File "modifier.log"
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'post' => 'C\'est une avancée prometteuse pour l\'Algérie qui aspire à devenir un acteur clé dans le domaine de la microélectronique mondiale. Comme toutes les jeunesses du Monde, l’Algérienne est aussi éprise de technologie, des réseaux du Web et des nouveaux moyens de communication où l’information est dispatchée comme jamais par d’autres supports.
Une puce électronique, ou circuit intégré, est un petit composant en silicium qui contient des millions à des milliards de transistors. Ces derniers fonctionnent comme des interrupteurs microscopiques capables de traiter et de stocker des données. Grâce à elle, un appareil peut effectuer des calculs, réagir à des commandes, stocker des informations ou même apprendre.
Le CDTA a dévoilé la première puce électronique entièrement conçue par des chercheurs algériens. L’enthousiasme qui entoure la déclaration faite samedi 13 avril en présence du ministre n’a pas d’égal. Depuis des décennies, le pays manquait de telles performances alors que l’ère des startups bat son plein.
Un laboratoire dédié à la conception de puces a été inauguré au CDTA (Centre de Développement des Technologies Avancées ) en décembre 2024, ce qui a facilité ce développement. Reste à vérifier son utilité sur des supports comme les cartes et le volume de sa contenance ainsi que sa capacité à donner lecture sur les terminaux qui la sollicitent.
Sous la direction du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, les experts en microélectronique du CDTA ont donc dévoilé la première puce électronique, conçue par des chercheurs locaux dans son ensemble. Utilisant une technologie avancée de 65 nanomètres, cette puce est une avancée majeure pour la souveraineté technologique du pays
Ces puces visaient à réduire la dépendance technologique et à initier une base de recherche et développement locale. Le traitement des opérations bancaires sera moins exposé aux interférences externes au pays, où il faut passer au contrôle de tels produits basés sur les datas et la mémoire préétablie dans leur fonctionnement.
La souveraineté technologique est devenue un enjeu non négligeable depuis l’essor des nouveaux outils digitaux. Cette réalisation est considérée comme un pas vers l’accomplissement de la souveraineté technologique de l’Algérie. La première puce faite maison est une étape majeure pour l’avancée technologique du pays.
Sa conception par des experts locaux, cette puce met en évidence la compétence en microélectronique du CDTA et de son personnel. Domaine de haute précision, elle est décrite comme un composant de maîtrise des petits détails sur une surface de seulement un millimètre carré et qui compartimentée pour divers usages.
En 1958 la première puce électronique voit le jour grâce à Jack Kilby, chez « Texas Instruments », suivi de Robert Noyce chez Fairchild « Semiconductor » en a beaucoup collaboré. Ces pionniers mettent au point le circuit intégré, une révolution technologique qui permet de miniaturiser des composants électroniques autrefois encombrants.
<cadre> Des usages omniprésents dans la vie quotidienne
Finance et sécurité
• Les cartes bancaires à puce (EMV) offrent un niveau de sécurité élevé lors des transactions.
• Elles permettent également le paiement sans contact, rapide et pratique.
Télécommunications
• Chaque téléphone mobile contient une carte SIM, une puce essentielle pour identifier l’utilisateur et gérer les communications.
• Les smartphones modernes intègrent aussi des puces GPS, Wi-Fi, Bluetooth...
Santé et médecine
• Les cartes d’assurance utilisent des puces pour stocker des données médicales.
• Les appareils médicaux intelligents (comme les pacemakers ou les tensiomètres connectés) dépendent de ces composants pour fonctionner efficacement.
Transport intelligent
• De nombreuses voitures utilisent des clés électroniques à puce.
• Les systèmes de péage automatique et les boîtiers de télépéage reposent également sur cette technologie.
Commerce et logistique
• Les étiquettes RFID permettent de suivre des produits en temps réel, de la chaîne de production jusqu’à l’utilisateur.
• Cela facilite la gestion des stocks, la logistique, et la traçabilité.
🏠 Maison connectée
• Dans le domaine de la domotique, les puces permettent de piloter à distance l’éclairage, le chauffage, ou les systèmes de sécurité.
• Elles sont aussi présentes dans les assistants vocaux, les thermostats intelligents, les ampoules connectées…
________________________________________
Un avenir encore plus intelligent
Les puces électroniques ne cessent d’évoluer. Voici ce que nous réserve le futur :
• Internet des objets (IoT) : chaque objet du quotidien (montre, frigo, serrure…) devient connecté grâce à une puce.
