Accueil > Humanité > Monde, actualité internationale, politique, relations, diplomatie, (...) > Politique, France, francophonie, Algérie, Maroc, Tunisie, Afrique, monde (...) > mouvement social, monde, revendications, actions, politique, syndicat, (...) > Le sondage interprète la société algérienne, la majorité de son panel est (...)

Le sondage interprète la société algérienne, la majorité de son panel est la diaspora

Résultat : la nouvelle tête est suivie du militaire, une empreinte du "Hirak"

mercredi 24 avril 2019, par Djamel Damien Boucheref

Il n’y a pas mieux qu’un sondage pour se faire une idée sur les sujets, les sociétés et les actions qui animent la vie. Bien sûr le panel qui se construit des personnes qui interviennent sur un questionnaire, reste représentatif d’une communauté dont les caractéristiques sont en exergue, selon la visibilité de certaines données par rapport à d’autres. Comme notre cas où les indications particularisent les sondés, selon leur position géographique.

Nous fermerons notre sondage le 4 juillet, jour de l’élection présidentielle en Algérie. Après la chute de Bouteflika, la date est avancée, du 27 avril qui est annulée, à l’ultérieur jour. Les nouvelles autorités du pays, pour que les préparatifs, on ne peut meilleurs, soient faits, ont décidé de maintenir le vote. Alors nous suivons cette échéance. Notre « QCU », question à choix unique, fait cette demande : <font color = brown Qui après Bouteflika ?

 Ali Ghediri, la nouvelle tête que les Algériens ont fixé dans le sondage vu par 30 000 internautes
samedi 19 janvier 2019

Si notre analyse du résultat, qui est déjà en partie faite des réponses, nous retenons toutes les curiosités sur les comportements constatés jusqu’à là. Comme panel pouvant témoigner de la société, les répondants relèvent bien d’une communauté qui nous apprend d’abord qu’elle a pour aspiration constante : <font color = brown « une nouvelle tête » comme futur président.

Au lendemain de l’accaparement par le clan des Bouteflika, du 4ème mandat, sans même une campagne électorale du candidat, nous avons mis en place cette enquête d’opinion. Elle reste inédite dans son genre pour l’Algérie. Et selon ce que nous avons reçu, avec plus nombreux d’interactions pour le questionnaire davantage de la diaspora, que d’Algérie, nous nous situons avec les Algériens vivants à l’étranger.

Certainement les raisons que les lignes éditoriales des organes de presse digitale, Akhbar-D’Zaer et Populi-Scoop, s’adressent à un public plus large que concentré sur le vaste pays maghrébin, l’Algérie. Nos journaux en ligne s’articulent par l’actualité internationale, d’ailleurs la spécialité que nous assumons.

Aussi comme c’est depuis la France que nous publions, c’est delà que nous avons obtenu plus d’utilisateurs du formulaire en ligne. Donc ce les émigrants en ancienne métropole qui ont exploré cette enquête. Puis viennent les Etats-Unis encore plus nombreux, car l’usage d’Internet est assez avancé. Mais c’est d’Algérie qu’ont été formulé plus de choix, alors que les visites sont en 3ème position.

 Etats-Unis et France : plus de visiteurs du sondage sur présidentielle 2019 en Algérie
29 500 visiteurs de notre sondage : qui après Bouteflika ?

jeudi 3 janvier 2019

Nous avons accompagné depuis 2014, notre sondage, d’articles diffusés quand il accumulé 5000 réponses, puis à 10 000 et 20 000. Maintenant il est à 32 200 visites et franchit le cap symbolique de 500 interventions sur le questionnaire, dont 175 commentaires. Bien sûr parmi nos propositions, dont on ne peut cocher qu’une seule option, une seule case à cocher, c’est « la nouvelle tête » qui est toujours plébiscitée.

Pour certains analystes, il y a une anomalie quand l’armée intervient en politique en Algérie. Or en étudiant ce sondage, c’est justement le militaire qui définit bien cette particularité. La société algérienne, en manque de sécularité, néglige de protéger la démocratie et sa lutte pour la liberté est interminable. Chasser les Français en 1962, avec une vraie guerre qui a continué contre des autocraties.

En effet, la montée du militaire devant le cadre ayant servi après l’indépendance, pour le devancer de 2 points. En effet ce qui conforte l’idée qu’avec un officier de l’armée à la tête du pays, les Algériens se sentent plus en sécurité. Si la « hogra » (harcèlement et humiliation) des gens du pouvoir est insupportable, celle des islamistes est mortelle. Seul un soldat peut y répondre à cette dernière.

Participer à notre mini-sondage de moins d’une minute. Anonyme on peut exprimer, sans obligation, son opinion.

Sa question unique est : Qui après Bouteflika ?

Cinq choix ayant trait au profil, au parcours et à la personnalité du prochain président. ICI - MERCI

}Nous organisons des sondages et enquêtes. Vous êtes invités à vous inscrire à nos panels. Merci si vous participez.

Partager sur les réseaux :

Voir en ligne : Notre dossier ALGÉRIE

     
Pas de licence spécifique (droits par défaut)

Un message, un commentaire ?

Forum sur abonnement

Pour participer à ce forum, vous devez vous enregistrer au préalable. Merci d’indiquer ci-dessous l’identifiant personnel qui vous a été fourni. Si vous n’êtes pas enregistré, vous devez vous inscrire.

ConnexionS’inscriremot de passe oublié ?