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Le réchauffement climatique et la diminution des poissons dans les océans

Une étude alerte sur les quantités avec la réduction des professions et l’industrie de la pêche

lundi 11 mars 2019, par Gros Emile

Dernièrement des alertes ont été lancées sur l’extinction d’espèces des habitants de la Terre, angoissant les scientifiques qui savent que l’homme cause de tels dégàts. Ce qui le changement climatique impacte fatalement aussi les mers qui ont besoin, maintenant plus que jamais, d’une meilleure organisation de l’exploitation des produits de la pêche.

Ce qui est contradictoire entre le besoin en pleine expansion, du fait du relèvement du niveau de vie de nombreuses populations conséquemment de l’émergence économique, alors il faut parer à l’épuisement des ressources. Et il est difficile de s’accommoder de la réduction des poissons dans les océans.

En plein marche la diminution des quantités de la faune marine est signalée dans une récente étude publiée par la revue science, lire ICI. A une cadence alarmante les poissons disparaissent et les espèces les plus vulnérables s’épuisent en premiers. Pour le thon, qui est une catégorie connue de sa visibilité et de sa consommation, les quotas ont joué le rôle d’équilibrage et de sauvegarde.

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L’étude a toutefois a aussi montré que de bonnes nouvelles apparaissent dans l’ambiance d’alerte des médias et des scientifiques. Nombreuses pêcheries dans le monde ont déjà commencé à réagir au réchauffement de l’océan. Certaines bien gérées adhèrent aux actes écologiques d’une manière plus dynamiques que dans d’autres secteurs économiques, mais elles situent dans des zones précises du Monde comme en Scandinavie.

Des pauses de la pêche permettent de récupérer des effectifs de poissons. Les alertes initiés à ce sujet suscitent rapidement des réactions positives. Les changements climatiques modifient les habitats des poissons et des invertébrés marins. L’effet précis de ces réchauffements sur la production alimentaire potentielle est inconnu. Et on sait déjà que les sécheresses, à titre d’exemples, sont localisées mais pas généralisées.

La montée des niveaux des océans est constatée, ce qui n’a pas d’effet direct sur la faune maritime. Une période de températures exceptionnellement chaudes plus détectée à la surface de la mer, que dans les profondeurs, a fait monter les océans jusqu’à 9 mètres de plus qu’aujourd’hui. Cela s’est passé, il y a plus de 100 000 ans. Et peut-être ça a multiplié les poissons ?

Des régulateurs, des institutions internationales peuvent réparer les disparités régionales dans les captures de poisson, en contrôlant d’une manière rigoureuse la surpêche. Plusieurs des journalistes qui confectionnent des documentaires établissent des cas rejets de déchets de poissons mort ou n’ayant pas la norme autorisée.

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La préoccupation sur les stocks de poisson qui fournissent une part importante des protéines animales dans l’alimentation du monde, en particulier dans les pays côtiers en développement, est la tendance actuellement en vigueur. À cela se rajoutent les 60 millions de personnes dans le monde qui travaillent dans l’industrie de la pêche, ou qui en dépendent. Leur situation semble encore plus sombre, car leurs activités deviennent précaires.

Des chiffres sont utilisés par les lanceurs d’alertes et les journalistes. 4,1% auquel les scientifiques, est la réduction pour la période de 1930 à 2010, d’après l’étude. Ce qui est visiblement faible, mais cela vaut plusieurs dizaines milliers de tonnes de protéines, en une seule année dont l’humanité ne bénéficie pas.

Effectivement la population mondiale, passant de milliards à 7 pour la même période, est à l’origine de cet écart. Cette référence est au rendement maximal des océan. Pour qu’elle reste durable s’applique donc à la quantité de poisson que nous pouvons capturer sans épuiser les populations à long terme.

Les stocks de bar noir ont été parmi les rares à avoir augmenté au cours de la période étudiée. (Orion Weldon)

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Voir en ligne : Notre dossier Réchauffement climatique

     
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