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L’alerte du rapport du GIEC sur le climat, 6e sur la catastrophe aggravée.

Les scientifiques avertissent les politiques de la décadence environnementale.

lundi 16 août 2021, par N.E. Tatem

Le triptyque de la crise climatique, de perte de biodiversité et pollution est une morne besogne collective de l’homme sur la nature. C’est une brutalité qui fonctionne au niveau mondial. Mais c’est localement et même individuellement que sa réparation doit être faite et signée. Le scénario de bloquer la montée de la chaleur à 2°, est impossible. Elle sera dépassée d’ici 2050, pourtant les appels son incessants.

Sous les yeux des humains, le changement climatique a ses récents événements estivaux. A travers le monde des incendies de forêt dévastateurs. Mais des autocraties comme en Algérie, les despotes attribuent ces feux aux pseudos ennemis du pays. Histoire de nier ce qui probant et frappe partout, alors même que des scientifiques avertissent.

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Le dernier rapport du GEIC, qui fait le buzz réel et utile, nous le rappelle. Ces événements désastreux seront plus fréquents et violent, déclarent nombreux prévisionnistes. Les facteurs naturels et la variabilité interne moduleront les changements causés par l’homme, en particulier à échelles régionales et à court terme, avec peu d’effet sur le réchauffement climatique centenaire.

6è rapport d’évaluation du groupe IPCC de l’ONU
Changement climatique généralisé, rapide et qui s’intensifie – GIEC

A 3 mois du Cop-26, l’appel venant de la bouche du secrétaire général de l’ONU, suivi du rapport GIEC, constituent une alerte actionnée pour réveiller encore une fois la mobilisation pour limiter le réchauffement climatique. L’émergence des maladies zoonotiques, comme la Covid-19 reconsidère le rapport de l’espèce dominante sur la planète, de l’humain, avec la nature.

Conjointement une Nème alerte sur le réchauffement climatique qui est un problème planétaire, voilà encore une fois un travail scientifique qui tente d’interpeller les humains et leurs politiciens à une mobilisation plus ardue. Car des gouvernements dans le monde ne prennent pas le changement climatique au sérieux. Nous avons parlé dans un de nos article des climatosceptiques.

Il y a moult conclusions ONG comme le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (GIEC), de la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique pour la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES), des rapports du PNUE (Programme de l’ONU pour l’Environnement). Leur rapport contient des conclusions peu optimistes.

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Puisque les humains sont à l’origine de ces changements, nous avons le pouvoir de les arrêter disent les chercheurs. Le rapport soutient que si des mesures fermes et rapides sont prises par les gouvernements et les décideurs, il est possible que la planète évite certaines des conséquences les plus désastreuses du réchauffement climatique.

Induite uniquement par l’homme, la catastrophe du changement climatique affecte la vie sur Terre avec de nombreux phénomènes météorologiques et climatiques extrêmes. Des preuves de transformations observées sont extrêmes. Elles se manifestent en vagues de chaleur, de fortes précipitations, des sécheresses et des cyclones tropicaux.

Le changement des mentalités pour trouver des solutions politiques et techniques à la hauteur des crises environnementales est acculé par des rapports de scientifiques fournis comme des alertes. Ils sont reproduits parce que la dégradation continue et le réchauffement climatique le suit avec une ampleur plus accélérée.

Le GEIC dresse un partenariat entre les scientifiques. C’est ce que fait de son travail une source d’information crédible pour les décideurs. Comme il ne mène pas ses propres recherches. Mais il identifie où il y a un accord dans la communauté scientifique, où il y a divergences d’opinions et où des recherches supplémentaires sont nécessaires. Et il fait une synthèse avec un groupe de travail diversifié.

Ici Populi-Soop vous présente le rapport interactif, 6e de 2021 sur le climat dégradé.
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Voir en ligne : COP (les anciennes conférences COP, depuis celle de Paris la 20é)

   
   

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