• Edge computing : des puces IA permettent de traiter les données directement sur l’appareil, sans passer par le cloud.
• Biopuces : en développement dans la médecine, elles pourront détecter des maladies à un stade très précoce.
________________________________________
Enjeux pour les citoyens
Cette omniprésence soulève aussi des questions éthiques et sociales :
• Vie privée : comment protéger les données collectées par ces dispositifs ?
• Inégalités d’accès : tout le monde a-t-il les moyens ou les compétences pour bénéficier de ces technologies ?
• Durabilité : la fabrication de puces est énergivore et nécessite des ressources rares. Quelle est la responsabilité environnementale ?
</cadre>
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'save' => 'C\'est une avancée prometteuse pour l\'Algérie qui aspire à devenir un acteur clé dans le domaine de la microélectronique mondiale. Comme toutes les jeunesses du Monde, l’Algérienne est aussi éprise de technologie, des réseaux du Web et des nouveaux moyens de communication où l’information est dispatchée comme jamais par d’autres supports.
Une puce électronique, ou circuit intégré, est un petit composant en silicium qui contient des millions à des milliards de transistors. Ces derniers fonctionnent comme des interrupteurs microscopiques capables de traiter et de stocker des données. Grâce à elle, un appareil peut effectuer des calculs, réagir à des commandes, stocker des informations ou même apprendre.
Le CDTA a dévoilé la première puce électronique entièrement conçue par des chercheurs algériens. L’enthousiasme qui entoure la déclaration faite samedi 13 avril en présence du ministre n’a pas d’égal. Depuis des décennies, le pays manquait de telles performances alors que l’ère des startups bat son plein.
Un laboratoire dédié à la conception de puces a été inauguré au CDTA (Centre de Développement des Technologies Avancées ) en décembre 2024, ce qui a facilité ce développement. Reste à vérifier son utilité sur des supports comme les cartes et le volume de sa contenance ainsi que sa capacité à donner lecture sur les terminaux qui la sollicitent.
Sous la direction du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, les experts en microélectronique du CDTA ont donc dévoilé la première puce électronique, conçue par des chercheurs locaux dans son ensemble. Utilisant une technologie avancée de 65 nanomètres, cette puce est une avancée majeure pour la souveraineté technologique du pays
Ces puces visaient à réduire la dépendance technologique et à initier une base de recherche et développement locale. Le traitement des opérations bancaires sera moins exposé aux interférences externes au pays, où il faut passer au contrôle de tels produits basés sur les datas et la mémoire préétablie dans leur fonctionnement.
La souveraineté technologique est devenue un enjeu non négligeable depuis l’essor des nouveaux outils digitaux. Cette réalisation est considérée comme un pas vers l’accomplissement de la souveraineté technologique de l’Algérie. La première puce faite maison est une étape majeure pour l’avancée technologique du pays.
Sa conception par des experts locaux, cette puce met en évidence la compétence en microélectronique du CDTA et de son personnel. Domaine de haute précision, elle est décrite comme un composant de maîtrise des petits détails sur une surface de seulement un millimètre carré et qui compartimentée pour divers usages.
En 1958 la première puce électronique voit le jour grâce à Jack Kilby, chez « Texas Instruments », suivi de Robert Noyce chez Fairchild « Semiconductor » en a beaucoup collaboré. Ces pionniers mettent au point le circuit intégré, une révolution technologique qui permet de miniaturiser des composants électroniques autrefois encombrants.
<cadre> Des usages omniprésents dans la vie quotidienne
Finance et sécurité
• Les cartes bancaires à puce (EMV) offrent un niveau de sécurité élevé lors des transactions.
• Elles permettent également le paiement sans contact, rapide et pratique.
Télécommunications
• Chaque téléphone mobile contient une carte SIM, une puce essentielle pour identifier l’utilisateur et gérer les communications.
• Les smartphones modernes intègrent aussi des puces GPS, Wi-Fi, Bluetooth...
Santé et médecine
• Les cartes d’assurance utilisent des puces pour stocker des données médicales.
• Les appareils médicaux intelligents (comme les pacemakers ou les tensiomètres connectés) dépendent de ces composants pour fonctionner efficacement.
Transport intelligent
• De nombreuses voitures utilisent des clés électroniques à puce.
• Les systèmes de péage automatique et les boîtiers de télépéage reposent également sur cette technologie.
Commerce et logistique
• Les étiquettes RFID permettent de suivre des produits en temps réel, de la chaîne de production jusqu’à l’utilisateur.
