Journée sanglante en Libye a été celle de l’élection législative, en ce 25 juin 2014. C’est la région Est (Benghazi) qui est à la merci des milices et hordes d’Ansar-Echaria. Cette cité reste fief des combats décisifs pour le pays. 3 soldats, dont un gradé et une militante des droits de l’homme ont été tués, dans cette ville qui est aussi le centre des grands faits récents et ce depuis 2011.
Selon des sources hospitalières, l’avocate et militante des droits de l’Homme, Salwa Bougaighis (...)
Accueil > Mots-clés > Critique & débat > Afrique, Monde Arabe, islam, Maghreb, Proche-Orient,
Afrique, Monde Arabe, islam, Maghreb, Proche-Orient,
Articles
-
Crimes sur fond de législative en Libye
26 juin 2014, par Hugo Mastréo -
2 scandinaves victimes de terrorisme au Maroc : prompte, l’enquête désigne 4 suspects
20 décembre 2018, par Rebel KazimirUne vidéo a commencé à circuler sur Internet jeudi, 20 décembre, alors que l’assassinat des deux femmes scandinaves, est considéré être commis dans la nuit du dimanche à lundi. Les corps ont été découverts le lundi en début de semaine. L’horreur a atteint son comble sur la manière dont le crime a été commis. Et la piste de terroristes d’obédience islamiste est irréfutable !
Alors que les images de l’acte islamo-terroriste circulaient, les autorités marocaines déclarent avoir mis le (...) -
1500 à 2000 milices armées et 6000 à 8000 terroristes maintiennent le chaos en Libye
26 septembre 2015, par Gros EmileLes données concernant la Libye sont opaques. Le pays est inaccessible aux journalistes. La communication des deux parties en conflit, le gouvernement exilé dans la ville de province de Tobrouk et la coalition regroupant des milices réfractaires à la légalité, composée de plusieurs appartenances islamo-terroristes dont le Daesh, est biaisée par un manque de transparence nuisant à toute crédibilité de l’information produite à ce sujet.
Seules les déclarations d’officiels d’internationaux (...) -
Bouteflika, dans les hauteurs d’Alger, dit avoir servi son pays malgré le chaos.
27 juillet 2019, par Djamel Damien BoucherefDifficile d’avoir une autre vision. La description des jours de Bouteflika, par le journal « Asharq El-Awssat », après sa destitution n’apporte rien de spécial. Elle contient ce qui peut être imaginé pour le cas du malade qui ne soit pas parti en Europe pour continuer ses soins ou aux EAU (Émirats Arabes Unis) où il séjournait fréquemment, avant de revenir aux affaires en 1999. Comme la certitude qu’il n’est plus à la résidence de la présidence du "club des pins", mérite d’être vérifiée (...)
-
Déjà conspué, Bensalah président par intérim en Algérie, face-2 de la médaille
9 avril 2019, par Djamel Damien BoucherefNombreux Algériens et analystes percevaient une victoire partielle du départ, par démission et demande d’excuses, de Bouteflika. Le chef de l’armée, Ahmed Gaid Salah, nommé en 2004 a joué un rôle clé dans le départ du président. Il a été aussi décrié, sans clémence, par ceux mêmes qui attendaient qu’il ordonne une destitution militaire.
La succession à Bouteflika, telle que la dessine la constitution plusieurs fois piètrement piétinée, n’est pas acceptée par le mouvement social en (...) -
Le divorce de la société civile et des institutions, en Algérie, arrange les aventuriers...
17 septembre 2017, par Djamel Damien BoucherefUne faramineuse mosquée pour on sait quel prestige, car celui de l’Algérie est usurpé et celui de l’islam est désintégré. Puis 4 mandats que la soif du pouvoir justifie à celui qui a finalement brisé la démocratie et ouvert la porte aux associés des « kleptocrates ».
Le président Bouteflika a fait l’exception, de 4 mandats, alors qu’il avait hérité d’une constitution autorisant 2. L’armée ne peut rien contre le rusé et redoutable diplomate qui a lui-même promulgué le bi-présidentiable, (...) -
Bouteflika attendu pour les maladies du régime
15 mai 2013, par Azouz BenhocineQuand se réveilla, en 2011, un vent de révolte dans le monde arabe pour chasser les despotes des républiques, Bouteflika est sorti de la profonde léthargie où il s’est muré après avoir usurpé une 3ème mandature de la constitution qui ne l’autorisait qu’à deux cycles.
Notre article d’analyse de la sortie de Bouteflika après le déclenchement du Printemps Arabe
Il avait alors promis de profondes réformes, dont la priorité, annoncée pour 2012, l’adoption de la nouvelle Constitution qui (...) -
24é vendredi de manifestation en Algérie, non-retour pour la rupture avec l’ancien système
2 août 2019, par Djamel Damien BoucherefL’épilogue de la première république, fondée en Algérie par la génération des guerriers de la libération, s’effectue avec une contestation en rupture avec l’islamisme, dont la cruauté a laissé un traumatisme collectif. Le sentiment religieux chute politiquement. Mais aussi à la prière du vendredi, quand manifeste le peuple, on croise dans les mosquées les vendeurs de pastèques, les truands repentis et les sectaires englués dans la médiocrité de l’école et des autres secteurs. Ni médecin, (...)
-
La COP22 au Maroc : l’envie de ne plus rester aux demi-mesures !
7 novembre 2016, par Djamel Damien BoucherefLa COP22 à Marrakech est un événement diplomatique important pour le Maroc. L’accueil d’officiels, de représentants d’entreprises d’ONG et journalistes pour une question primordiale qui concerne l’humanité, devrait déboucher sur la désignation de la voie et règles de protection de l’environnement afin de réduire le réchauffement climatique. C’est une chance pour l’ensemble du Maghreb de s’inscrire comme participant attractif dans les réponses à trouver pour l’avenir de l’ensemble de la (...)
-
Algérie : une dame de fer à l’épreuve de la désolation scolaire
26 août 2015, par Djamel Damien BoucherefLe clivage entre arabophones et francophones en Algérie est vécu comme une honte qui peut intenter à l’unité nationale. Mais deux Mondes techniquement et usuellement distingués se définissent, ils existent et se chamaillent. Le retour du débat de l’importance de la langue populaire, la « Derja », dans les mÅ“urs officielles, rappelle la question de tamazyght (la langue berbère) et toute équivalence n’est pas fortuite, la question nationale est appréhendée sur son exclusivité arabe ? (...)