Cette autre demande de libération des détenus d’opinion en Algérie est suivie de l’ouverture des espaces d’expression. Les droits sont bafoués alors que les médias induisent un travail d’une piètre qualité, offrant aux publics local et mondial des productions et contenus confus, médiocres, inintelligibles et sans moindre esthétique. Les appels de ce genre sont nombreux, pour impulser les libertés. Mais les bureaucrates qui dirigent, avec le soutien de l’armée, brandissent le prétexte de menace de déstabilisation...
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Articles
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Les détenus d’opinion en Algérie : atteinte aux libertés & recul de démocratie.
7 avril, par populiscoop -
Bon-vivre du modèle scandinave : gouvernance rigoureuse & harmonie sociétale.
24 mars, par Gros EmileDes indicateurs fondamentaux permettent aux gens de ressentir une bonne qualité de leur vie. Il s’agit de leur revenu, l’action pour leur santé, le soutien social qu’ils perçoivent, leurs diverses libertés, la solidarité qui exprime l’harmonie de la société et l’absence de corruption qui sont la base de l’appréciation que les habitants du bonheur. De même que les bonnes données sur les facteurs économiques sous-tendent la quiétude sociétale.
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Tebboune interviewé sur bilan et convoitise du second mandat.
1er avril, par Djamel Damien BoucherefLa dernière interview, du président Tebboune, avec deux représentants de la presse algérienne, peut-être qualifiée, à la fois en bilan du premier mandat et de déclaration d’une éventuelle candidature aspirant à briguer une nouvelle volonté d’être au prochain scrutin. L’apparence d’un épilogue du parcours réalisé depuis 12/12/2019 s’émulsionne avec ambivalence avec un programme électoral, ce qui est le propre des indécis et des embarras que couvent les hautes sphères du pouvoir.
Seconde partie : Les sujets des clients systémiques et le mépris de la citoyenneté.
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Le brainstorming, des militaires décideurs, doute d’un 2e mandat à Tebboune.
14 mars, par Djamel Damien BoucherefQuelle signification aux votes en Algérie, où les bourrages des urnes, comme le 12/12/2019, empêchèrent le « fascislamiste » Bengrina qui a vraiment précédé quatre autres candidats, de présider au destin du pays. Pour éviter une autre reculade, que celle des cinq dernières années, une partie des chefs de l’armée ne désire pas prolonger le règne de Tebboune. Le président ne permet pas aux élites d’exister, car dépassant sa déroutante médiocratie, ce qui les exclut les meilleurs cadres de la nation. Le débat sur un second mandat au chef de l’État est bien omniprésent, parmi les opinions qui expliquent les enjeux sur l’avenir du pays.
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2è partie : essentiel de l’interview de Tebboune, point par point.
2 avril, par Djamel Damien BoucherefL’emprise de la bureaucratie des énarques en Algérie s’est érigée en héritage du pouvoir absolu des nationalistes de l’indépendance. Aussi bien les premiers mis au service des seconds n’ont pas, les deux générations, mis en érection la "nation en formation". Le pays plongé dans une malédiction maladive, que de prétentieux présidents se placent en conscience des humains, donnant aux citoyens des retards économiques, des fanatismes religieux, des psychologies collectives ringardes et criminelles... La fabrique qui a engendré Tebboune persiste dans une culture ténébreuse.
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Quand la sécheresse en Algérie est sous loupe climatique.
21 mai 2023, par Djamel Damien BoucherefLa sécheresse pose d’importants problèmes de sécurité hydrique et alimentaire, alors comment appréhender cette imprévisible fatalité ? A l’heure du réchauffement climatique, elle peut entraîner des risques économiques et des difficultés financières, en particulier pour les économies en développement comme celle de l’Algérie qui prétend à l’émergence après la chute de Bouteflika.
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Déclin démographique et faiblesse de natalité en Europe, quel avenir ?
21 septembre 2023, par JacoLa faiblesse des naissances, dans les pays qui ont fait la révolution industrielle d’où l’humanité a pris ses moult consommations, s’accentue. Les moyens de productions qui se sont sécularisés avec le salariat ont eu recours aux travailleurs migrants. La tendance de la perte de la fécondité s’est manifestée depuis plusieurs décennies et elle s’amplifie au fur et à mesure que les autochtones ne produisent pas de descendances.
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Massacre à Gaza : parler de paix ou d’Etat "Palestine" et laisser-faire la terreur d’Israël
17 juillet 2018, par Rebel KazimirLes opportunités que ne rate pas Tsahal pour accélérer et augmenter ses exactions, sont cette fois sur le profit de l’effet de la coupe mondiale de football. Comme "para-institution" surarmée et agissant, avec des mercenaires ayant à 80% des doubles nationalités, pour le compte d’une entité imbue de son colonialisme, l’armée israélienne a tué dernièrement des innocents, hommes, femmes et bébés. Et même une infirmière et un journaliste sont tombés sous les balles de criminels ayant la (...)
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L’environnement et l’agriculture productiviste, possible mariage ?
7 mars, par N.E. TatemLa quantité et la qualité de nourriture produite par unité de terre qu’est l’hectare, ou le m², n’a pas été meilleure avant le 20ᵉ siècle. Précisément, depuis un peu plus de 60 ans, la production d’environ une tonne de blé, par hectare de terre, est passée à trois tonnes et demie, selon des témoignages d’agronomes et de travailleurs. Les rendements multipliés par 3,5 sont dus plus grâce aux intrants et des modes d’exploitation optimisés. La productivité se performa pour suffire les populations !
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Une alimentation de qualité est chère et n’est pas durable.
30 septembre 2021, par JacoLe premier Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires du 24 septembre 2021, détermine que c’est la bonne inclusion que toute l’humanité qui doit et peut gagner...