Une vidéo a commencé à circuler sur Internet jeudi, 20 décembre, alors que l’assassinat des deux femmes scandinaves, est considéré être commis dans la nuit du dimanche à lundi. Les corps ont été découverts le lundi en début de semaine. L’horreur a atteint son comble sur la manière dont le crime a été commis. Et la piste de terroristes d’obédience islamiste est irréfutable !
Alors que les images de l’acte islamo-terroriste circulaient, les autorités marocaines déclarent avoir mis le (...)
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Maghreb, Algérie, Tunisie, Maroc, Libye, Africa, population, société
Articles
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2 scandinaves victimes de terrorisme au Maroc : prompte, l’enquête désigne 4 suspects
20 décembre 2018, par Rebel Kazimir -
TENTATIVE D’ENLEVEMENT POUR ASSASSINAT A LAMTAR -ALGERIE- en 2013
17 juin 2013, par ABABOUUne lycéenne qui fréquentait le Lycée de - LAMTAR - ALGÉRIE - se répondant des initiales (AA) ; a échappé belle et bien à une tentative d’enlèvement pour être assassinée.
Un jeune majeur répondant aux initiales (FS) l’avait courtisée dans le but d’entreprendre une relation amoureuse. D’après diverses sources, ce dernier est leurré par une partie dissimulée de ses desseins. Son but est conduire cette jeune fille, encore mineure, pour être assassinée, puis de lui enlever ses organes en (...) -
1500 à 2000 milices armées et 6000 à 8000 terroristes maintiennent le chaos en Libye
26 septembre 2015, par Gros EmileLes données concernant la Libye sont opaques. Le pays est inaccessible aux journalistes. La communication des deux parties en conflit, le gouvernement exilé dans la ville de province de Tobrouk et la coalition regroupant des milices réfractaires à la légalité, composée de plusieurs appartenances islamo-terroristes dont le Daesh, est biaisée par un manque de transparence nuisant à toute crédibilité de l’information produite à ce sujet.
Seules les déclarations d’officiels d’internationaux (...) -
Bouteflika, dans les hauteurs d’Alger, dit avoir servi son pays malgré le chaos.
27 juillet 2019, par Djamel Damien BoucherefDifficile d’avoir une autre vision. La description des jours de Bouteflika, par le journal « Asharq El-Awssat », après sa destitution n’apporte rien de spécial. Elle contient ce qui peut être imaginé pour le cas du malade qui ne soit pas parti en Europe pour continuer ses soins ou aux EAU (Émirats Arabes Unis) où il séjournait fréquemment, avant de revenir aux affaires en 1999. Comme la certitude qu’il n’est plus à la résidence de la présidence du "club des pins", mérite d’être vérifiée (...)
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Déjà conspué, Bensalah président par intérim en Algérie, face-2 de la médaille
9 avril 2019, par Djamel Damien BoucherefNombreux Algériens et analystes percevaient une victoire partielle du départ, par démission et demande d’excuses, de Bouteflika. Le chef de l’armée, Ahmed Gaid Salah, nommé en 2004 a joué un rôle clé dans le départ du président. Il a été aussi décrié, sans clémence, par ceux mêmes qui attendaient qu’il ordonne une destitution militaire.
La succession à Bouteflika, telle que la dessine la constitution plusieurs fois piètrement piétinée, n’est pas acceptée par le mouvement social en (...) -
En Algérie, l’empathie « khawa-khawa » ne sera pas enterrée avec Gaïd Salah.
25 décembre 2019, par Djamel Damien BoucherefEcouter l’article. La refonte complète de la structure politique de l’Algérie, que le mouvement social du 22 février demande, est encore attendue. Tebboune se propose de relier les générations, mais la société bouillonne d’impatience pour la métamorphose. A la désarticulation de l’économie par la conjoncture, se rajoute la prépondérance des orientations réactionnaires dans le système judiciaire, les appareils des services publics et à cÅ“ur des juntes nationalistes qui refuse l’idée (...)
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Le divorce de la société civile et des institutions, en Algérie, arrange les aventuriers...
17 septembre 2017, par Djamel Damien BoucherefUne faramineuse mosquée pour on sait quel prestige, car celui de l’Algérie est usurpé et celui de l’islam est désintégré. Puis 4 mandats que la soif du pouvoir justifie à celui qui a finalement brisé la démocratie et ouvert la porte aux associés des « kleptocrates ».
Le président Bouteflika a fait l’exception, de 4 mandats, alors qu’il avait hérité d’une constitution autorisant 2. L’armée ne peut rien contre le rusé et redoutable diplomate qui a lui-même promulgué le bi-présidentiable, (...) -
Bouteflika attendu pour les maladies du régime
15 mai 2013, par Azouz BenhocineQuand se réveilla, en 2011, un vent de révolte dans le monde arabe pour chasser les despotes des républiques, Bouteflika est sorti de la profonde léthargie où il s’est muré après avoir usurpé une 3ème mandature de la constitution qui ne l’autorisait qu’à deux cycles.
Notre article d’analyse de la sortie de Bouteflika après le déclenchement du Printemps Arabe
Il avait alors promis de profondes réformes, dont la priorité, annoncée pour 2012, l’adoption de la nouvelle Constitution qui (...) -
Ghardaïa, quand la territorialité est méprisée par les présidentiables !
22 janvier 2014, par Djamel Damien BoucherefUn acharnement sectaire fomente les troubles à Ghardaïa. Ce qui n’a pas d’égal, à l’heure où le contexte régional arabo-musulman, l’Algérie vit ses pires instants de violence. Même localisés, ces affrontements entre habitants d’une même ville, sont l’image de l’effondrement de l’autorité de l’Etat algérien. Que le manquement des responsables du pays (sinon à quelle autorité s’adresser ?) inexplicable, laisse dire à des citoyens qu’ils sont persécutés par les tenants de l’arabité ou bien (...)
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24é vendredi de manifestation en Algérie, non-retour pour la rupture avec l’ancien système
2 août 2019, par Djamel Damien BoucherefL’épilogue de la première république, fondée en Algérie par la génération des guerriers de la libération, s’effectue avec une contestation en rupture avec l’islamisme, dont la cruauté a laissé un traumatisme collectif. Le sentiment religieux chute politiquement. Mais aussi à la prière du vendredi, quand manifeste le peuple, on croise dans les mosquées les vendeurs de pastèques, les truands repentis et les sectaires englués dans la médiocrité de l’école et des autres secteurs. Ni médecin, (...)