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Google et la presse, Business is Business !

A chaque page du Net, les produits ont leur pub.

mercredi 24 octobre 2012, par N.E. Tatem

Le premier moteur de recherche sur Internet "GOOGLE" dispose à sa guise de tous les contenus des sites, les plus visibles lui doivent de les avoir exposer. Ceux de la presse constituent ceux à qui le nombre record de visiteurs se renouvelle toutes les minutes. L’information, outre le commerce et sa verve "marketing", constituent un important volume de requêtes des internautes...

Google n’est pas si incontournable que ça pour qu’un site-Web soit retrouvé et consulté par les internautes, notamment quand il s’agit d’un organe de presse brésilien. Puisque d’autres moteurs de recherche existent. Yandex (créé en 2010) dépasse désormais Google en Russie et gagne avec les usagers de langue russe. Et Baidu est aussi premier en Chine.

La presse française, ayant raté le tournant Internet, compte faire payer google parce qu’il montre ses articles. Quand on parle désormais du Web, d’ailleurs c’est le cas de tous les médias, la publicité devient le trésor que s’arrachent les sites. Nous avons publié un sujet sur POPULI-SCOOP de l’essor de pub en ligne. Facebook à lui-seul, pourtant relativement jeune sur Internet, a généré plus d’un milliard au 3ème trimestre 2012 par la pub.

Faire payer Google, pour l’indexation des sujets de la presse française, a été revendiqué en cette période où les revenus publicitaires connaissent une explosion sur le Net et vont être l’enjeu capital des années avenirs. Cette controverse, de la presse française et Google, a été vécue par un autre grand pays du Monde, le Brésil.

Le syndicat de presse brésilienne « ANJ » avait déjà choisi d’exprimer de vouloir des ristournes en affichant sa matière, depuis déjà plus d’un an. Google a frappé, en retirant les journaux brésiliens des premiers résultats de recherche. Selon l’ANJ, seule une partie évaluée à 5% des consultations est ressentie en perte. Mais, on ne reconnaît pas cependant, que les consultations devaient continuer dans leur rythme de croissance, qui chaque année rajoute des milliers de nouveaux clics… sans cesse.

En se conformant aux termes conventionnels, Google voit que la seule solution de la logique juridique est de désindexer tous les sites de la presse française de son moteur. Il rappelle qu’il envoie 4 milliards de clics par mois vers les pages de sites de la presse française. Et dans ce cas si la loi venait à être suivie, elle est tranchante et commercial.

Donc désindexer tous les sites de la presse française, ou l’annulation de la prestation du moteur de recherche, est la réplique têtue de Google. Elle consiste de montrer les contenus selon un classement dont il maîtrise leur exposition...

Certainement utilisé à dessein de répondre aux requêtes des internautes qui l’utilisent, tant dans la recherche, que pour connecter leurs machines (ordi, tables et téléphones) Google reste un puissant élément du Web. Et autour duquel gravitent des applications et autres sites faisant une entreprise implantée sur le Net avec un monopole. Ce dernier est dû aux performances qui évoluent aussi.

En réussissant à persuader les Internautes à emprunter le navigateur Chrome déjà installé localement dans les appareils, lors de la connection, et qui a détrôné IE « Internet Explorer » de Microsoft, Google garde la main sur le futur d’Internet !

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