Les agents des polices aux USA sont historiquement proches ou adhèrent aux idées du Ku Klux Klan. Et ceux de l’Hexagone sont défendus par le parti xénophobe de la dynastie Lepen et ces employés d’un service régalien de l’Etat s’y inscrivent au dogme défendu par cette organisation de l’extrême-droite. Laquelle affiche publiquement une priorité et avantages à certaines communautés...

Risque de guerre civile aux USA : vote après des violences policières.
jeudi 1er octobre 2020

Souvent on se presse de classer des informations en « fake news » dès qu’elles se rapportent à des sujets gênants ou inappropriés. Comme pour les informations alternatives jugées erronées, or ce sont des sujets et des actualités ignorées et méprisées les supports « mainstream » de la sphère médiatique corporatiste et traditionnelle. Mais la vérité finit par s’imposer.

L’année 2021 a commencé avec des faits qui suscitent des réflexions sur les inégalités dans les pays qui se targuent de modèles de démocraties et même défenseurs exemplaires des droits de l’homme. Alors que les populations de ces nations sont en plein changement, leurs systèmes d’accueil et d’assimilation ne sont pas justes envers les déclassés des citoyens nouveaux ou discriminés…

Quand un regroupement de plus d’un millier de personnes, lors du passage au nouvel an de 2021, tenue par des jeunes en France, n’a pas été perturbé par la police, alors que les personnes s’entassaient, en dépit des contagions au COVID-19, cette dérogation a questionné moult observateurs. Pourquoi l’impuissance de la police dans la dispersion de ces fêtards ?

Z. Redouane morte lors de l’acte-3 des gilets jaunes, en France, victime de bavure.
4 décembre 2020

Puis la foule de partisans de Trump a pris d’assaut le Capitole américain, dans le but de bloquer la certification de la victoire électorale de Joe Biden. Le service de sécurité de l’institution sur place, ainsi les appareils officiels. Ce qui s’est révélé d’impuissance a aussi interrogé sur la façon dont sont traitées les situations où les populations de second ordre semblent bien absentes.

Dans les débats, certains négateurs disent que le problème que des gens sont moins réprimés que d’autres, n’existe pas. Et d’autres bien soutiennent que les choses sont trop visibles pour être niées. Mais des faits récents montrent que si la commémoration du nouvel an était tenue par des beurs, des blacks et dans les ghettos des banlieues, elle n’aura pas eu la même approche par les flics.

Ou bien l’appréhension de l’assaut des suprématistes blancs sur les hauts lieux des principales assemblées des Etats-Unis, a le mérite de pousser à un regard plus rigoureux. Ce n’est pas une contestation antiraciste, comme celle liée à la mort de George Floyd qui lui sera permis une telle attaque, du siège d’institution qui pourtant pilote la vie et des fois est insensible à la haine.

Le privilège blanc sur wikipédia

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