Cette autre demande de libération des détenus d’opinion en Algérie est suivie de l’ouverture des espaces d’expression. Les droits sont bafoués alors que les médias induisent un travail d’une piètre qualité, offrant aux publics local et mondial des productions et contenus confus, médiocres, inintelligibles et sans moindre esthétique. Les appels de ce genre sont nombreux, pour impulser les libertés. Mais les bureaucrates qui dirigent, avec le soutien de l’armée, brandissent le prétexte de menace de déstabilisation...
Accueil > Mots-clés > Critique & débat > Afrique, Monde Arabe, islam, Maghreb, Proche-Orient,
Afrique, Monde Arabe, islam, Maghreb, Proche-Orient,
Articles
-
Les détenus d’opinion en Algérie : atteinte aux libertés & recul de démocratie.
7 avril, par populiscoop -
Ordre d’en haut : un journaliste refoulé au retour à son pays, l’Algérie.
16 avril, par Djamel Damien BoucherefÀ la veille d’une élection qui s’est déjà annoncée par un pseudo-avancement de son rendez-vous, cet épisode, du refoulement d’un citoyen revenant à son pays, est le dernier exemple des décisions d’une présidence algérienne aux abois. Le système politique du vaste pays d’Afrique du Nord, replonge dans sa paranoïa, alors que les vrais responsables, de ces cabales antidémocratiques, accumulent encore plus de dégâts et de bourdes inacceptables par la plus basique logique pour et de l’intérêt national !
-
Tebboune interviewé sur bilan et convoitise du second mandat.
1er avril, par Djamel Damien BoucherefLa dernière interview, du président Tebboune, avec deux représentants de la presse algérienne, peut-être qualifiée, à la fois en bilan du premier mandat et de déclaration d’une éventuelle candidature aspirant à briguer une nouvelle volonté d’être au prochain scrutin. L’apparence d’un épilogue du parcours réalisé depuis 12/12/2019 s’émulsionne avec ambivalence avec un programme électoral, ce qui est le propre des indécis et des embarras que couvent les hautes sphères du pouvoir.
Seconde partie : Les sujets des clients systémiques et le mépris de la citoyenneté.
-
Le brainstorming, des militaires décideurs, doute d’un 2e mandat à Tebboune.
14 mars, par Djamel Damien BoucherefQuelle signification aux votes en Algérie, où les bourrages des urnes, comme le 12/12/2019, empêchèrent le « fascislamiste » Bengrina qui a vraiment précédé quatre autres candidats, de présider au destin du pays. Pour éviter une autre reculade, que celle des cinq dernières années, une partie des chefs de l’armée ne désire pas prolonger le règne de Tebboune. Le président ne permet pas aux élites d’exister, car dépassant sa déroutante médiocratie, ce qui les exclut les meilleurs cadres de la nation. Le débat sur un second mandat au chef de l’État est bien omniprésent, parmi les opinions qui expliquent les enjeux sur l’avenir du pays.
-
2è partie : essentiel de l’interview de Tebboune, point par point.
2 avril, par Djamel Damien BoucherefL’emprise de la bureaucratie des énarques en Algérie s’est érigée en héritage du pouvoir absolu des nationalistes de l’indépendance. Aussi bien les premiers mis au service des seconds n’ont pas, les deux générations, mis en érection la "nation en formation". Le pays plongé dans une malédiction maladive, que de prétentieux présidents se placent en conscience des humains, donnant aux citoyens des retards économiques, des fanatismes religieux, des psychologies collectives ringardes et criminelles... La fabrique qui a engendré Tebboune persiste dans une culture ténébreuse.
-
La startup GoMyCode, faisant de l’« edtech » en Tunisie, lève 8 millions de $.
9 juin 2022, par Djamel Damien BoucherefPour se développer en Afrique et au Moyen-Orient, GoMyCode spécialisée en formation en technologie informatique décroche un pactole utile à son développement. Les emplois de toutes les facettes de la vie, notamment ceux technologiques sont actuellement en forte demande dans l’économie mondiale. Une compétence où les jeunes s’évertuent comme en s’amusant.
-
Causes de la dérobade de l’Algérie à la CIJ avec l’Afrique du Sud.
22 février, par Djamel Damien BoucherefL’Afrique du Sud a défié les États-Unis ou les nombreux Occidentaux, en portant la question palestinienne devant la Cour internationale de Justice « CIJ ». Principalement parce que c’est un pays crédible et démocratique. Incontestablement, il est en conformité à son histoire et ses moult avancées dont les brillantes universités et sa médecine avancée, sans tenir compte de ses luttes humaines auxquelles est menée une loyauté.
-
Le commerce des armes selon la géopolitique post-guerre froide
21 avril 2017, par Rebel KazimirL’Institut international de recherche sur la paix de de Stockholm, plus connu sous son acronyme « SIPRI », vient de publier une base de données, des grandes nations exportatrices d’armes ainsi que de leurs meilleurs clients. Les chiffres de cette ONG suédoise concernent toutes les périodes depuis 1988, nous vous proposons ce sujet sur celle de 2011 à 2015. Depuis les révoltes des populations arabes pour déloger les despotes qui passent des décennies à la tête des Etats, le désordre (...)
-
Le classement des universités arabes : se situer dans le Monde actif
18 mai 2017, par Azouz BenhocineVoilà un des principaux indices parmi ceux qui permettent de dresser l’état de développement d’une nation. Car il a trait à la production intellectuelle de pointe, à savoir la formation scientifique et son apport dans l’industrie et le transfert du savoir. L’approche de standardisation est indépendante et tient des indicateurs d’engagement d’une institution universitaire à nourrir les prochaines générations d’étudiants de connaissances de haut niveau. Tel le troisième cycle dont les (...)
-
Déjà conspué, Bensalah président par intérim en Algérie, face-2 de la médaille
9 avril 2019, par Djamel Damien BoucherefNombreux Algériens et analystes percevaient une victoire partielle du départ, par démission et demande d’excuses, de Bouteflika. Le chef de l’armée, Ahmed Gaid Salah, nommé en 2004 a joué un rôle clé dans le départ du président. Il a été aussi décrié, sans clémence, par ceux mêmes qui attendaient qu’il ordonne une destitution militaire.
La succession à Bouteflika, telle que la dessine la constitution plusieurs fois piètrement piétinée, n’est pas acceptée par le mouvement social en (...)