• Cela facilite la gestion des stocks, la logistique, et la traçabilité.
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Une puce électronique, ou circuit intégré, est un petit composant en silicium qui contient des millions à des milliards de transistors. Ces derniers fonctionnent comme des interrupteurs microscopiques capables de traiter et de stocker des données. Grâce à elle, un appareil peut effectuer des calculs, réagir à des commandes, stocker des informations ou même apprendre.
Le CDTA a dévoilé la première puce électronique entièrement conçue par des chercheurs algériens. L’enthousiasme qui entoure la déclaration faite samedi 13 avril en présence du ministre n’a pas d’égal. Depuis des décennies, le pays manquait de telles performances alors que l’ère des startups bat son plein.
Un laboratoire dédié à la conception de puces a été inauguré au CDTA (Centre de Développement des Technologies Avancées ) en décembre 2024, ce qui a facilité ce développement. Reste à vérifier son utilité sur des supports comme les cartes et le volume de sa contenance ainsi que sa capacité à donner lecture sur les terminaux qui la sollicitent.
Sous la direction du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, les experts en microélectronique du CDTA ont donc dévoilé la première puce électronique, conçue par des chercheurs locaux dans son ensemble. Utilisant une technologie avancée de 65 nanomètres, cette puce est une avancée majeure pour la souveraineté technologique du pays
Ces puces visaient à réduire la dépendance technologique et à initier une base de recherche et développement locale. Le traitement des opérations bancaires sera moins exposé aux interférences externes au pays, où il faut passer au contrôle de tels produits basés sur les datas et la mémoire préétablie dans leur fonctionnement.
La souveraineté technologique est devenue un enjeu non négligeable depuis l’essor des nouveaux outils digitaux. Cette réalisation est considérée comme un pas vers l’accomplissement de la souveraineté technologique de l’Algérie. La première puce faite maison est une étape majeure pour l’avancée technologique du pays.
Sa conception par des experts locaux, cette puce met en évidence la compétence en microélectronique du CDTA et de son personnel. Domaine de haute précision, elle est décrite comme un composant de maîtrise des petits détails sur une surface de seulement un millimètre carré et qui compartimentée pour divers usages.
En 1958 la première puce électronique voit le jour grâce à Jack Kilby, chez « Texas Instruments », suivi de Robert Noyce chez Fairchild « Semiconductor » en a beaucoup collaboré. Ces pionniers mettent au point le circuit intégré, une révolution technologique qui permet de miniaturiser des composants électroniques autrefois encombrants.
<cadre> Des usages omniprésents dans la vie quotidienne
Finance et sécurité
• Les cartes bancaires à puce (EMV) offrent un niveau de sécurité élevé lors des transactions.
• Elles permettent également le paiement sans contact, rapide et pratique.
Télécommunications
• Chaque téléphone mobile contient une carte SIM, une puce essentielle pour identifier l’utilisateur et gérer les communications.
• Les smartphones modernes intègrent aussi des puces GPS, Wi-Fi, Bluetooth...
Santé et médecine
• Les cartes d’assurance utilisent des puces pour stocker des données médicales.
• Les appareils médicaux intelligents (comme les pacemakers ou les tensiomètres connectés) dépendent de ces composants pour fonctionner efficacement.
Transport intelligent
• De nombreuses voitures utilisent des clés électroniques à puce.
• Les systèmes de péage automatique et les boîtiers de télépéage reposent également sur cette technologie.
Commerce et logistique
• Les étiquettes RFID permettent de suivre des produits en temps réel, de la chaîne de production jusqu’à l’utilisateur.
• Cela facilite la gestion des stocks, la logistique, et la traçabilité.
🏠 Maison connectée
• Dans le domaine de la domotique, les puces permettent de piloter à distance l’éclairage, le chauffage, ou les systèmes de sécurité.
• Elles sont aussi présentes dans les assistants vocaux, les thermostats intelligents, les ampoules connectées…
Un avenir encore plus intelligent
Les puces électroniques ne cessent d’évoluer. Voici ce que nous réserve le futur :
• Internet des objets (IoT) : chaque objet du quotidien (montre, frigo, serrure…) devient connecté grâce à une puce.
• Edge computing : des puces IA permettent de traiter les données directement sur l’appareil, sans passer par le cloud.
• Biopuces : en développement dans la médecine, elles pourront détecter des maladies à un stade très précoce.
