Deviner à quoi réfléchit une personne à un certain moment intéressant pour ceux qui l’observent est une quête qui a animé bien la curiosité. Tout le monde sait que c’est dans le cerveau que s’invente l’imagination et la pensée. La lire en instantané, là est la prouesse. Alors pour savoir que contient ce moment est comme percer un secret. Pour cela des scientifiques ont combiné l’IRM (Imagerie à Résonnance Magnétique) et IA (Intelligence Artificielle)…

C’est comme aller dans l’intimité des gens, donc il faut une certaine éthique qui soit renforcée. Les auteurs, de la recherche scientifique expérimentale, soulignent l’importance d’envisager des politiques qui protègent la confidentialité de nos mots et pensées intérieurs. Sinon ils contiennent bien des confidences les plus privées et personnelles.

Il a été même mis à l’épreuve le sujet qui refuse de révéler ses pensées. La technologie a été testée pour voir ce qui pourrait arriver si quelqu’un voulait résister ou saboter les scans. Un participant à l’étude a parodié en racontant simplement une autre histoire dans sa tête. Lorsque les chercheurs ont demandé aux participants de faire cela, les résultats étaient du charabia, «  … le décodeur s’est complètement effondré.  », selon le témoignage d’un scientifique.

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Le modèle d’IA rate beaucoup des histoires qu’il décode. Car c’est une technologie qui n’en est qu’à ses balbutiements. Comme on le sait, c’est un apprentissage qui évolue avec machine et algorithme. Les limitations technologiques actuelles empêchent le décodeur d’être largement utilisé et soulignent la nécessité d’adopter des politiques proactives qui protègent la confidentialité du dossier médical de ses processus mentaux internes.

Les chercheurs savent que le système de langage, un des premiers parents du modèle derrière ChatGPT, peut aider à faire des suppositions éclairées sur les mots qui évoquent l’activité cérébrale simplement en regardant les scanners cérébraux IRMf. Ce n’est pas une méthode généralisée, l’IA s’adapte à chaque sujet dont la mémoire est scannée. Il faut une personnalisation qui avance son savoir, à mesure que les chercheurs découvriront des points communs dans le cerveau des gens à l’avenir.

Le déchiffrage se débat avec des caractéristiques grammaticales telles que les pronoms. Il ne peut pas comprendre les noms propres tels que les pseudos farfelus et les lieux. Et parfois, les choses sont complètement fausses. Mais il atteint un haut niveau de précision, par rapport aux méthodes passées. Entre 72 et 82 % du temps, le décodeur est précis pour exprimer leur signification et ce pas est le coup d’un hasard.

L’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) capture les idées immédiates grossières ou colorées du cerveau en activité. La capacité à cette technique d’imagerie médicale permet d’avoir des panoramas en deux ou en trois dimensions de l’intérieur de tout le corps. La manière de supervision est non invasive mais de résolution en contraste relativement élevée pour être comprise.

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Il ne s’agit guère de l’utilisation d’une machine (le scanner) à lire dans l’esprit, en dépit que ce type spécialisé d’imagerie par résonance magnétique ait transformé les neurosciences cognitives. Les neuroscientifiques ne prétendent pas, mission impossible, qu’en regardant l’écran du scanner explorer le système cérébral, ils peuvent révéler ce que quelqu’un voit, entend ou pense…

A l’instar de tous les savoirs, cette discipline d’exploration des méninges est perfectible. Les chercheurs surmontent la barrière fondamentale en essayant de traduire les travaux de leurs expériences, pénétrant ce qui vraiment interne en mots à l’aide de l’imagerie cérébrale. C’est pour dépasser l’obstacle des pathologies qui rendent les patients aphasiques et mutiques que cette expérience a poussé la science à avancer.

Les interfaces cerveau-ordinateur actuelles nécessitent l’implantation de dispositifs dans le corps du malade. Cette technologie aide d’abord les personnes qui ne peuvent pas parler ou communiquer avec l’extérieur, comme celles qui ont subi un accident vasculaire cérébral ou qui vivent avec la sclérose latérale amyotrophique, à formuler des contacts avec d’autres humains.

C’est en temps réelle que l’imagerie consacrée aux parties cérébrale, celle à résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) ou l’électroencéphalographie (EEG), filme des éléments qu’il est nécessaire de décrypter pour avoir lecture qui est étudiée. L’aide de la nouvelle technologie de l’IA, basée sur l’apprentissage continuel, est non négligeable.

Cette dernière développe l’éclairage pour comprendre les captures des prospections imagées de l’activité de la matière dite grise que recèle la tête... Les recherches sont en marche pour interpréter les ondes cérébrales afin de comprendre les pensées des individus. Elles s’articulent en prospection, dans les méandres des têtes des individus, comme pour différencier le mensonge et la vérité.

Une vidéo présente une représentation stylisée d’un nouveau processus de décodage de langue. Un décodeur génère plusieurs séquences de mots (bandes de papier) et prédit à quel point chaque séquence de mots candidats est similaire à la séquence de mots réelle (perles de lumière) en comparant les prédictions des réponses cérébrales de l’utilisateur aux réponses réelles enregistrées. Crédit : Jerry Tang/Alexander Huth