rédiger. Et ce d’après les aveux de jeunes arrêtés par les forces de sécurité dans l’algérois et précisément des environs ouest de la capitale.

POUR LA SIGNER ENVOYER un émail à : dhinacriminel@yahoo.fr

A suivre : Recoupement entre deux faits que le double contexte met en lien.

NOUS METTRONS EN LIGNE AUJOURD’HUI, les TROIS autres parties de cet article.

Les signataires :
Amara Benyounès (ancien ministre, secrétaire général du Mouvement populaire algérien, MPA)
Saïd Lakhdari (député, mouhafedh du FLN à Tizi Ouzou)
Saliha Djeffal (députée)
Kamel Boumendjel (médecin, ancien vice-président du groupe parlementaire du RND)
Boudache Nacer (ancien chef de groupe parlementaire du RND au Sénat)
Fouad Boughanem : (directeur du Soir d’Algérie)
Larbi Ouannoughi (journaliste)
Abdelouaheb Djakoune (directeur de la Nouvelle République)
Idir Benyounès (directeur de la Dépêche de Kabylie)
Amine Alouache (directeur du Jeune Indépendant)
Hakim Laalam (journaliste , écrivain)
Nacer Belhadjoudja (directeur de la rédaction du Soir d’Algérie)
Kamel Amarni (journaliste)
Madjid Sellamna (réalisateur)
Lakhal Larbi (cinéaste)
Ouahab Hebbat (directeur de l’agence Newpress)
Ali Mecheri (gérant du Jeune Indépendant)
Badreddine Manaa (rédacteur en chef du Soir d’Algérie)
Rabha Tounsi (victime du terrorisme)
Boudjera Nassima (traductrice)
Slimane Laouari (journaliste)
Mountasser Oubetroune (journaliste)
Mehenna Hamadouche (La Nouvelle République)
Samir Sabek (directeur de la rédaction de la Nouvelle République)
Ould Ibrahim Belaid (agent commercial)
Majda Batel (assistante)
Naïma Khalfaoui (cadre)
Aïnouz Madjid (directeur administratif)
Nabila Saïdoune (journaliste)
Mohamed Mouloudj (journaliste)
Samir Sid (reporter photographe)
Mustapha Aït Mouhoub (journaliste)
Nawal Imessaoudène (journaliste)
Abder Bettache (journaliste)
Kebci Mohamed (journaliste)
Kader Bakou (journaliste)
Salima Akkouche (journaliste)
Cherif Bennaceur (journaliste)
Sennoun Bachir (employé)
Amel Saher (journaliste)
Sahla Sid Ahmed (journaliste, dramaturge)
Mustapha Zitouni (journaliste)
Sid Ahmed Bendas (traducteur)
Hassaïn Ghouati (cadre de l’éducation à la retraite)
Lyas Hallas (journaliste)
Akli Rezouali (journaliste)
Djarboub Mohamed (Newpress)
Belghoul Anis (Newpress)
Abbaci Abdelkader (employé)
Berkat Redouane (reporter photographe)
Chabaraka Hamid (journaliste)
Zoubir Khellaïfia (journaliste)
Meguiref Hayet (journaliste)
Guenif Mohamed (manager)
Taftichte Idir (chef de parc auto)
Houri Chafik (employé)
Hamza Mahmoudi (employé)
Tarik Hafid (journaliste)
Kamel Bougdal (journaliste).
Suivra...

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