Enjeux pour les citoyens
Cette omniprésence soulève aussi des questions éthiques et sociales :
• Vie privée : comment protéger les données collectées par ces dispositifs ?
• Inégalités d’accès : tout le monde a-t-il les moyens ou les compétences pour bénéficier de ces technologies ?
• Durabilité : la fabrication de puces est énergivore et nécessite des ressources rares. Quelle est la responsabilité environnementale ?
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Une puce électronique, ou circuit intégré, est un petit composant en silicium qui contient des millions à des milliards de transistors. Ces derniers fonctionnent comme des interrupteurs microscopiques capables de traiter et de stocker des données. Grâce à elle, un appareil peut effectuer des calculs, réagir à des commandes, stocker des informations ou même apprendre.
Le CDTA a dévoilé la première puce électronique entièrement conçue par des chercheurs algériens. L’enthousiasme qui entoure la déclaration faite samedi 13 avril en présence du ministre n’a pas d’égal. Depuis des décennies, le pays manquait de telles performances alors que l’ère des startups bat son plein.
Un laboratoire dédié à la conception de puces a été inauguré au CDTA (Centre de Développement des Technologies Avancées ) en décembre 2024, ce qui a facilité ce développement. Reste à vérifier son utilité sur des supports comme les cartes et le volume de sa contenance ainsi que sa capacité à donner lecture sur les terminaux qui la sollicitent.
Sous la direction du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, les experts en microélectronique du CDTA ont donc dévoilé la première puce électronique, conçue par des chercheurs locaux dans son ensemble. Utilisant une technologie avancée de 65 nanomètres, cette puce est une avancée majeure pour la souveraineté technologique du pays
Ces puces visaient à réduire la dépendance technologique et à initier une base de recherche et développement locale. Le traitement des opérations bancaires sera moins exposé aux interférences externes au pays, où il faut passer au contrôle de tels produits basés sur les datas et la mémoire préétablie dans leur fonctionnement.
La souveraineté technologique est devenue un enjeu non négligeable depuis l’essor des nouveaux outils digitaux. Cette réalisation est considérée comme un pas vers l’accomplissement de la souveraineté technologique de l’Algérie. La première puce faite maison est une étape majeure pour l’avancée technologique du pays.
Sa conception par des experts locaux, cette puce met en évidence la compétence en microélectronique du CDTA et de son personnel. Domaine de haute précision, elle est décrite comme un composant de maîtrise des petits détails sur une surface de seulement un millimètre carré et qui compartimentée pour divers usages.
En 1958 la première puce électronique voit le jour grâce à Jack Kilby, chez « Texas Instruments », suivi de Robert Noyce chez Fairchild « Semiconductor » en a beaucoup collaboré. Ces pionniers mettent au point le circuit intégré, une révolution technologique qui permet de miniaturiser des composants électroniques autrefois encombrants.
<cadre> Des usages omniprésents dans la vie quotidienne
Finance et sécurité
• Les cartes bancaires à puce (EMV) offrent un niveau de sécurité élevé lors des transactions.
• Elles permettent également le paiement sans contact, rapide et pratique.
Télécommunications
• Chaque téléphone mobile contient une carte SIM, une puce essentielle pour identifier l’utilisateur et gérer les communications.
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Santé et médecine
• Les cartes d’assurance utilisent des puces pour stocker des données médicales.
• Les appareils médicaux intelligents (comme les pacemakers ou les tensiomètres connectés) dépendent de ces composants pour fonctionner efficacement.
Transport intelligent
• De nombreuses voitures utilisent des clés électroniques à puce.
• Les systèmes de péage automatique et les boîtiers de télépéage reposent également sur cette technologie.
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Une puce électronique, ou circuit intégré, est un petit composant en silicium qui contient des millions à des milliards de transistors. Ces derniers fonctionnent comme des interrupteurs microscopiques capables de traiter et de stocker des données. Grâce à elle, un appareil peut effectuer des calculs, réagir à des commandes, stocker des informations ou même apprendre.
Le CDTA a dévoilé la première puce électronique entièrement conçue par des chercheurs algériens. L’enthousiasme qui entoure la déclaration faite samedi 13 avril en présence du ministre n’a pas d’égal. Depuis des décennies, le pays manquait de telles performances alors que l’ère des startups bat son plein.
Un laboratoire dédié à la conception de puces a été inauguré au CDTA (Centre de Développement des Technologies Avancées ) en décembre 2024, ce qui a facilité ce développement. Reste à vérifier son utilité sur des supports comme les cartes et le volume de sa contenance ainsi que sa capacité à donner lecture sur les terminaux qui la sollicitent.
