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Le divorce de la société civile et des institutions, en Algérie, arrange les aventuriers...

De la vacance du pouvoir, les oligarques ont du pain béni...

dimanche 17 septembre 2017, par Djamel Damien Boucheref

Une faramineuse mosquée pour on sait quel prestige, car celui de l’Algérie est usurpé et celui de l’islam est désintégré. Puis 4 mandats que la soif du pouvoir justifie à celui qui a finalement brisé la démocratie et ouvert la porte aux associés des « kleptocrates ».

Le président Bouteflika a fait l’exception, de 4 mandats, alors qu’il avait hérité d’une constitution autorisant 2. L’armée ne peut rien contre le rusé et redoutable diplomate qui a lui-même promulgué le bi-présidentiable, lors des amendements qui ont de ce texte, dit première loi, celui par où se décident plus de problèmes que de solutions.


 Les raisons du congédiement de Tebboune et 3 de ses ministres clés

En Algérie, la panne était chaotique, en 1994. C’était la dernière fois que l’armée algérienne s’est trouvée astreinte de réaliser une transition politique. Bouteflika, sollicité, refusa. Un discret retraité, Liamine Zeroual, s’improvise missionnaire de l’institution l’ayant chargée de refaire le même processus électoral.

L’originel vote suspendu, de 1991, depuis deux années, à la demande de la société civile qui percevait que les aventuriers, du sérail et de l’opposition, ont émulsionnée l’expérience démocratique aux revanches de mémoires et aux complots de vieux routiers.

Si c’était pour faire le ménage, il était question de mettre fin à une année de règne creux d’Ali kafi. Les militaires attendaient, de celui qui remplaça Boudiaf, la transition démocratique. Lui lorgnait à gouverner une décennie, en réduisant les libertés avec l’état d’exception.

- Des matières premières prises de produits subventionnés, les exportateurs algériens épinglés !

De part son parcours, Ali Kafi transpirait les idées du baath oriental, dans sa façon de parler, et en a déjà rêvé lors de solennité. Kefi suggéra qu’on décrète l’état d’urgence. Ce qui sera suivi, sans autres perspectives, qu’on le laisse à la tête de l’Etat jusqu’à une improbable stabilité.

L’originel vote suspendu à la demande de la société civile qui percevait que les aventuriers, du sérail et de l’opposition, ont perverti l’expérience démocratique.

Sans terminer son second mandat, Zeroual appela. a la dernière opérations élective, la présidentielle de 1999 pou fermer la parenthèse Ce fut aux deux grosses pointures, Ait-Ahmed et Bouteflika, de s’adonner au challenge qui aurait tracé, d’une manière indélébile, le sillon où s’implante la de génération ayant subi les ogres d’Oujda.

Participer à notre mini-sondage de moins d’une minute. Anonyme on peut exprimer, sans obligation, son opinion.

Sa question unique est : Qui après Bouteflika ?

Cinq choix ayant trait au profil, au parcours et à la personnalité du prochain président. ICI - MERCI

Nous organisons des sondages et enquêtes. Vous êtes invité à vous inscrire à nos panels. Merci si vous participez.

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Voir en ligne : Notre dossier : Algérie.

     
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