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USA : démocrates et républicains poussés à marquer leur différence à propos de la paix au Proche-Orient.

NELSON Mandéla en la journée internationale de solidarité avec le peuple palestinien : 29 novembre.

vendredi 18 novembre 2011, par Gros Emile

Dans les ghettos américains la présence de tags muraux, d’expressions publiques comme lors de manifestations d’occupy Wall-Street et d’actes de violence comme des incendies de voitures ciblés pour être identifiés hostiles à Israë l s’affichent désormais en public. Bien sûr la communauté juive, à New-York plus qu’auprès cités où les vents de changement n’ont pas encore soufflés, s’inquiète. Mais ceux qui soutiennent la cause palestinienne pèsent d’une pesante charge d’agitation pour porter haut et fort la voix de la paix !

C’est une loi adoptée en 1990, référencée ainsi : "22 USC 287E" qui bloque la contribution financière américaine à l’UNESCO et non une décision politique. Cette loi est jugée préjudiciable aux Etats-Unis qui s’isolent dans la diplomatie mondiale. Elle est visée par un amendement qui fait débat.

Deux documents importants joints à cet article, pour comprendre le conflit et la fin des certitudes de l’Etat hébreu. Il ne s’agit pas de milliards comme le disent certains médias, une cinquante de millions seulement.

1- Mandéla et son soutien franc aux palestiniens.

2- Une étude pour comprendre le conflit du Proche-Orient et le soutien des USA à Israë l.

Les droits légitimes du peuple palestinien et la paix passent par des négociations directes entre les protagonistes du conflit, Israël et Palestine, ne cessent de scander les intervenants à propos de l’illégitime persécution collective que subit un peuple expatrié de force et la colonisation. Or il faut, comme le dit Nelson Mandéla et nombreux diplomates, il faut imposer au sionisme d’apartheid un boycott mondial pour le soumettre à la légalité international. Négocier avec des criminels de guerre, que sont les faucons de Tsahal et leurs complices, à rime l’entretien de ce conflit ?

Avec l’échéance des élections de 2012 aux USA, une puissante levée contestataire ayant comme toile de fond la question palestinienne suscite des haines exacerbées contre les arabes et les musulmans, mais soulève la vérité dans la diplomatie. Elle se lit surtout avec le rapport des USA à l’Etat hébreu pour une modification de l’état des choses. Cette année, le 29 novembre journée internationale de solidarité avec le peuple palestinien revêt un caractère spécifique car l’adversité qu’éprouvent les spoliés de leur terre, les palestiniens, se conjugue avec la paix dans un conflit frappant de part l’injustice criarde qu’il renferme et l’insécurité qu’il provoque.

Les politiciens se différencient plus nettement au pays de l’oncle Sam, au sujet des affaires du Monde. Avec l’impuissance des démocrates d’accélérer un processus de paix au Proche-Orient d’une part. Et de l’autre, la pression des républicains qui soutiennent que la sécurité américaine est liée au soutien du colonialisme israélien. Le champ politique américain subit une décantation plus rationnelle et véloce qu’auparavant. Les influences de la crise du capitalisme et du Printemps Arabe stérilisent, une épuration salutaire, les débats depuis la politique sanitaire locale jusqu’aux relations internationales.

Quand le blocage des contributions financières américaines à l’Unesco a été connu, il a été dit par nombreux médias comme une décision politique. Or il s’agit d’une législation qui stipule que les USA Saborder tout processus de paix au Proche-Orient se fait sans laisse place à quiconque de s’y opposer. Les Etats-Unis qui supervise depuis 60 ans une situation conflictuelle à laquelle ils n’arrivent pas à trouver de solutions, sont au banc des accusés du pays qui entretient plus la guerre que la paix dans cette région éloignée du continent des amériques.

Actuellement Obama a perdu son électorat juif, qui lui était favorable à 78% aux moments des élections et n’est actuellement qu’à 55%. Les républicains ne cessent de dire d’Obama qu’il est mou avec la Chine ou l’Iran. Aux USA se jouent les solutions de nombreux conflits sur Terre. Sous la pression des différents lobbys, et celui de l’armement tenant l’une des industries les florissantes de la Terre qui vendent à leur Etat fédéral, le capitalisme idéologique basé sur la domination est contesté avec l’émergence de nouveaux pays…

Les dépenses militaires des Etats-Unis représentent, plus de 700 milliards de $ par an. Trois fois la totalité des deux dettes de la Grèce et du Portugal, réunies et triplées, c’est exactement l’équivalent. Les démocrates, qui mettent au devant une nouvelle politique tendant à faire de la facture de la rigueur de crise, une charge payable par les plus riches, ont la t che plus dure. Et quand ils croient à une fin de conflit au Proche-Orient, ils tombent sur les enjeux électoraux qui leur sont plus fatales.

Puis si les dépenses de défense sont maintenues à leur volume actuel, du point de vue sécuritaire qui a été enclenché depuis septembre 2001. Les States semblent baisser les bras face aux adversités bien réelles qui lui sont hostiles, tant avec les régimes de gauche du sous-continent américains, que dans le reste du monde. Les démocrates sont au désarroi, ils viennent d’essuyer leur pire défaite à New-York en perdant un siège de sénateur qu’ils avaient toujours eu depuis 90ans, avec le départ d‘Anthony Weiner et l’arrivée du républicain Bob Turner qui a gagné la dernière élection.

Même avec les efforts de tous les présidents américains qui ont joué - à des degrés divers et avec des intérêts parfois divergents - de leur influence auprès d’Israël pour trouver une solution, aucune perspective de paix n’arrive à être dessinée. En vain, l’Etat sioniste persiste dans l’expansion illégale de la colonisation et contre tous !

Deux documents importants joints à cet article, pour comprendre le conflit et la fin des certitudes de l’Etat hébreu. Il ne s’agit pas de milliards comme le disent certains médias, une cinquante de millions seulement.

1- Mandéla et son soutien franc aux palestiniens.

2- Une étude pour comprendre le conflit du Proche-Orient et le soutien des USA à Israël.

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