Sous la direction du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, les experts en microélectronique du CDTA ont donc dévoilé la première puce électronique, conçue par des chercheurs locaux dans son ensemble. Utilisant une technologie avancée de 65 nanomètres, cette puce est une avancée majeure pour la souveraineté technologique du pays
Ces puces visaient à réduire la dépendance technologique et à initier une base de recherche et développement locale. Le traitement des opérations bancaires sera moins exposé aux interférences externes au pays, où il faut passer au contrôle de tels produits basés sur les datas et la mémoire préétablie dans leur fonctionnement.
La souveraineté technologique est devenue un enjeu non négligeable depuis l’essor des nouveaux outils digitaux. Cette réalisation est considérée comme un pas vers l’accomplissement de la souveraineté technologique de l’Algérie. La première puce faite maison est une étape majeure pour l’avancée technologique du pays.
Sa conception par des experts locaux, cette puce met en évidence la compétence en microélectronique du CDTA et de son personnel. Domaine de haute précision, elle est décrite comme un composant de maîtrise des petits détails sur une surface de seulement un millimètre carré et qui compartimentée pour divers usages.
En 1958 la première puce électronique voit le jour grâce à Jack Kilby, chez « Texas Instruments », suivi de Robert Noyce chez Fairchild « Semiconductor » en a beaucoup collaboré. Ces pionniers mettent au point le circuit intégré, une révolution technologique qui permet de miniaturiser des composants électroniques autrefois encombrants.
<cadre> Des usages omniprésents dans la vie quotidienne
Finance et sécurité
• Les cartes bancaires à puce (EMV) offrent un niveau de sécurité élevé lors des transactions.
• Elles permettent également le paiement sans contact, rapide et pratique.
Télécommunications
• Chaque téléphone mobile contient une carte SIM, une puce essentielle pour identifier l’utilisateur et gérer les communications.
• Les smartphones modernes intègrent aussi des puces GPS, Wi-Fi, Bluetooth...
Santé et médecine
• Les cartes d’assurance utilisent des puces pour stocker des données médicales.
• Les appareils médicaux intelligents (comme les pacemakers ou les tensiomètres connectés) dépendent de ces composants pour fonctionner efficacement.
Transport intelligent
• De nombreuses voitures utilisent des clés électroniques à puce.
• Les systèmes de péage automatique et les boîtiers de télépéage reposent également sur cette technologie.
Commerce et logistique
• Les étiquettes RFID permettent de suivre des produits en temps réel, de la chaîne de production jusqu’à l’utilisateur.
• Cela facilite la gestion des stocks, la logistique, et la traçabilité.
🏠 Maison connectée
• Dans le domaine de la domotique, les puces permettent de piloter à distance l’éclairage, le chauffage, ou les systèmes de sécurité.
• Elles sont aussi présentes dans les assistants vocaux, les thermostats intelligents, les ampoules connectées…
Un avenir encore plus intelligent
Les puces électroniques ne cessent d’évoluer. Voici ce que nous réserve le futur :
• Internet des objets (IoT) : chaque objet du quotidien (montre, frigo, serrure…) devient connecté grâce à une puce.
• Edge computing : des puces IA permettent de traiter les données directement sur l’appareil, sans passer par le cloud.
• Biopuces : en développement dans la médecine, elles pourront détecter des maladies à un stade très précoce.
Enjeux pour les citoyens
Cette omniprésence soulève aussi des questions éthiques et sociales :
• Vie privée : comment protéger les données collectées par ces dispositifs ?
• Inégalités d’accès : tout le monde a-t-il les moyens ou les compétences pour bénéficier de ces technologies ?
• Durabilité : la fabrication de puces est énergivore et nécessite des ressources rares. Quelle est la responsabilité environnementale ?
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Une puce électronique, ou circuit intégré, est un petit composant en silicium qui contient des millions à des milliards de transistors. Ces derniers fonctionnent comme des interrupteurs microscopiques capables de traiter et de stocker des données. Grâce à elle, un appareil peut effectuer des calculs, réagir à des commandes, stocker des informations ou même apprendre.
Le CDTA a dévoilé la première puce électronique entièrement conçue par des chercheurs algériens. L’enthousiasme qui entoure la déclaration faite samedi 13 avril en présence du ministre n’a pas d’égal. Depuis des décennies, le pays manquait de telles performances alors que l’ère des startups bat son plein.
