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L’islam en Afrique : encore une fois souillé par les islamistes. 2 premières parties d’un reportage exclusif

Les conversions massives en Afrique, sous les tensions extrémistes !

vendredi 7 janvier 2011, par Azouz Benhocine

L’islam en Afrique est certainement la religion qui acquière de nouveaux adeptes. Et comme il est, depuis l’apparition des frères musulmans en Egypte pendant les années 50, emporté par la dérive de l’obscurantisme, il questionne. L’islam politique (l’islamisme) aspire à fonder des Etats théocratiques, par les armes ou par la voie démocratique, offre au terrorisme la centrale des idées à partager avec les modérés.

Une avancée menaçante et répugnée pour son islamisme.

L’islamisme, matrice féodale inspirée de préceptes trop anciens, n’est pas une idéologie. C’est la chaire orthodoxe, de la théologie islamique, qui exige aussi de militer pour une cause quelconque, et pas seulement celle du prosélytisme faisant la promotion de la croyance. Les intégristes de toutes religions, communément appelés islamistes pour l’islam, sont endoctrinés pour les inquisitions de toutes formes. L’islam est habité du dogme nécessaire aux militants de la cause première, l’application de la charia.

Ce n’est pas une science des idées, car de vraies idéologies comme le communisme et le sionisme ont livré d’autres natures, dans le sens que la pensée source n’est pas une création exclusivement humaine. Des versets édictés ne peuvent être une science, aussi islamiques ou évangélistes qu’ils puissent se targuer, transformant des êtres croyants en le savoir, la logique, la critique et les connaissances humaines, en êtres confiés à ce qui n’est pas de leur responsabilité première, c’est-à-dire pleinement insoumis à celle du créationnisme. Darwin a expliqué, sans le vouloir, ce qui est irrationnel et les vestiges ont largement justifié...


Islam en danger
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Quand il s’agit des fanatiques du judaïsme, Israël est la terre promise, donc il faut expatrier et même massacrer les indus occupants. Des crimes de guerre qui n’ont rien à en vouloir aux qualifiants qui ont été donnés aux dogmes européens des ultranationalistes à l’origine de l’abominable Shoah, sont de nos jours de l’émulsion religion-idéologie, deux composants antinomiques. Chez les gens de l’église, les fanatiques derniers sont presque isolés. Nonobstant quelques survivances et des visions sectaires relèvent aussi du fanatisme subsistent. Comme une extension productive, des extrémismes, de pratiques religieuses aussi irrationnelles que destructrices.

L’islam des égarés ennemis d’abord des musulmans, avant toutes autres religions et civilisations

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L’islam est devant l’histoire universelle, et le monde est à l’écoute de ses tourments. Quand aussi certains peuples et nations espèrent réparer ses manquements. Un terrorisme, généré de frustrations diverses, va à l’acte criminel avec la facilité déconcertante de troublants suicides de kamikazes. Dans ce climat, Israël y trouve son argument de décapiter les résistances à son colonialisme. Sous la bannière du terrorisme, et même de la belle démocratie civilisatrice qui a sévi pendant des siècles et s’adonnent à des frappes ponctuelles comme en Irak… quand les révoltés ont une cause légale et un combat légitime, sont désignés de terroristes, ce sont tous les révolutions de gauche qui jalonnent l’histoire qui réentendent leur patronyme de terroristes. Le rebelle a toujours bon dos…

Il est incontestable que sous le cache de l’islamophobie, aussi, se terrent moult projets politiques. En dessous des rochets des politicards de l’extrême-droite occidentaux, l’anguille danse les refrains de l’invasion par des communautés corrompues et obscurantistes. Et en bas des eaux nébuleuses des « islamistes » (concept qui définit les djihadistes à différencier de « musulmans »), cette phobie de barbares venant vandaliser la paix démocratique, est simplement un racisme, un rejet gratuit.

Mais aucun observateur ne nie l’évidence que le message rapporté par le prophète Mohamed continue de se propager comme dernière et nouvelle religion monolithique d’importance majeure, vivante à pieds d’égalité avec le christianisme et à degrés différent avec le bouddhisme. D’ailleurs des deux, la plus jeune divinité soutire de nouveaux adeptes.

A suivre...

3ème Partie : L’islam des égarés ennemis d’abord des musulmans, avant toutes autres religions et civilisations.

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