Révélé enfin aux Algériens, le général à la retraite Ali Ghediri a brisé la glace qui le faisait peu connaitre ou déformait ses traits de militaire resté inconnu parmi le personnel du sérail. Par le passé, il était sommé du silence par l’obligation de réserve, alors qu’il suivait les convulsions de son pays. Ce nouveau visage est vite devenu le candidat le plus en vue.
Une pesante médiocrité a déclassifié les partis, et les personnalités, de l’opposition devenue une myriade de (...)
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Articles
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Ali Ghediri, acerbe sur la crise politique, ne cède pas aux fossés du populisme
28 janvier 2019, par Djamel Damien Boucheref -
Le commerce des armes selon la géopolitique post-guerre froide
21 avril 2017, par Rebel KazimirL’Institut international de recherche sur la paix de de Stockholm, plus connu sous son acronyme « SIPRI », vient de publier une base de données, des grandes nations exportatrices d’armes ainsi que de leurs meilleurs clients. Les chiffres de cette ONG suédoise concernent toutes les périodes depuis 1988, nous vous proposons ce sujet sur celle de 2011 à 2015. Depuis les révoltes des populations arabes pour déloger les despotes qui passent des décennies à la tête des Etats, le désordre (...)
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Pour acter son soutien au 5ème mandat en Algérie, la vindicte d’Ennahar via Alg24
9 octobre 2018, par Djamel Damien BoucherefL’Algérie livrée à une mascarade de destruction des institutions, même les plus solides, se dégradent de jour en jour. Comme ce cas qui traduit la grande descente aux enfers des appareils les plus solvables. L’ex-DRS devenue "Direction des Affaires de Sécurité" et rattachée directement à la présidence qui détient aussi le ministère de la défense, est fonctionnel dans un pays en panne, sclérosé par une cynique maladie devenue collective et incurable...
Par le passé les journalistes (...) -
Algérie : le FMI voit l’inflation ancrée et des réformes improvisées.
19 décembre 2023, par Azouz BenhocineL’économie algérienne est des plus vulnérables aux effets du changement climatique. Les récentes sécheresses l’ont amplement illustré avec les besoins en farine. A l’inverse, à moyen terme, les perspectives économiques se corrigeraient avec des réformes, allant à la diversification de l’économie, en vue de réduire la dépendance vis-à-vis du secteur des hydrocarbures. Pour créer une croissance forte et durable, qui pourrait être génitrice d’emplois, les secteurs spéculatifs doivent être remplacés par des opérateurs producteurs de richesses.
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2è CONTRIBUTION : La #RDN est une marche, sans répit ni conflit, du progrès
24 avril 2019, par N.E. TatemNous vous proposons à la fin de cet article, une bien importante analyse du "Hirak en Algérie". Elle ne s’alimente d’aucun complexe. Et mérite d’être consultée pour la valeur de son exposé, assez coordonné dans les éléments du contexte régional et mondial. Ni même celui de vouloir élargir, comme prendre les vessies pour des planètes géantes, le rayonnement de ce mouvement social sur les affaires du Monde, par le fait d’en parler, agrandit comme la loupe... Ce qui lui vaut "le pesant d’or" (...)
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Paracetamol en Algérie, avec l’amalgame frappe la médiocrité "Ennahar"
19 novembre 2016, par Djamel Damien BoucherefIncroyable mais vrai ! Le niveau des cadres algériens tombé aussi bas, que comme il vient d’être épinglé avec une idiotie qui n’a pas de semblable dans les annales des médias et des institutions sanitaires, a offusqué nombreux simples citoyens et observateurs avisés. L’affaire du paracétamol, en provenance d’Israë l et vendu en Algérie, dépasse tout entendement et logique. Donner une information de ce type doit au moins être fait par quelqu’un ayant des connaissances basiques en (...)
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Professeur en Algérie, Mira Moknache harcelée par la justice du téléphone.
16 février, par Djamel Damien BoucherefUne nouvelle insulte politisée est en vogue en Algérie. Elle est généralement proférée, par les partisans du régime "militaro-bureaucratique", exprimée à l’égard des opposants qui ne voient pas de perspectives à leur patrie. Espèces de "normalisateur", sous-entendu avec Israël. Ou bien "vendu de soutien à Amira Bouraoui". Elle résonne comme serviteur, anciennement harki, de la "main étrangère", exprimée en traîtrise. Mais elle sert seulement aux adeptes et clients du pouvoir de Tebboune, pour accabler les citoyens qui rejettent le monopole des successeurs des nationalistes. Que sont les issus de l’ENA, chevronnés en bureaucratie et ayant déjà été larbins des corrompus faux-moudjahidine de la libération.
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L’aéroport d’Alger ouvre des aménagements qui modernisent le trafic régional...
9 mai 2019, par N.E. TatemDans sa nouvelle configuration, l’aéroport d’Alger, Dar-El-Beïda : Houari Boumediene a plusieurs avantages, par rapport aux équipements de la région et même sur le plan continental. Avec une conversion du terminal-3, ouvert ces jours-ci, qui évoluera à la vocation de répondre aux besoins de modernisation à venir, au-delà de 2025 €¦ L’explosion de la fréquentation est passée de 3,5 millions de passagers par an à 7,8 millions en dix ans. Cette capacité augmente encore, inéluctablement en (...)
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La "nouvelle Algérie" mutile le contrat social de la lumière progressiste.
18 janvier, par Djamel Damien BoucherefL’armée est l’un des principaux acteurs du système politique algérien, mais une catégorie des activistes du Hirak a voulu renverser ce système. La corruption des officiers et le rôle de l’institution militaire dans la répression des libertés accentue le divorce des citoyens avec un appareil qui ne contrôle guère les sources des maux, comme les mosquées et les tribunaux. Les profiteurs de la "nouvelle Algérie" voient la "main étrangère" et se mobilisent contre les kabyles, les femmes, les journalistes, les francophones, les scientifiques, les démocrates, les laïcs et les artistes qui ne respectent pas les traditions obsolètes et réactionnaires !
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Mary Lawlor & 12 ONG à Alger pour la libération des militants.
26 novembre 2023, par Djamel Damien BoucherefCes dernières années, voire depuis la chute de Bouteflika, les nouvelles autorités ont instauré par la répression un nouveau régime de prédation des richesses. Ils ont promulgué un paquet de récentes législations aussi tyranniques et répressives que dictatoriales. Le dessein de museler les droits citoyens, dont la simple parole anti-pouvoir et à criminaliser le militantisme le plus basique en démocratie, est concrètement perceptible.