Un laboratoire dédié à la conception de puces a été inauguré au CDTA (Centre de Développement des Technologies Avancées ) en décembre 2024, ce qui a facilité ce développement. Reste à vérifier son utilité sur des supports comme les cartes et le volume de sa contenance ainsi que sa capacité à donner lecture sur les terminaux qui la sollicitent.
Sous la direction du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, les experts en microélectronique du CDTA ont donc dévoilé la première puce électronique, conçue par des chercheurs locaux dans son ensemble. Utilisant une technologie avancée de 65 nanomètres, cette puce est une avancée majeure pour la souveraineté technologique du pays
Ces puces visaient à réduire la dépendance technologique et à initier une base de recherche et développement locale. Le traitement des opérations bancaires sera moins exposé aux interférences externes au pays, où il faut passer au contrôle de tels produits basés sur les datas et la mémoire préétablie dans leur fonctionnement.
La souveraineté technologique est devenue un enjeu non négligeable depuis l’essor des nouveaux outils digitaux. Cette réalisation est considérée comme un pas vers l’accomplissement de la souveraineté technologique de l’Algérie. La première puce faite maison est une étape majeure pour l’avancée technologique du pays.
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Finance et sécurité
• Les cartes bancaires à puce (EMV) offrent un niveau de sécurité élevé lors des transactions.
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• Chaque téléphone mobile contient une carte SIM, une puce essentielle pour identifier l’utilisateur et gérer les communications.
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Santé et médecine
• Les cartes d’assurance utilisent des puces pour stocker des données médicales.
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'post' => 'Les programmes éducatifs qui opposaient le savoir scientifique des programmes scolaires à la formation d’un bon citoyen issue des décideurs régnants, continuent d’évoluer. Cette dernière culture, très souvent religieuse, est constitutive du comportement est politisée par les orientations despotiques, est aussi fatalement déroutante du savoir.
Il est possible que le système éducatif en général soit en liaison avec le traçage de l’avenir commun, où la bonne santé de l’individu est insérée, dans le projet commun d’une société forte et équilibrée. Des pays du monde entier intègrent déjà l’éducation alimentaire dans une perspective de durabilité dans leurs programmes formels.
Afin de progresser vers une action collective pour un avenir alimentaire plus durable, la nécessité du changement pour définir les objectifs de l’éducation en fonction des priorités et des intérêts des enfants. Soit la nouvelle matière pédagogique serait consacrée à la nourriture avec toutes ses thématiques de gastronomie, d’effet sur le climat, d’exploitation environnementale et de traduction des sciences dans la santé.
Un modèle d’apprentissage alimentaire existe dans les systèmes éducatifs des pays évolués, il consiste à suivre la démarche d’éviter l’obésité des élèves. C’est schématique, pourtant la globalité du sujet ramène à la santé publique et à l’avenir des populations. Ce qui fait une matière pédagogique entière ramenant à la nutrition des personnes en vue de les préserver des maladies.
<img src="https://sdmntprnortheu.oaiusercontent.com/files/00000000-a0b4-61f4-abdd-a73f58badda5/raw?se=2025-06-01T18%3A37%3A56Z&sp=r&sv=2024-08-04&sr=b&scid=b0dfdab0-83f1-5c56-baba-de69c6df5d20&skoid=b928fb90-500a-412f-a661-1ece57a7c318&sktid=a48cca56-e6da-484e-a814-9c849652bcb3&skt=2025-06-01T08%3A41%3A10Z&ske=2025-06-02T08%3A41%3A10Z&sks=b&skv=2024-08-04&sig=iXZCr1L3x/55FWX56eDQtjHqbURH8JNuKBsk7/C1b7w%3D"></img>
La situation actuelle est que les régimes alimentaires d’une grande partie de la population mondiale ne sont pas favorables à la santé. Se prémunir du pire convient de prendre des mesures dès l’âge de scolarisation des habitants. Les principes fondamentaux fondés sur des données probantes et nécessaires à une éducation alimentaire efficace, feront des objectifs orientés vers l’action qui s’alignent sur les contextes de l’élève.
Dans une recherche traitant les données sur l’apprentissage mettant l’alimentation en priorité, la nécessité d’influencer les pratiques et les perspectives alimentaires des enfants exige la « coappropriation » du processus d’apprentissage, en lui donnant la priorité à l’apprentissage par l’expérience, la garantie d’interactions ciblées, la complémentarité avec l’environnement alimentaire de l’école et au-delà et la participation significative des acteurs.
