Sans consultations et ni dialogues, au moins comme formalité diligentée pour la forme, Bouteflika joue avec les nobles intentions du peuple. Comme il l’a fait déjà à maintes reprises, en recourant à la désignation (ou proposition) de commissions ou en modifiant des calendriers au gré de son appétence à gouverner !
Logiquement, le 28 avril prend fin son mandat à la tête de l’Algérie, dernière mandature à avoir été volée au peuple, au détriment de ses lois dont la constitution et de la (...)
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Bouteflika transforme en "coup d’épée dans l’eau" les manifestations !
11 mars 2019, par Djamel Damien Boucheref -
La félonie dans une lettre de Bouteflika assuré d’être élu, sinon le chaos !
7 mars 2019, par Djamel Damien BoucherefLe chantage de la stabilité du pays est repris successivement par le chef d’état-major, Gaïd Salah, et par le président dont la candidature est contestée. L’un dit, dans son discours prononcé dans l’académie militaire de Cherchell, la préservation de l’acquis de la paix concrétisée par l’armée. Et l’autre, depuis son lit d’hôpital à Genève, cite les manifestations qui le visent, comme l’Å“uvre d’officines dangereuses, comme d’habitude, vaguement identifiées.
Il est vrai qu’aucune (...) -
Son 5è mandat impopulaire, Bouteflika passe 8 jours de soins à Genève !
2 mars 2019, par Djamel Damien BoucherefAlors que le dernier séjour pour hospitalisation de Bouteflika, à Genève en Suisse, demeure dans le grand secret, les mauvaises sources d’informations à Alger s’adonnent à des spéculations infondées, voire farfelues. Notamment d’un changement inutile, voire inopportun même et dont l’urgence n’est guère avérée, de membres du gouvernement...
Au 2 mars 2019, cela fait 7 jours que le président algérien se fait soigner En Suisse. Et pour la première fois, depuis son arrivée en (...) -
L’Algérie manifeste 2 fois pour décanter les volontés de changement et d’Anti-5è mandat
25 février 2019, par Djamel Damien BoucherefAu lendemain des manifestations en Algérie, l’avidité, des moindres réactions, est grande. Les autorités, comme les militaires, redoutent l’enlisement. Mais l’emprise du clan de Bouteflika sur les affaires et les centres de décision, laisse de marbre les responsables de toutes les sphères. Les politiciens ; du régime avec ses pseudos opposants, complètement en faillite et embarrassés, n’osent même pas exprimer le bémol qui amoindrirait la colère collective.
A deux reprises, les (...) -
Au Maghreb, la langue française donne qualité à la scolarisation et la réussite sociale
21 février 2019, par Hugo MastréoLa bataille épique que mène une ministre algérienne contre l’idéologie mortifère et irréductible de l’obscurantisme, se déroule dans le plus dangereux champ de bataille. Au sein du système scolaire les islamistes algériens, qui ont aussi signé la pire violence de l’époque contemporaine de l’humanité, ont un ancrage qui est bien précisé : leur idéologie nationaliste est confessionnelle !
La confrontation linguistique est plus omniprésente, même si les sages et les scientifiques comptent (...) -
Les Algériens veulent un président jeune et moderne, des candidats ont ces qualités...
16 février 2019, par Djamel Damien BoucherefNotre sondage créé en 2014, avec le 4ème mandat volé par Bouteflka, fait ressortir le choix d’une "nouvelle tête" à la première option. Depuis l’émergence du général Ali Ghediri parmi les prétendants, le cas du militaire n’a cessé de gagner des points jusqu’à être en seconde position, en équivalence avec le cadre ayant gagné de l’expérience dans les affaires du pays. C’est que le candidat issu de l’armée est aussi un visage nouveau et inconnu de l’ancien personnel...
Les Algériens (...) -
Des actes antisémites suggestifs de lecture des traits indiquant comment est l’auteur
14 février 2019, par JacoDéplorer des actes antisémites vaut des réactions. Mais rien n’indique que les méfaits incriminés ne reviennent pas, un autre jour, encore plus visibles. Ceux découverts en France lors de ce février 2019, sont carrément assez exposés, pour ne pas inaperçus. Mais les mains qui les ont commis questionnent ? Car toute une mise au point est faite pour que le public les découvre, les médias en parlent. Et surtout qu’un autre sujet, que celui de la grogne sociale que celle des "Gilets Jaunes", (...)
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Le plus grand terroriste algérien court toujours et, grâce à l’impunité, publie ses aveux
10 février 2019, par Djamel Damien BoucherefLe livre de l’année 2019 en Algérie n’est pas de Sensal, Daoud, Ammari, Benfodhil ou Boudjeddra. C’est même le plus grand guerrier des "Arabe-afghans" qui le signe, au détriment de la justice de son pays surtout. Son auteur a côtoyé des icônes d’Al-Qaïda. Il a le toupet de retracer, car acteur ayant directement eu la main à la pàte, de ce qui est la "décennie noire" et les arcanes terroristes. Les voyous qui assument leurs prières ne s’offusquent pas que l’islamisme est téléguidé par la (...)
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"La haine de soi" que les censeurs ressentent, en Algérie, pour la critique sociale
5 février 2019, par N.E. TatemIls appellent "la haine de soi" quand on en veut à la pure bêtise. L’insanité nourrie de son affichage arrogant, est une adversité alliée à la calamité. Laquelle gagne la priorité, dès lors que l’on désigne, sans détours, le portrait de la gaucherie collective. C’est comme un irrespect du peuple, de la nation et de la culture quand une expression ravage l’état d’ébriété dans lequel les marcheurs d’une parade funéraire se dirigent nus à la mosquée. Et pour la mort, le devoir de silence et (...)
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Des clochards, des opportunistes et un général de l’armée aspirent à présider l’Algérie
24 janvier 2019, par Djamel Damien BoucherefNous étions quelques 100 000 Algériens à avoir demandé à l’armée de faire cesser la mascarade électorale de 1990/91. Pratiquement les mêmes, nous avons sollicité les mêmes guerriers à retirer à Ali Kafi la présidence pour remettre en route les voies démocratiques des votes. Sans être supplié, surgit de la platitude un officier des casernements comme ne les aiment, surtout, pas les islamistes. Accueilli promptement par un plébiscite populaire, Ali Ghediri régénère un scénario connu à l’orée (...)