La conjoncture mondiale a fait que la croissance se rétracte. Le FMI a révisé en 2018, car les politiques des priorités nationales, comme celles de Trump aux Etats-Unis, obligent les investisseurs à être prudents pour leur placement à l’extérieur. L’Egypte étant l’un des grands bénéficiaires des IE (Investissements Etrangers), alors quelle est la situation de ce pays qui a été déstabilisé ces dernières années ? Les réformes fiscales ont encouragé cette tendance de réviser les opérations (...)
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Articles
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L’Egypte championne d’Afrique pour son attrait à l’IE (Investissement Etranger)
16 octobre 2018, par Azouz Benhocine -
Les autorités algériennes voient une menace avec la chute du prix du pétrole
24 décembre 2014, par Djamel Damien BoucherefLa chute du prix du pétrole sur le marché mondial suscite un vaste et un sérieux débat en Algérie. Les Algériens sont divisés entre ceux qui soutiennent ce sérieux revers amoindrissant les revenus du pays, permettrait de limiter la marge de manÅ“uvre des dirigeants refusant l’alternance démocratique, malgré leur mauvaise gestion. Et ceux qui voient une perte de l’aisance dont bénéficiait la population, avec une haute action sociale servant la stabilité politique qui sauve un régime loin de (...)
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Satan-2, nouveau missile nucléaire russe qui dérange l’OTAN
11 mai 2016, par Azouz BenhocineLa force de frappe militaire russe a donné dernièrement ses preuves dans la crise syrienne. Les missiles lancés depuis des flottes maritimes avec une précision chirurgicale jamais égalée, ont étonné plus d’un. Depuis les recherches, d’arsenaux menaçant les pays en adversité avec Poutine et son pays, se sont multipliés et accélérées. Alors que jamais le marché des armements n’a été aussi florissant, que depuis les troubles du "printemps arabe" de 2011.
La surveillance, des sujets et (...) -
A l’ombre des barricades du Hirak, le bon moral de l’armée en Algérie.
6 janvier 2020, par Djamel Damien BoucherefLa partie de la population algérienne traumatisée, par la décennie noire et à un degré moindre de la guerre de libération, refuse le changement du modèle institutionnel. Les « tuteurs historiques » ont à la fois pris en otage la conscience mémorielle et approuvé la cruauté douée de religion, pour contrôler les choix des administrés. Et invariablement les « constantes » font le service après-vente.
Ecouter l’article. A la question : dans quel camp préféreriez-vous être, celui des (...) -
Front social en Algérie, des grèves seulement faciles dans le secteur public
22 février 2018, par Djamel Damien BoucherefLe front social en ébullition en Algérie, deux secteurs publics sensibles ont été exposés à des actions d’une ampleur inégalée. La santé, avec le mouvement des médecins résidents (internes), ainsi que le système éducatif, ont marqué les première semaines de 2018. Seuls les travailleurs du secteur public (l’enseignement, l’industrie et la santé) peuvent se permettre des grèves. L’UGTA, la centrale qui fêtera son 72éme anniversaire, le 24 février, est dans l’obsolescence littérale. Elle (...)
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Disparition de la monnaie en Algérie : une gabegie économique ?
4 août 2020, par Djamel Damien BoucherefDiscrétement, l’Algérie autorise les premiers produits financiers islamiques des banques d’État. Parce qu’ils ne représentent pas les pans forts de l’économie. Mais s’occupent des secteurs informels qui restent incontrôlables par la fiscalité.
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L’Algérie maintient le quota des aides sociales dans le budget de 2019
8 septembre 2018, par Djamel Damien BoucherefLa marche forcée vers un nouveau mandat pour Bouteflika continue. Les militaires hauts gradés qui risquent de tout foutre en l’air sont isolés, mis à la retraite, sans être félicités de leur carrière, car aucune cérémonie ne leur est faite. Les matraquages, du chef du parti politique qui usurpe le sigle "FLN" et celui à la tête de la bureaucratie portant le nom "RND", sont incessants pour faire passer la pilule. Le sentiment est plus rassurant au regard des caractéristiques de la loi de (...)
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Trump innocente l’Arabie Saoudite du terrorisme avec 380 milliards
1er juin 2017, par Azouz BenhocineComme le trophée d’un chasseur de savane, pour son 1er voyage à l’étranger, le clownesque président des Etats-Unis a signé des contrats de quelques 380 milliards de dollars avec l’Arabie Saoudite, dont 110 sont pour l’armement. Peu importe le poids des intervenants parmi les élus, les citoyens, les ONG, les relations que la Maison Blanche entretient avec ses alliés échappent à tous contrôles, y compris les dénonciations de diplomatie internationale n’ont aucun effet.
Dans une interview (...) -
Juges, médias et militaires scrutent la révolution en Algérie.
8 janvier 2020, par N.E. TatemMonumental est le bouleversement que vit l’Algérie depuis presque une année. S’il est accompagné d’une transcription nécessaire au savoir du projet qu’il dessine, il est aussi dénigré. Une justice bureaucratisée et des médias à l’hostilité largement dénoncée par les manifestants, disent que l’armée n’a pas réprimé le peuple qui la paie. Voilà une des formulations de la haine réactionnaire qui opte au terrorisme en l’absence d’arguments plus solvables !
Ecouter l’article. La volatilité (...) -
Le rêve d’une bonne croissance échappe à l’Algérie contentée par la rente pétrolière
29 janvier 2019, par Djamel Damien BoucherefL’Algérie a ruiné son économie publique, la vague libérale qui parle toujours de réformes n’a plus honte de vouloir privatiser des transports utiles aux plus démunis de la population. Et même certains services de l’Etat, aujourd’hui pléthoriques, peuvent un jour làcher, pour être plus chers et payants. Pour le secteur privé, il faut avoir un parrain pour être protégé de la bureaucratie qui s’adonne au racket. Au regard des problèmes du leader africain, Cevital, dans son bercail, l’économie (...)