Ce qui est déjà décrit a été adapté par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et l’UNICEF, à partir du modèle d’apprentissage. Les principaux défis qui doivent être relevés, au-delà de la conception des programmes pour améliorer le succès de l’éducation alimentaire, y compris la nécessité de renforcer les capacités systémiques et d’améliorer l’environnement politique dans son ensemble.
Contrairement à de nombreuses matières scolaires, les écoliers ne partent pas de zéro lorsqu’ils apprennent la nourriture à l’école. Ils sont déjà, à partir du cadre familial, apprêtés avec des habitudes souvent élaborées avec soin. Par conséquent, les éducateurs doivent reconnaître le pouvoir d’un tel apprentissage alimentaire informel ou caché et capitaliser sur les bases de référence et les expériences antérieures des enfants.
Mais aussi, ils apportent avec eux des années d’expérience avec la nourriture, les croyances et les préférences, ainsi qu’une exposition aux tendances commerciales, aux intérêts politiques et aux normes et traditions socioculturelles, qui façonnent toutes ce que les enfants ressentent, savent et font dans leur vie quotidienne.
<iframe src="https://claude.ai/public/artifacts/30e91d77-7a04-47ff-bdbe-3102ed668e6d" width="700" height="700"></iframe>
Les programmes éducatifs qui intègrent les connaissances sur l’alimentation jouent un rôle clé dans la sensibilisation aux enjeux de santé, d’environnement et de durabilité. Voici quelques intérêts majeurs :
Éducation à la santé : Apprendre aux élèves à adopter une alimentation équilibrée pour prévenir les maladies chroniques et favoriser le bien-être.
Impact environnemental : Sensibiliser aux effets de la production alimentaire sur la planète, comme la préservation des écosystèmes et la réduction des émissions de gaz à effet de serre.
Consommation responsable : Encourager des choix alimentaires éclairés, en tenant compte du gaspillage alimentaire et des modes de production durables.
Culture et société : Valoriser les traditions culinaires tout en explorant les innovations alimentaires qui pourraient façonner l’avenir.
L’avenir de l’humanité et de la planète dépend en grande partie de la manière dont nous produisons et consommons notre nourriture. Les programmes scolaires jouent donc un rôle essentiel en formant les générations futures à des pratiques alimentaires plus durables et responsables. Qu’en pensez-vous ? 😊',
'save' => 'Les programmes éducatifs qui opposaient le savoir scientifique des programmes scolaires à la formation d’un bon citoyen issue des décideurs régnants, continuent d’évoluer. Cette dernière culture, très souvent religieuse, est constitutive du comportement est politisée par les orientations despotiques, est aussi fatalement déroutante du savoir.
Il est possible que le système éducatif en général soit en liaison avec le traçage de l’avenir commun, où la bonne santé de l’individu est insérée, dans le projet commun d’une société forte et équilibrée. Des pays du monde entier intègrent déjà l’éducation alimentaire dans une perspective de durabilité dans leurs programmes formels.
Afin de progresser vers une action collective pour un avenir alimentaire plus durable, la nécessité du changement pour définir les objectifs de l’éducation en fonction des priorités et des intérêts des enfants. Soit la nouvelle matière pédagogique serait consacrée à la nourriture avec toutes ses thématiques de gastronomie, d’effet sur le climat, d’exploitation environnementale et de traduction des sciences dans la santé.
Un modèle d’apprentissage alimentaire existe dans les systèmes éducatifs des pays évolués, il consiste à suivre la démarche d’éviter l’obésité des élèves. C’est schématique, pourtant la globalité du sujet ramène à la santé publique et à l’avenir des populations. Ce qui fait une matière pédagogique entière ramenant à la nutrition des personnes en vue de les préserver des maladies.
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La situation actuelle est que les régimes alimentaires d’une grande partie de la population mondiale ne sont pas favorables à la santé. Se prémunir du pire convient de prendre des mesures dès l’âge de scolarisation des habitants. Les principes fondamentaux fondés sur des données probantes et nécessaires à une éducation alimentaire efficace, feront des objectifs orientés vers l’action qui s’alignent sur les contextes de l’élève.
Dans une recherche traitant les données sur l’apprentissage mettant l’alimentation en priorité, la nécessité d’influencer les pratiques et les perspectives alimentaires des enfants exige la « coappropriation » du processus d’apprentissage, en lui donnant la priorité à l’apprentissage par l’expérience, la garantie d’interactions ciblées, la complémentarité avec l’environnement alimentaire de l’école et au-delà et la participation significative des acteurs.
