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La Russie rend publics ses dossiers sur les ovnis.

Les petits hommes verts et leur cousin E.T. ont bien été vus par les russes...

mardi 28 juillet 2009, par Djamel Damien Boucheref

Très souvent le mythe (ou la réalité) des ovnis a été perçu sous l’angle et la culture des américains. Les russes, premiers à avoir conquis l’espace sidéral, viennent, depuis vendredi 24 juillet, de rendre public leurs archives des rencontres avec les ovnis. Une certaine rationalité préside les propos des experts de ce pays. Déjà qu’ils sont aussi les premiers à avoir tenté, et continuent encore, des essais en la conception d’avions et hélicos inspirés des technologies des ovnis, du point de vue structure et manière de se déplacer.

Les ufologues ne sont plus sceptiques, les ovnis sont envoyés par des civilisations lontaines...

Remontant à l’ère soviétique, ces documents ont été rassemblées par un groupe de spécialistes de la marine qui, cette institution, a pris l’initiative de cette diffusion.

L’ère du secret-défense semble s’estomper, d’autant plus que les russes ont des arguments, on ne peut plus clairs. Les extraterrestres ont plus prédilection, et l’ont été toujours, des profondeurs océaniques, se rapprochent trop souvent des installations militaires et sont plus visibles dans les coins mystérieux de notre Terre, notamment le Triangle des Bermudes.

Pour les russes 50% des rencontres avec les OVNI sont liées aux océans et 15 autres aux lacs dont le Baïkal, le plus profond du monde.

Plusieurs dossiers sont éloquents par leurs révélations. L’un d’eux relate le cas d’un sous-marin en mission dans l’océan Pacifique, et qui a détecté six objets inconnus. Ne parvenant pas à semer ses poursuivants, le capitaine a ordonné de faire surface. Les objets ont imité le sous-marin et se sont ensuite envolés dans les airs.

Le document le plus insolite des russes : CRACH d’OVNI

La rencontre russe LA PLUS IMPORTANTE

La rencontre américaine

Pour le Triangle des Bermudes, nombreux événements mystérieux ont eu lieu dans cette région, se souvient le contre-amiral à la retraite Yury Beketov. Les instruments se dérèglent inopinément et sans raison technique apparente en subissant des interférences externes aux équipements en place. Certainement des perturbations volontaires opérées par les OVNI, d’après les hypothèses avancées par l’ancien officier.

D’autres parts selon un autre officier nommé Igor Barklay, vétéran de l’information navale : « Les OVNI des océans apparaissent souvent là où se concentrent nos flottes ou celles de l’OTAN » comme aux Bahamas, aux Bermudes et à Porto Rico. « On les rencontre aussi fréquemment dans les zones les plus profondes de l’océan Atlantique, comme dans la partie sud du Triangle des Bermudes, et aussi dans la mer des Caraïbes », affirme-t-il.

Un autre lieu est régulièrement le thé tre d’observations d’OVNI. C’est le lac Baïkal, en Russie, la plus grande réserve d’eau douce liquide au monde. Des pêcheurs ont à plusieurs reprises vu des lumières puissantes provenant des profondeurs et d’objets s’envolant hors de l’eau. Le cas particulièrement intriguant, datant de 1982, est celui d’un groupe de plongeurs militaires qui s’entraînaient au lac Baïkal. Les sept hommes ont repéré un groupe de créatures humanoïdes en costumes argentés. La rencontre s’est produite à 50 mètres de profondeur. Les plongeurs ont essayé de capturer les êtres. Trois plongeurs ont péri dans l’aventure, tandis que les quatre autres ont été gravement blessés.

« A plusieurs occasions, on a pu observer sur les instruments de détection des objets se déplaçant à une vitesse incroyable. Des vitesses d’environ 230 noeuds, soit 400 km/h, d’après les calculs. Naviguer si vite relève du défi, même à la surface. La résistance de l’eau est bien plus grande », explique un autre expert M. Beketov. « C’était comme si les objets défiaient les lois de la physique. Il n’y a qu’une explication : les créatures qui les ont construits nous surpassent de loin ».

« Je pense à des bases sous-marines et je me dis : pourquoi pas ? Rien ne devrait être écarté », juge Vladimir Azhazha. « Le scepticisme, c’est la solution de facilité : ne croire en rien et ne rien faire. Les hommes visitent peu les grandes profondeurs. C’est donc important d’analyser ce qu’ils y rencontrent », a été sa conclusion.

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