Un slogan résonne à Alger, comme un refrain de liberté. Il dit sa vérité absolue et celle de la rupture avec les échecs du passé. « Un État civil et non militaire », que cela agace les forces de sécurité qui ont tenté maintes fois de disperser la foule de la Grande Poste et de la place Maurice Audin, la brutalité, qui a causé la mort de plus de 125 jeunes berbéristes sous Bouteflika, ne doit pas être institutionnelle. Qui parlerait donc au nom d’un peuple qui en veut aux auteurs des (...)
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Articles
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Le délire de la "Ligne Rouge" pour que l’armée impose son président en Algérie !
18 août 2019, par Djamel Damien Boucheref -
6 terroristes abattus dans la région centre d’Algérie
29 avril 2015, par Djamel Damien BoucherefL’armée algérienne a abattu 6 terroristes dans la région centre du pays. Cette zone est celle qui englobe la capitale et se prolonge tant à l’ouest au-delà de Blida d’un côté, où est basé le commandement de la 1ère région militaire. Et plus largement à l’est, en englobant la pittoresque région de Kabylie. Dans le territoire de cette dernière, le terrorisme a de tout le temps été actif. Les derniers actes criminels sont la mort du touriste français Hervé Gourdel ou bien l’attaque qui a (...)
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Le maintien de la peine de mort en Algérie, syndrome de vengeance confessionnelle
15 octobre 2018, par Djamel Damien BoucherefY’a-t-il des argumentaires pour que la modernité en Algérie ne soit pas perçue sous le prisme de la violence coloniale ? Légaliser l’avortement et abolir la peine de mort, entre autres exemples des qualifiants réels qui expriment une forme de progrès conséquent de l’avancée collective, tardent à être promulgués. Les volontés pour endiguer la barbarie aveugle, laissant naître des enfants non-voulus par leurs propres procréatrices et tuant d’autres humains pour leurs erreurs, le débat (...)
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60 ans d’indépendance en Algérie : prison pour opinion sur Internet.
3 mars 2022, par N.E. TatemLes Algériens sont traqués pour leurs expressions sur Internet, parce qu’ils contestent les dirigeants désignés par la voie des urnes, avec moins de 20% du corps électoral. Ce forcing pour le maintien des nationalistes réactionnaires au cœur de l’Etat est soutenu par le contrôle tous azimuts et sécuritaire auquel l’armée, sa gendarmerie et la police ont placé une colonne de censeurs sur les activités digitales. Répression qui ne peut s’arrêter tant que le faux Hirak continuera d’illusionner les opinions de l’espace de la liberté perdue et du droit à la parole dans le virtuel...
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L’Espagne marchande le gaz d’Algérie et le revend coûtant.
29 avril 2022, par Azouz BenhocineLa carte du pétrole et de ses dérivés, principalement le gaz, a déjà servi comme moyen de pression dans les relations internationales. Les producteurs disposent d’un atout perturbateur des pays qui ne disposent de cette fondamentale énergie. L’épisode de la guerre russo-ukrainienne déstabilise plusieurs échanges. Et la géographie comme celle de l’Espagne et de l’Algérie rapproche des zones de forte consommation.
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L’indésirable élection du 4 juillet en Algérie, est-ce le bon dénouement du "Hirak" ?
20 mai 2019, par Djamel Damien BoucherefLes Algériens se sont accoutumés au discours hebdomadaire du chef des armées, Ahmed Gaïd Salah. Chaque début de semaine, ils scrutent, comme la parution d’un roman fictionnel, les directives de l’officier qui voulait destituer le président malade, bien avant le 22 février 2019. Mais en même temps, comme tous les autres personnes de l’élite décideuse, il redoutait que le peuple ne lui accorde un « coup d’état » à la tunisienne.
L’armée algérienne décide sur des audits qui sont dressés (...) -
Les indécentes prestations de Brahimi et Lamamra, copains du despote Algérien
13 mars 2019, par Djamel Damien BoucherefVictoire amère pour le "printemps algérien". Bouteflika ne se retire pas du vote du 18 avril 2019, mais il l’annule pour se maintenir. C’est déjà un pas, d’avoir ébranler les certitudes de celui qui songeait mourir au trône. La pression, de la rue, a avisé sur la chute lente de la gérontocratie de la garde de la libération. Le passage à la 2ème république se déroule d’une action civilisée côté peuple. Versant régime/pouvoir, c’est la prolongation où l’ineptie du mal !
Le caractère (...) -
L’armée veut le vote du 4 juillet en Algérie, sans le candidat consensuel du "Hirak"
9 mai 2019, par Djamel Damien BoucherefParadoxe en Algérie ou bien quelque chose d’inachevée ? Que visent désormais les manifestants : l’armée ou son chef ? Et comment osent-ils croire qu’on peut dissocier l’une de l’autre ? Comment célébrer le départ de Gaïd Salah, sans interrompre la mission sécuritaire tant à la surveillance des frontières qu’aux flashs sur le « hirak » ?
Même en répondant à ces questions, il y a un double langage antagonique qui les habite. D’un côté les autorités intérimaires, venues après la chute du (...) -
L’Algérie rejoint Afreximbank après 3 décennies de sa création.
2 juillet 2022, par Djamel Damien BoucherefDe quoi se questionner pourquoi l’Algérie ne rejoint l’Afreximbank, la Banque africaine d’import-export, que dernièrement ? Quand les discours galvaudent, depuis des décennies, bien des démagogies en contorsionnant des leurres. Ce spectaculaire retard a des responsables, comme l’absence des données algériennes dans d’autres et nombreuses institutions internationales. Ce qui questionne ? Maintenant à qui s’adresser, pour trouver des réponses quand la prédation est la hantise des citoyens bernés d’un nationalisme béat et populiste ?
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11 semaines du hirak, quels sont les acquis et que reste à faire ?
7 mai 2019, par Moussi NassimLorsqu’on dit nouvelles, on se demande si elles sont bonnes ou mauvaises ? La plupart du temps, on préfère qu’elles soient des bonnes. Mais peu importe l’information reste, ne disparaît pas, quand elle a la primauté des faits qu’elle cite. Et la technique de passion la valorise aussi.
Depuis dix semaines, les Algériens, sortent dans les rues pour s’exprimer. La plateforme de revendications change selon les circonstances, ils ont commencé par dire non au 5ème mandat de l’ex-président (...)