Accueil > Humanité > Monde, actualité internationale, politique, relations, diplomatie, (...) > Politique, France, francophonie, Algérie, Maroc, Tunisie, Afrique, monde (...) > nationale, fait politique, une et première page, médias, actualité, pays, (...) > MOURAD DHINA, L’EXTRADITION QUI FERA DATE.

MOURAD DHINA, L’EXTRADITION QUI FERA DATE.

Si la France espère combattre l’islamisme importé sur son territoire. -SUITE-

lundi 26 mars 2012, par Azouz Benhocine

Le parti auquel a appartenu Mourad Dhina, dissout par voie de justice, a regroupé des dizaines de prêcheurs chargés de l’endoctrinement, ainsi que de plusieurs milliers de tueurs qui eux tuent. Cet intégriste algérien revendique même qu’il a rejoint le FIS après sa dissolution, pour combattre l’injustice dit-il. Après l’interdiction et les acclamations du terrorisme qui a fait ce qu’on sait : 200 000 victimes, dénote les visées de cet algérien passant à l’acte.

Prochain article :

Adlène Hicheur : le contact de l’AQMI en Europe, comme Dhina il travaillait au CERN

Universitaire algérien travaillant au CERN, pris la main dans le sac.

POUR lire le précédent sujet :

L’Algérie peine à rapatrier ses terroristes €¦

€¦arrêtés à l’étranger où ils se recyclent et affichent la repentance.

POUR LA SIGNER LA PETITION pour l’extradition de MOURAD DHINA ENVOYER un émail à :

dhinacriminel@yahoo.fr

LA PAGE FACEBOOK POUR JUGER MOURAD DHINA

Il est indéniable que des universitaires animent la vaste nébuleuse Al Qaeda. En Algérie quand le terrorisme a éclaté, après avoir été embryonnaire pendant les années 80, dès l’arrêt du processus électoral, ils étaient environ 10 000 étudiants, professeurs et hauts diplômés d’autres secteurs à s’engager dans la lutte armée menée par les fous de dieu. Heureusement, que quelques semaines plus tard le valeureux président Boudiaf, revenant du Maroc, les calmés en les envoyant en séjours au Sahara. Et les avertissant d’arrêter leurs crimes.

L’Histoire du pays et les constats de l’humanité, interrogent la vérité sur les 200 000 victimes de la machinerie qui a pris marche dans les mosquées que le pouvoir officiel a initié, encouragé et même construit. En effet à quoi bon rattraper les rangs d’une organisation appelant aux crimes ? Si ce n’est pas pour mener la bataille finale. Deuxième personne travaillant au CERN « l’Organisation Européenne pour la Recherche Nucléaire » et qui a des liens directs avec le terrorisme.

Mourad Dhina, commanditaire du terrorisme en Algérie pendant les années 90, tente maintenant de se faire passer pour un homme politique et un opposant. Or ce n’est pas le cas, c’est un incitateur avéré aux crimes selon l’islamisme radical et terroriste. Il n’a jamais été à un poste politique, seule sa mission d’apologie du terrorisme fait de lui un présent dans la grande criminalité. Cette tactique de se présenter en opposant, pour prétendre à la respectabilité, est elle-même une revendication.

Telle qu’il la faite, de sa prison parisienne en écrivant une lettre que seule ses acolytes ont tenté de diffuser, les crimes commis contre des familles algériennes, lui incombe. A bien comprendre son écrit traversé d’une lourdeur attribuée au paradigme de l’hypocrisie : vouloir le pire au nom de l’islam, il l’assume clairement. Il enjoint à son statut de croyant, l’engagement de tuer ceux qui sortent ou s’opposent à ses desseins.

Quand, en Algérie, les intégristes se sont disséminés dans des maquis et des caches dans les villes, après le virage déstabilisant de la première expérience démocratique depuis l’indépendance du pays, le FIS était déjà fauché du paysage politique algérien. Mourad Dhina n’a pas été un de ses dirigeants publics, il jouissait du même statut qu’un certain Hachani, assassiné lui-aussi, qui a pris la relève quand Abbassi Madani et Ali Belhadj ont été internés. Des cadres universitaires plein d’ambitions et de haines.

La dissolution, de ce cercle islamiste le FIS, a effacé toutes tentatives que le destin assombri inonde l’Algérie, répandre sa toile fasciste au Maghreb et devienne une menace sur le bassin méditerranéen. La situation conflictuelle, qu’aurai créée un régime islamiste en Algérie, peut être imaginée. Selon des sources concordantes, Mourad Dhina est proposé pour une extradition au Qatar. Royaume qui joue pleinement la carte islamiste…

<img516|left>

Tel que le souhaitait le défunt président français Mitterrand, laisser le pouvoir aux islamistes en Algérie, rappelle celui qui n’a pas arrogé d’une seule amnistie envers 50 condamnés à mort pendant la guerre de libération, quand il était ministre de la justice et Papon commissaire de Paris. Ce qui peut nous dessiner le choc souhaité à ce jeune Etat et son peuple, l’Algérie.

Ces types hyper-diplômés (la suite de cet article est physicien du CERN d’origine algérienne Adlène Hicheur) ayant le charisme d’une certaine sagesse plus froide qu’humainement assumée. Ces hauts cadres comme seul le fanatisme est capable de créer, sont des scientifiques aveuglés devant l’irrationnel et ayant Dieu, comme argument, pour le projet sectaire qui les anime ! Mettre à feu et à sang l’Algérie, pour soumettre la population aux atrocités d’un khomeynisme maghrébin, est cette fois ratée !

L’islamisme porteur du clash des civilisations est une réponse à la haine occidentale qui toujours elle, de son côté, par l’arrogance, pratique la violence lors de toutes ses conquêtes. Le premier aura pour victime les peuples de la rive sud, car

La haine, telle celle que manifeste Mourad Dhina pour son compatriote l’écrivain Boudjedra est édifiante. Elle parcourt les cercles "djihadistes" partout où le meurtre islamiste est préconisé aux mécréants, les hommes lettres ont latitude de déférer leurs opinions quand ils sont questionnés. Être anti-islamistes pour le prix Nobel Naguib Mahfoud et le « goncourien » Tahar Djaout, leur a valu d’être agressé par un jeune d’une vingtaine d’années… Le prix a été blessé et le second perdit la vie.

L’extradition de Mourad Dhina en Algérie est une occasion de rendre utile la justice algérienne, pour quelle balaie dans ses méandres les tares du régime politique qui est sur le point de rendre l’ me. Le printemps arabe étale ses visés, et la révolution démocratique nationale (RDN) est toujours en projet.

Prochain article :

Adlène Hicheur : le contact de l’AQMI en en Europe, comme Dhina il travaillait au CERN

Universitaire algérien travaillant au CERN, pris la main dans le sac.

POUR lire le précédent sujet :

L’Algérie peine à rapatrier ses terroristes…

…arrêtés à l’étranger où ils se recyclent et affichent la repentance.

POUR LA SIGNER LA PETITION pour l’extradition de MOURAD DHINA ENVOYER un émail à : dhinacriminel@yahoo.fr

LA PAGE FACEBOOK POUR JUGER MOURAD DHINA

Partager sur les réseaux :
     
Pas de licence spécifique (droits par défaut)