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Des malversations sur le blé produit en Algérie, la corruption qui choque !

Pris la main dans le sac les bureaucrates et meuniers trafiquent sur le principal

samedi 13 juillet 2019, par Djamel Damien Boucheref

La mauvaise gestion en Algérie est tellement répandue qu’on se demande si seulement les cadres occupent des postes qui ne leur reviennent pas ? Ou bien la mafia est partout ? Même prise la main dans les sacs de la médiocrité et du plagiat, l’incompétence maintient ses poltrons aux reluisants visages qui pleurent en cas d’échec. Et choisissent toujours la déroute qui est le propre de leur personnalité.

L’Algérie a sacrifié la diversité des vocations de ses surfaces agricoles, comme celles des cépages vinicoles, pour produire du blé, dont la consommation va du couscous à la fabrication du pain, y compris celui fait maison. Mais jamais, elle n’a assuré son atorsuffisance, même l’année dernière, en 2018, où la production a été un record jamais atteint.

L’ère de la vigne a été hitoriquement précédée d’une ère du blé. Alors que l’orge remonte à toutes les époques anciennes, de même avant la présence de l’empire romain sur le sol algérien. La vigne est encore aujourd’hui la rentable culture commerciale, au prix avec lequel se vend le raisin de table. Mais le blé est plus que jamais la principale culture, passant de vivrière à une nouvelle activité industrielle, encouragée par un climat très favorable depuis 2016.

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2019 s’avère encore plus forte, battant son précédent. Mais les mains prédatrices de la légendaire corruption sont aussi actives. Le plus vaste pays d’Afrique a un délicat climat avec ses caprices imprévisibles. Les méthodes encore archaïques de la plupart des agriculteurs n’ont pas permis une augmentation sensible des rendements moyens, pour divers produits.

Bien d’intègres Algériens perçoivent le manque de rigueur, ou carrément la corruption, qui frappe sur les points vitaux, comme humiliant fonctionnement de l’Etat. Alors aucune douleur ressentie ne peut être plus forte et sin inconfortable. En politique qui le retard du pays, les militants font de leurs partis de vrais clans. Ce qui ruine la démocratie, ne la laissant pas prendre racines dans une société aux difficultés accentuées.

L’arrestation du directeur général du Bureau national des professionnels des céréales, Mohamed Belabdi, ressemble à une fin de mission de l’intéressé. Alors que le pain est vraiment dilapidé. Suivie du déclenchement d’une procédure judiciaire pour facturation mensongère de 45 usines, d’après le communiqué du premier ministère de Bédoui, cette info a une impartialité blessante.

Porter atteinte azvec un indécent et époustouflant scandale, un tel produit que l’Algérie importe est d’une gravité impardonnable. Tout en jetant dans les poubelles le pain acheté chez le boulanger, les Algériens perçoivent un déshonneur, quand leur agriculture ne peut plus satisfaire la demande. C’est donc de critiques sociales que les comportements doivent fustigés.

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