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Journalistes des USA censurés pour les crimes d’Israël...

... AIPAC et droite suprématiste réduisent la liberté d’expression aux Etats-Unis.

mercredi 23 octobre 2024, par N.E. Tatem

Il est souvent reproché à l’AIPAC, en particulier aux États-Unis, d’exercer un lobbying intense pour influencer les médias et les politiques publiques en faveur d’Israël. D’où l’autocensure avérée, car des rédactions affirment leur crainte de représailles ou de perdre leur activité, hésitent à critiquer l’État hébreu. Et régulièrement, les médias occidentaux présentent une image biaisée du conflit israélo-palestinien, en minimisant les violations des droits de l’homme commises par un abject colonialisme et en exagérant celles des Palestiniens.

Le besoin, à la fois, du PRESS Act et de protections renforcées du Premier Amendement pour la presse, devient un programme d’indépendance des médias et des journalistes à la fois du gouvernement, des forces de l’argent et des cercles influents. À l’occasion de la Journée mondiale du chiffrement, nous exhortons le Congrès à prendre au sérieux la protection de la vie privée des Américains et à mettre fin aux manifestations de censure.

Les attaques contre les journalistes aux USA, toujours masquées.

Les élus européens veulent légaliser l’espionnage des journalistes.

Quand vous êtes la proie des expressions comme « la communauté internationale » ou bien les pays dits « les démocraties », relatant les opinions des pays occidentaux qui se portent exemplaires aux yeux du reste du monde, il faut se démettre avant d’être broyé. Mais les journalistes honnêtes qui couvrent la démence des injustices, sont persécutés. Seules des fenêtres de liberté leur permettent des challenges pour surmonter les entraves qui les empêchent de dire les vérités.

Les enjeux liés à la liberté de la presse et sur les défis auxquels sont confrontés, éditeurs et journalistes aux USA, pour se protéger et barder leurs sources des décideurs véreux et des politiques criminelles, ne sont pas gagnés. L’affaire du journaliste américain Jeremy Loffredo est la dernière à venir mettre en exergue le manque de liberté qui date de l’ère de la « Black List » et cette foi, Israël est impliqué.

La loi PRESS soumise au Sénat pour être adoptée reste au suspens alors que se détériore encore la liberté des journalistes qui sont soumis à l’establishment. Les patrons investisseurs détiennent les supports médiatiques. Et à la droitisation des lignes éditoriales devenant des propagandes ouvertement racistes et impérialistes, sont devant un combat généralisé dans les pays occidentaux.

« Cette loi protégerait efficacement ceux qui servent l’intérêt public en dénonçant les méfaits du gouvernement. Et elle aiderait à protéger tous les Américains, qui ne méritent rien de moins que la vérité complète sur les fonctionnaires qu’ils élisent et le gouvernement qu’ils financent. », dit l’éditorial du New York Times publié dernièrement.

D’autres libertés des citoyens sont bafouées. Des rapports déclassifiés et d’autres indices montrent depuis longtemps que la section 702 de la loi sur la surveillance du renseignement étranger a été utilisée et détournée pour espionner les Américains. Les services de renseignement doivent donner une estimation des collectes « accidentelles ». Des associations manifestent pour la vérité, ICI.

Les accusations contre Loffredo, arrêté le 9 octobre 2024, sont apparemment basées sur son journalisme concernant l’impact des frappes de missiles iraniens en Israël. Des vérités cachées au public, mais remplacées, comme pour le 7 octobre 2023, par des Fake News. De telles conséquences aux journalistes américains est leur punition pour avoir rapporté des informations. Le gouvernement responsable pour un allié, l’État hébreu, si le journaliste rapporte pour un média jugé controversé.

Les journalistes face à l’emprisonnement, la censure et les tueurs.

11e analyse de la communication sociétale dans la région MENA.

Ça se passe dans plusieurs pays du Monde, mais plus aux États-Unis et c’est presque commun. Avec l’élection présidentielle américaine, les rédactions se concentrent sur leur sécurité. Comme l’explique le directeur exécutif de la FPF (Freedom of the Press Foundation) Trevor Timm, « les services de police ont le sentiment qu’ils ont le pouvoir de violer les droits des journalistes. Et puis, ce qui se passe, c’est que cela se transforme en effet boule de neige. De plus en plus d’agences de police répriment encore plus durement. ».

Réunies, 57 des personnes les plus puissantes des médias américains ont été questionnées lors de l’édition annuelle « Power Issue » de 2023, consacrée à l’avenir de leur gagne-pain dans la ville de New York. Leurs avis augurent un avenir aléatoire, au regard de la crise de deux poids, deux mesures de la couverture médiatique du génocide à Gaza.

Le directeur chargé du plaidoyer de la FPF, Seth Stern, et d’autres experts ont discuté, 21 octobre 2024, des menaces à la liberté de la presse, notamment du meurtre de journalistes par Israël à Gaza, du Projet 2025 et des poursuites contre Julian Assange. Toutes les embûches ne viennent des États-Unis, mais la grande nation est interventionniste, puis elle n’épargne les États qui ne soumettent pas à son diktat.

La police et les procureurs qui se vengent des journalistes pour leurs reportages devraient en prendre note. Car la Cour suprême veut que les personnes dont les droits garantis par le Premier Amendement sont violés par les représailles du gouvernement puissent se présenter devant le tribunal. Et encore mener toutes les lourdes procédures pour ne pas plus être harcelés.

Partout sur Terre, la crédibilité des médias est brisée. Une partie de la population se méfie de plus en plus des médias traditionnels, accusés de partialité. Les tentatives de censurer ou d’intimider les journalistes est pratiquée, en dépit que c’est une atteinte grave à la liberté d’expression. Maintenant la « théorie du complot  » est une dotation, qui barde le sionisme et l’AIPAC. Pourtant, les deux méritent d’être examinées sur les généralisations des éliminations physiques, comme à Gaza, des journalistes, en les tuant et en les empêchant de couvrir ce qui est factuel.

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Voir en ligne : USA - Etats-Unis - Journalistes - Presse - Média

   
   

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