Les Algériens sont traqués pour leurs expressions sur Internet, parce qu’ils contestent les dirigeants désignés par la voie des urnes, avec moins de 20% du corps électoral. Ce forcing pour le maintien des nationalistes réactionnaires au cœur de l’Etat est soutenu par le contrôle tous azimuts et sécuritaire auquel l’armée, sa gendarmerie et la police ont placé une colonne de censeurs sur les activités digitales. Répression qui ne peut s’arrêter tant que le faux Hirak continuera d’illusionner les opinions de l’espace de la liberté perdue et du droit à la parole dans le virtuel...
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fait divers, société, fléau, délinquance, religion
Articles
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60 ans d’indépendance en Algérie : prison pour opinion sur Internet.
3 mars 2022, par N.E. Tatem -
L’oppression d’un omniscient despotisme en Algérie.
20 février 2022, par Djamel Damien BoucherefAprès Bouteflika la vengeance, de la bureaucratie issue de l’ENA pour contrecarrer les universitaires, est plus atroce. L’emprisonnement des démocrates, et des jeunes militants qui songent fonder une patrie prospère et heureuse, nous apprend que l’enjeu de la rente est lié à la nature du pouvoir qui dirige. Celui qui le second s’accapare les ressources nationales...
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Abu-Khatala, l’ignorant Emir avait du poids en Libye
23 juin 2014, par JacoLe dimanche était une journée parfaite pour qu’un commando américain se glisse d’une manière imperceptible auprès de la petite bourgade « Quanfouda » située aux environs de Benghazi. Cette dernière, capitale de l’est libyen, a été la ville d’où a commencé l’insurrection contre la dynastie des Kadhafi. Elle est toujours le théàtre de batailles dans l’exacerbée crise libyenne de post-2011, c’est de là que le général Khalifa Haftar tient à débarrasser son pays de l’islamo-terrorisme.
Deux (...) -
#GhostSec ou #OpISIS, les outils Internet du Daesh
19 janvier 2016, par N.E. TatemLa traque sur Internet, des différentes criminalités, est une attraction de laquelle ne peuvent pas s’en passer les hackers, les agents des services de sécurité et les journalistes. Les terroristes d’#Isis sont visés et dénoncés. Des suspensions massives de comptes, faisant le travail idéologique et le rapatriement des recrues, pleuvent encore pour les prêcheurs du "Djihad". Mais ces islamistes armés ont désormais leurs circuits parallèles. Ce qui permet de mieux les observer ou bien ils (...)
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L’extermination des Palestiniens de Gaza avec une bombe finale ou la famine ?
13 mars, par Azouz BenhocineSelon des officiels américains, Biden a dit à Netanyahou qu’il faut rejoindre Jésus, dans le sens même de changer de religion. Agacé par la politique de guerre revancharde menée par le 1ᵉʳ-ministre israélien, le vieux locataire de la Maison-Blanche le formula avec l’expression d’avoir de la piété et de respecter les victimes humaines qui se font exterminer, après l’assaut des islamistes palestiniens du 7 octobre 2023. L’assaut qui sert de prétexte au génocide, pour lequel les Fake News du Mossad ont été données aux médias occidentaux obéissants aux voix des maîtres...
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Espionnage de Pegasus, impunies charges du justiciable qui nuit encore.
17 janvier 2023, par Rebel KazimirDevant la Cour suprême des États-Unis la défense d’ONS, l’entreprise israélienne qui vend toujours le système d’espionnage des téléphones nommé "Pegasus" cite le droit à l’immunité souveraine. Ce qui a été rejeté, mais le problème demeure car les communications sont encore surveillées. Et le moindre des post sur les réseaux sociaux du Web est décortiqué par des cellules sécuritaires qui suggèrent la lutte contre les tendances complotistes qui s’attaquent aux institutions.
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Paracetamol en Algérie, avec l’amalgame frappe la médiocrité "Ennahar"
19 novembre 2016, par Djamel Damien BoucherefIncroyable mais vrai ! Le niveau des cadres algériens tombé aussi bas, que comme il vient d’être épinglé avec une idiotie qui n’a pas de semblable dans les annales des médias et des institutions sanitaires, a offusqué nombreux simples citoyens et observateurs avisés. L’affaire du paracétamol, en provenance d’Israë l et vendu en Algérie, dépasse tout entendement et logique. Donner une information de ce type doit au moins être fait par quelqu’un ayant des connaissances basiques en (...)
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Professeur en Algérie, Mira Moknache harcelée par la justice du téléphone.
16 février, par Djamel Damien BoucherefUne nouvelle insulte politisée est en vogue en Algérie. Elle est généralement proférée, par les partisans du régime "militaro-bureaucratique", exprimée à l’égard des opposants qui ne voient pas de perspectives à leur patrie. Espèces de "normalisateur", sous-entendu avec Israël. Ou bien "vendu de soutien à Amira Bouraoui". Elle résonne comme serviteur, anciennement harki, de la "main étrangère", exprimée en traîtrise. Mais elle sert seulement aux adeptes et clients du pouvoir de Tebboune, pour accabler les citoyens qui rejettent le monopole des successeurs des nationalistes. Que sont les issus de l’ENA, chevronnés en bureaucratie et ayant déjà été larbins des corrompus faux-moudjahidine de la libération.
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La "nouvelle Algérie" mutile le contrat social de la lumière progressiste.
18 janvier, par Djamel Damien BoucherefL’armée est l’un des principaux acteurs du système politique algérien, mais une catégorie des activistes du Hirak a voulu renverser ce système. La corruption des officiers et le rôle de l’institution militaire dans la répression des libertés accentue le divorce des citoyens avec un appareil qui ne contrôle guère les sources des maux, comme les mosquées et les tribunaux. Les profiteurs de la "nouvelle Algérie" voient la "main étrangère" et se mobilisent contre les kabyles, les femmes, les journalistes, les francophones, les scientifiques, les démocrates, les laïcs et les artistes qui ne respectent pas les traditions obsolètes et réactionnaires !
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"Absher", l’appli du gouvernement saoudien pour surveiller les femmes !
26 avril 2019, par Hugo MastréoQuitter son pays, pour échapper à la mort ou pour ne pas subir des persécutions, est la seule voie qui est prise par certaines personnes victimes d’atrocités. Les femmes saoudiennes s’adonnent, comme tous ceux et celles qui traversent des mers et les frontières, à quitter leur pays où l’animosité est une ligne de conduite de la monarchie qui a le pouvoir...
A Tbilissi, capitale de la Géorgie, le 25 avril dernier, deux sœurs saoudiennes, en fuite de leur pays, ont exhorté Apple et Google (...)