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où est passé le quartet chargé de trouver une solution au conflit du Proche-Orient €¦

€¦ Quand résonnent les arsenaux causant des tueries !

lundi 31 octobre 2011, par Rebel Kazimir

Le conflit du Proche-Orient ne mériterait-il pas de solution d’après les tergiversations des responsables du monde. Le Quartet, nommé en 2002 avec Tony Blair comme envoyé (actuellement), est composé des États-Unis d’Amérique, de la Russie, de l’Union européenne et des Nations unies.

Ce collectif, de grands responsables pourtant, a une lourde responsabilité devant l’humanité. Mais inactif, cette implication de l’institution internationale n’a aucun effet, tant pour prévenir le retour des violences que pour la poursuite d’un processus de paix clairement lisible et constituant une voie ayant un but dûment défini : la paix.

Le quartet (appelé aussi Quatuor) dort, alors que l’illégale expansion de la colonisation complique les perspectives pouvant concrétiser un fin de ce qui est le conflit « israélo-palestinien). La mission de ce collectif devait déboucher déjà en 2005 sur le score du règlement définitif. Le chemin vers l’issue, telle que fixée par le droit international et selon la fictive feuille de route, qui date de 2003, du quartet est désormais effacé.

Après la libération du caporal Gilad Shalit, de « binationalité » à l’instar du reste des effectifs de Tsahal -forme commune de mercenariat- (en étant américains, français, australiens, anglais et d’autres nationalités), contre un millier de palestiniens, une lueur d’espoir a été perçue d’un dialogue informel. Etonnamment, ce dernier a été manœuvré par l’entremise de l’Egypte et pas le paradigme du quartet brandi aux yeux du monde. Or un processus réel en mesure de faire cesser les souffrances, où commencent et se terminent ces dernières, doit mettre fin au colonialisme de peuplement.

Ce qui est loin encore de convenir aux israéliens qui se dressent face au monde et le mettant devant le fait-accompli. La connivence, non déclarée, de ce quartet fait de lui une institution en pierres inertes. Au regard de son parcours, car ce n’est qu’en 2005 que Tony a déclaré avoir accepté sa t che d’envoyé spécial ! Il succède à James Wolfensohn, l’ancien président de la Banque mondiale, qui était l’envoyé spécial du Quartet pour le désengagement unilatéral israélien de la bande de Gaza entre mai 2005 et avril 2006. L’arrivée de Tony Blair a été dans un premier temps rejetée par la Russie, puis accepté par ce seul membre peu enclin d’adhérer, spontanément, aux thèses israélo-occidentales.

La mission civilisatrice des spoliateurs occidentaux, à l’origine de la Shoah, qui ont investi au 19è et 20è siècles des continents, consistait à asservir les autochtones des territoires colonisés… La civilisatrice occupation de jadis était de peuplement, et se disant porteuse de valeurs. Mais loin s’en-faut, les sous-citoyens du second collège étaient destinés à être des esclaves peu émancipés avec le statut de l’indigénat en boulet brisant leur existence. La vaste opération colonisatrice était basée sur l’accaparement des richesses qui sont les matières premières aux grands b tis industriels européens.

L’INFAMIE DE L’APOLOGIE DU COLONIALISME

Pour se détacher des métropoles colonisatrices, des peuples menèrent des guerres libératrices que l’Algérie illustra en Afrique avec les armes à la main. Le colonialisme israélien, quant à lui, se définit comme une réhabilitation des juifs sur leur terre. Légitimant ainsi tant l’extermination des indus-occupants de sols avec un régime défini désormais, par non moindre personnalités de la diplomatie internationale, en apartheid. Que l’idée d’avoir une sécurité pour l’Etat hébreu dont sa pertinente violence reste toléré par ce quartet aussi et surtout !

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A entendre l’apologie de la colonisation sous quelque soit sa forme, on se demande est-ce possible que des êtres puissent croire que des crimes soient érigés en modèle ? C’est aussi le discours entretenu dans les médias occidentaux à propos du colonialisme qui l’unique source du conflit au Proche-Orient. Tellement pathétique les proclamations disculpant Israël, ne trouve pas tellement d’échos favorables au sein de l’humanité qui se demande aujourd’hui plus que par le passé, y-a-t-il une responsabilité raisonnable à la Maison Blanche derrière le conditionnement de l’opinion internationale pour que le conflit demeure éternellement ? Du moins quand les israéliens auront illégalement concrétisé… des territoires acquis…

Deux murs sont actuellement dressés pour séparer les gens. Celui obstruant le passage des émigrants rentrant aux USA par le Sud et celui qui prétendument sécuritaire sert à officialiser l’appartenance des territoires pris des palestiniens, qui se résignent à la non-violence comme l’ont pratiqué Mandela et Gandhi, offusquent plus d’un terrien.

Mais si le mur américain a l’avantage de se fixer sur des frontières reconnues, ceux multiples car ils sont nombreux qui s’érigent pour désespérer les palestiniens, méritent de bien être identifiés dans la géographie qu’ils dessinent et compris avec leurs réels objectifs. Ils coupent Bethléem de Jérusalem (où seuls les Palestiniens en possession d’un laissez-passer peuvent se rendre), mais aussi les villages les uns des autres, voire même séparent des villages en deux.

Se rappeler que les b timents, de l’ONU en institution internationale, ont été saccagés jusqu’à ce que leurs murs s’effondrent sur les refugiés palestiniens, lors de l’opération sanglante dite « Plomb Durci ». Cette dernière s’est soldée, en véritables crimes de guerre, par 98% des 1450 victimes sont civiles car seuls une vingtaine de militants du Hammas ont été tués. Et parmi ces civils, 65% sont des enfants et 35% sont des femmes.

L’ONU est devant l’admission du 194ème Etat, le palestinien, est loin d’exister pour la paix et le sauvetage des civils exposés aux massacres comme fut dit et répété pour le cas de la chute du régime Kadhafi. Ce qui ne s’applique pas pour Israël.

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Voir en ligne : Document joint à cet article. (voir en bas de l’article) Comprendre pourquoi le QUARTET est inactif

   
   

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