Il est plus que jamais vrai, les travailleurs algériens avec lesquels il faut compter les chômeurs et les retraités, voire aussi les fellahs (travailleurs de la terre ou agriculteurs), sont sous-représentés dans le champ politique et social. Une campagne pour 2019 demande l’augmentation des salaires, la suppression des taxes et impôts sur ce seul revenu des travailleurs ainsi que pour les retraites. Elle est explicite. Le Syndicat national autonome du personnel de l’administration publique (...)
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Articles
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BEZZAF ! C’EST TROP ! Le cri des travailleurs algériens qui appellent à l’union des bases
4 janvier 2019, par Djamel Damien Boucheref -
Un militaire prend à témoin l’opinion de la crise de vacance du pouvoir en Algérie
9 janvier 2019, par Djamel Damien BoucherefLe passage par la case du putsch et l’intervention de l’armée, voire de ses responsables qui répondent souvent devant le peuple pour chasser les crises, reprend de sa plus belle perspective. L’alternance démocratique endiguée en Algérie, par un pouvoir qui se schématise aux 2 derniers moudjahidine de la libération que sont Gaïd Salah et Bouteflika, a son issue. Elle commence à se dessiner.
Malgré une visibilité peu nette, les dés sont jetés et tournent sur le tapis. D’habitude les (...) -
En Europe, pour le climat les jeunes regardent le destin de la planète
18 février 2019, par JacoL’appel pour une grève scolaire en France, du primaire jusqu’au lycée, date du 15 février. Pour le climat le 15 mars prochain, elle a pour argument l’inaction du gouvernement. Nous avons publié un article sur une pétition d’une ampleur inégalée pour le nombre de signataires. Elles ont la même thèse : « Depuis des années notre planète et les responsables sont inactifs ». Pourtant ils donnent l’air !
La page Facebook Youth for Climate France, consulter ICI, publiée pour un tel (...) -
Algérie : le milliardaire Rebrab rachète le groupe de presse Al-Khabar
13 avril 2016, par Djamel Damien BoucherefL’homme d’affaires algérien Issad Rebrab a acquis le groupe de médias El-Khabar, ce qui ne laisse pas indifférents divers cercles qui se déchirent dans la désuétude qui assujettie l’Algérie. La dépréciation qui frappe les institutions, livrées aux auteurs d’abus, se rajoute à l’hésitation et l’ambigüité des ressorts sociopolitiques. Ces derniers, attardés par l’absence d’une initiative citoyenne, ne surmontent pas l’énorme népotisme des gouvernants. Et poussés aux résonnances réagissant à (...)
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Le rêve d’une bonne croissance échappe à l’Algérie contentée par la rente pétrolière
29 janvier 2019, par Djamel Damien BoucherefL’Algérie a ruiné son économie publique, la vague libérale qui parle toujours de réformes n’a plus honte de vouloir privatiser des transports utiles aux plus démunis de la population. Et même certains services de l’Etat, aujourd’hui pléthoriques, peuvent un jour làcher, pour être plus chers et payants. Pour le secteur privé, il faut avoir un parrain pour être protégé de la bureaucratie qui s’adonne au racket. Au regard des problèmes du leader africain, Cevital, dans son bercail, l’économie (...)
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L’Algérie dans sa crise éternelle : au soulèvement répond encore l’armée !
18 avril 2019, par Djamel Damien BoucherefIl n’a pas précisé quelles mesures l’armée pourrait prendre ? Un militaire algérien est devenu la coqueluche de ceux qui partagent la voie populaire qui s’est reconstituée, après moult « coups d’état » ou arrêts de processus électoraux. Militaro-pragmatique, l’ANP (armée nationale populaire) a déjà causé le départ de Bouteflika. Réussir à apaiser ceux qui veulent renverser la vieille garde, est une autre affaire frénétique !
Pour le général Ahmed-Gaid Salah, le peuple algérien commence (...) -
1er vendredi du ramadan en Algérie : les manifestants plus solidaires et galvanisés
11 mai 2019, par Djamel Damien BoucherefGaïd Salah, le chef des armées en Algérie, a déposé Bouteflika. Une révocation en réponse à la colère collective qui refait plus sagement le film d’octobre 1988 que celui du printemps arabe de 2011. Le général au super grade majoré de « corps d’état », se contente aussi d’une constitution dont l’obsolescence est établie. Il garde la suite qui présume prolonger le tutorat paternaliste qui a plus sévi que gouverné.
Les tenants du règne despotique ébranlé depuis le 22 février, tablaient (...) -
Réaliser des infrastructures et suivre l’essor des télécoms est une exigence sociale en Algérie
16 janvier 2019, par Djamel Damien BoucherefLa réalisation des infrastructures, sur lesquelles a misé le règne controversé de Bouteflika en Algérie, mérite une judicieuse évaluation. Ces projets qui soulagent la population, répondent à l’évitement de la colère sociale ou à son terme si elle est déjà grondante.
Les routes, les logements et les infrastructures comme les stades, les hôpitaux ou bien les b timents scolaires, s’inscrivent dans le retard des années antérieures. Alors que pour les télécoms, où figure Internet, c’est (...) -
Rater le changement, éviter le vote et sans projet sociétal, l’héritage d’inertie en Algérie
2 mai 2019, par Djamel Damien BoucherefQuand en 2011, le printemps arabe devait déloger les despotes qui gouvernent d’une manière dynastique des républiques, un vent de panique a soufflé chez le clan des Bouteflika. Mais même plus tard, en 2014, le raïs malgré une maladie, du méchant AVC, qui l’a cloué à un fauteuil roulant, il s’est permis un 4ème mandat. Narguant de frappes émises par ses larbins, corrompus accroupis à ses pieds, les élites qui honteusement ont coupé avec le peuple. Quand ce dernier devint chair à canon au (...)
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Bouteflika transforme en "coup d’épée dans l’eau" les manifestations !
11 mars 2019, par Djamel Damien BoucherefSans consultations et ni dialogues, au moins comme formalité diligentée pour la forme, Bouteflika joue avec les nobles intentions du peuple. Comme il l’a fait déjà à maintes reprises, en recourant à la désignation (ou proposition) de commissions ou en modifiant des calendriers au gré de son appétence à gouverner !
Logiquement, le 28 avril prend fin son mandat à la tête de l’Algérie, dernière mandature à avoir été volée au peuple, au détriment de ses lois dont la constitution et de la (...)