Coupure d’Internet, chose simple mais aussi compliquée car on peut la contourner et même banalement avec des connections VPN...
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Maghreb, Algérie, Tunisie, Maroc, Libye, Africa, population, société
Articles
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Algérie : il n’y a pas eu de coupure Internet pendant les contestations.
15 février 2011, par Gros Emile -
Les détenus d’opinion en Algérie : atteinte aux libertés & recul de démocratie.
7 avril, par populiscoopCette autre demande de libération des détenus d’opinion en Algérie est suivie de l’ouverture des espaces d’expression. Les droits sont bafoués alors que les médias induisent un travail d’une piètre qualité, offrant aux publics local et mondial des productions et contenus confus, médiocres, inintelligibles et sans moindre esthétique. Les appels de ce genre sont nombreux, pour impulser les libertés. Mais les bureaucrates qui dirigent, avec le soutien de l’armée, brandissent le prétexte de menace de déstabilisation...
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A Jijel en Algérie, les inondations révèlent le laisser-aller de la gouvernance.
19 mars, par Djamel Damien BoucherefLes autorités s’efforcent encore de dégager les routes bloquées et les infrastructures endommagées. Mais elles devaient aménager les voies et autres infrastructures pour qu’à l’avenir, elles restent opérationnelles et ne devaient mettre en blocage la vie et les activités de la population. Le pays a un lourd retard avec les bricolages des dirigeants qui montrent leurs travaux sans efficacité sur l’existence des citoyens.
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2è partie : essentiel de l’interview de Tebboune, point par point.
2 avril, par Djamel Damien BoucherefL’emprise de la bureaucratie des énarques en Algérie s’est érigée en héritage du pouvoir absolu des nationalistes de l’indépendance. Aussi bien les premiers mis au service des seconds n’ont pas, les deux générations, mis en érection la "nation en formation". Le pays plongé dans une malédiction maladive, que de prétentieux présidents se placent en conscience des humains, donnant aux citoyens des retards économiques, des fanatismes religieux, des psychologies collectives ringardes et criminelles... La fabrique qui a engendré Tebboune persiste dans une culture ténébreuse.
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Ordre d’en haut : un journaliste refoulé au retour à son pays, l’Algérie.
16 avril, par Djamel Damien BoucherefÀ la veille d’une élection qui s’est déjà annoncée par un pseudo-avancement de son rendez-vous, cet épisode, du refoulement d’un citoyen revenant à son pays, est le dernier exemple des décisions d’une présidence algérienne aux abois. Le système politique du vaste pays d’Afrique du Nord, replonge dans sa paranoïa, alors que les vrais responsables, de ces cabales antidémocratiques, accumulent encore plus de dégâts et de bourdes inacceptables par la plus basique logique pour et de l’intérêt national !
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Tebboune interviewé sur bilan et convoitise du second mandat.
1er avril, par Djamel Damien BoucherefLa dernière interview, du président Tebboune, avec deux représentants de la presse algérienne, peut-être qualifiée, à la fois en bilan du premier mandat et de déclaration d’une éventuelle candidature aspirant à briguer une nouvelle volonté d’être au prochain scrutin. L’apparence d’un épilogue du parcours réalisé depuis 12/12/2019 s’émulsionne avec ambivalence avec un programme électoral, ce qui est le propre des indécis et des embarras que couvent les hautes sphères du pouvoir.
Seconde partie : Les sujets des clients systémiques et le mépris de la citoyenneté.
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Le brainstorming, des militaires décideurs, doute d’un 2e mandat à Tebboune.
14 mars, par Djamel Damien BoucherefQuelle signification aux votes en Algérie, où les bourrages des urnes, comme le 12/12/2019, empêchèrent le « fascislamiste » Bengrina qui a vraiment précédé quatre autres candidats, de présider au destin du pays. Pour éviter une autre reculade, que celle des cinq dernières années, une partie des chefs de l’armée ne désire pas prolonger le règne de Tebboune. Le président ne permet pas aux élites d’exister, car dépassant sa déroutante médiocratie, ce qui les exclut les meilleurs cadres de la nation. Le débat sur un second mandat au chef de l’État est bien omniprésent, parmi les opinions qui expliquent les enjeux sur l’avenir du pays.
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La startup GoMyCode, faisant de l’« edtech » en Tunisie, lève 8 millions de $.
9 juin 2022, par Djamel Damien BoucherefPour se développer en Afrique et au Moyen-Orient, GoMyCode spécialisée en formation en technologie informatique décroche un pactole utile à son développement. Les emplois de toutes les facettes de la vie, notamment ceux technologiques sont actuellement en forte demande dans l’économie mondiale. Une compétence où les jeunes s’évertuent comme en s’amusant.
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Les indécentes prestations de Brahimi et Lamamra, copains du despote Algérien
13 mars 2019, par Djamel Damien BoucherefVictoire amère pour le "printemps algérien". Bouteflika ne se retire pas du vote du 18 avril 2019, mais il l’annule pour se maintenir. C’est déjà un pas, d’avoir ébranler les certitudes de celui qui songeait mourir au trône. La pression, de la rue, a avisé sur la chute lente de la gérontocratie de la garde de la libération. Le passage à la 2ème république se déroule d’une action civilisée côté peuple. Versant régime/pouvoir, c’est la prolongation où l’ineptie du mal !
Le caractère (...) -
L’armée veut le vote du 4 juillet en Algérie, sans le candidat consensuel du "Hirak"
9 mai 2019, par Djamel Damien BoucherefParadoxe en Algérie ou bien quelque chose d’inachevée ? Que visent désormais les manifestants : l’armée ou son chef ? Et comment osent-ils croire qu’on peut dissocier l’une de l’autre ? Comment célébrer le départ de Gaïd Salah, sans interrompre la mission sécuritaire tant à la surveillance des frontières qu’aux flashs sur le « hirak » ?
Même en répondant à ces questions, il y a un double langage antagonique qui les habite. D’un côté les autorités intérimaires, venues après la chute du (...)