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Une femme ayant menti, sans avoir fait de prison, perdra ses droits de citoyen...
mercredi 24 août 2011, par
Le procureur Cyrus Vance, chargé de poursuivre DSK, reconnait qu’effectivement des rapports sexuels ont eu lieu. Mais il a décidé l’abandon de toute ma procédure, un flop consternant et au goût d’arbitraire. Et malgré la ferme conviction de l’avocat, Kenneth Thompson, qui étale avec forts détails l’agression de sa cliente, le procès n’a jamais eu lieu. La plainte pour viol d’une menteuse est donc irrecevable ! Quelle amère vérité d’une justice... qui fait penser...
Il est connu que la belle démocratie américaine n’a pas de justice pour les impécunieux. Combien de pauvres justiciables du pays de l’oncle Sam ont été condamnés, tout en étant innocents ? D’emprisonnés sans procès tels ceux pris dans la lutte contre le terrorisme ? Et de prisons secrètes ainsi que de sauvagement torturés comme en Irak ?
Le magistrat chargé de prononcer l’accusation ne s’imagine pas que la procédure intentée par la plaignante, une émigrée africaine, soit crédible. Inventer un viol collectif pour obtenir une Green-Card (le titre de séjour des USA)... puis donner 3 versions différentes du déroulement des faits, de celui de New-York dont la matérialité ne peut nier, annule une procédure qui n’a jamais été commencée... Et cet éthique étonne, les féministes la voit phallocratiques.
La théorie du complot contre DSK était liée aux élections présidentielles de 2012 en France. Pour l’en empêcher de se présenter, alors qu’il écrasait dans les sondages tous autres candidats quelque soi leurs chapelles politiques. Dans l’affaire de la suite 2806 du Sofitel de Manhattan, la possibilité est que Nafissatou Diallo soit protagoniste d’un piège. Une autre conspiration pour un but vénal, où elle s’est posée en app t. N’y-a-t-il pas là trop de conspirationnisme ?
La cabale inexplicable est selon le réquisitoire, de 25 pages, du magistrat Cyrus Vance pour mettre fin aux poursuites contre l’ex directeur du FMI, a contré plus la victime que démontrer. Il soutient l’existence d’un rapport sexuel, auquel les lésions visibles sur le corps de la femme de chambre ne peuvent être attribuées. Comme mettant en exergue la machination, il met le doute que le plaisir ou bien l’argent pouvaient justifier le consentement. Car l’évidence de l’acte sexuel ne peut être démentie.
Des preuves, à la matérialité médicale, contrées par la puissance des réseaux de DSK.
Scientifiquement il n’est pas difficile de déterminer si deux personnes ont partagé, ou pas, des rapports sexuels. C’est le sexe de l’homme qui laisse des dépôts de peau qui peuvent facilement être prélevés. Ensuite être attribués à leur propriétaire, selon l’analyse d’ADN. Ces traces, provoquées d’écorchures infimes, resteront (sous formes de débris de peaux) sur le second partenaire. Ainsi que comme lésions conséquentes des frottements seront discernables au niveau des appareils (génitaux-sexuels) des deux partenaires. La consistance des tissus musculaires dans ces parties intimes, est d’une fragilité à l’origine de toutes les sensations de plaisir.
C’est ce qui s’est passé pour les deux françaises tuées en Argentine en juillet. Vite les médecins ont déclaré les viols. Les effets physiques visibles sont résultats d’actes sexuels ne pouvaient être que forcés et violents. Les frottements sont tellement durs, comme dans la chambre 2806. Si le rapport de Cyrus Vance accable Nafissatou Diallo, il a grandement mis à l’écart les preuves médicales.
Selon les observations médicales de génécologie, des micro-saignements comparables à ceux provoqués lors de l’absorption de l’aspirine au niveau des parties, où se dissout la molécule « l’acétilisalicycate » sont détectables. Ils se produisent lors des pénétrations, et au fur à mesure qu’elles sont étroites, ces égratignures sont probables. Elles sont dus aussi à l’étirement de la peau du sexe m le qui, en cas où il n’y a pas eu lubrifications, ces blessures s’engendrent inéluctablement.
Enfin, en ce qui concerne le transfert du HIV (sida), il est connu que l’inoculation de ce virus monstrueux, d’un malade à un corps saint, s’effectue sur et avec les systèmes sanguins des deux personnes. Et non directement par les conduits des sexes, soient la verge de l’homme ou le vagin de la femme, qui eux s’inondent et extériorisent des liquides. Ce sont ces petites lésions et leurs saignements qui causent la contagion. C’est aussi le cas pour d’autres maladies vénériennes.
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