Ce qui est déjà décrit a été adapté par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et l’UNICEF, à partir du modèle d’apprentissage. Les principaux défis qui doivent être relevés, au-delà de la conception des programmes pour améliorer le succès de l’éducation alimentaire, y compris la nécessité de renforcer les capacités systémiques et d’améliorer l’environnement politique dans son ensemble.
Contrairement à de nombreuses matières scolaires, les écoliers ne partent pas de zéro lorsqu’ils apprennent la nourriture à l’école. Ils sont déjà, à partir du cadre familial, apprêtés avec des habitudes souvent élaborées avec soin. Par conséquent, les éducateurs doivent reconnaître le pouvoir d’un tel apprentissage alimentaire informel ou caché et capitaliser sur les bases de référence et les expériences antérieures des enfants.
Mais aussi, ils apportent avec eux des années d’expérience avec la nourriture, les croyances et les préférences, ainsi qu’une exposition aux tendances commerciales, aux intérêts politiques et aux normes et traditions socioculturelles, qui façonnent toutes ce que les enfants ressentent, savent et font dans leur vie quotidienne.
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Les programmes éducatifs qui intègrent les connaissances sur l’alimentation jouent un rôle clé dans la sensibilisation aux enjeux de santé, d’environnement et de durabilité. Voici quelques intérêts majeurs :
Éducation à la santé : Apprendre aux élèves à adopter une alimentation équilibrée pour prévenir les maladies chroniques et favoriser le bien-être.
Impact environnemental : Sensibiliser aux effets de la production alimentaire sur la planète, comme la préservation des écosystèmes et la réduction des émissions de gaz à effet de serre.
Consommation responsable : Encourager des choix alimentaires éclairés, en tenant compte du gaspillage alimentaire et des modes de production durables.
Culture et société : Valoriser les traditions culinaires tout en explorant les innovations alimentaires qui pourraient façonner l’avenir.
L’avenir de l’humanité et de la planète dépend en grande partie de la manière dont nous produisons et consommons notre nourriture. Les programmes scolaires jouent donc un rôle essentiel en formant les générations futures à des pratiques alimentaires plus durables et responsables. Qu’en pensez-vous ? ',
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Il est possible que le système éducatif en général soit en liaison avec le traçage de l’avenir commun, où la bonne santé de l’individu est insérée, dans le projet commun d’une société forte et équilibrée. Des pays du monde entier intègrent déjà l’éducation alimentaire dans une perspective de durabilité dans leurs programmes formels.
Afin de progresser vers une action collective pour un avenir alimentaire plus durable, la nécessité du changement pour définir les objectifs de l’éducation en fonction des priorités et des intérêts des enfants. Soit la nouvelle matière pédagogique serait consacrée à la nourriture avec toutes ses thématiques de gastronomie, d’effet sur le climat, d’exploitation environnementale et de traduction des sciences dans la santé.
Un modèle d’apprentissage alimentaire existe dans les systèmes éducatifs des pays évolués, il consiste à suivre la démarche d’éviter l’obésité des élèves. C’est schématique, pourtant la globalité du sujet ramène à la santé publique et à l’avenir des populations. Ce qui fait une matière pédagogique entière ramenant à la nutrition des personnes en vue de les préserver des maladies.
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La situation actuelle est que les régimes alimentaires d’une grande partie de la population mondiale ne sont pas favorables à la santé. Se prémunir du pire convient de prendre des mesures dès l’âge de scolarisation des habitants. Les principes fondamentaux fondés sur des données probantes et nécessaires à une éducation alimentaire efficace, feront des objectifs orientés vers l’action qui s’alignent sur les contextes de l’élève.
Dans une recherche traitant les données sur l’apprentissage mettant l’alimentation en priorité, la nécessité d’influencer les pratiques et les perspectives alimentaires des enfants exige la « coappropriation » du processus d’apprentissage, en lui donnant la priorité à l’apprentissage par l’expérience, la garantie d’interactions ciblées, la complémentarité avec l’environnement alimentaire de l’école et au-delà et la participation significative des acteurs.
Ce qui est déjà décrit a été adapté par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et l’UNICEF, à partir du modèle d’apprentissage. Les principaux défis qui doivent être relevés, au-delà de la conception des programmes pour améliorer le succès de l’éducation alimentaire, y compris la nécessité de renforcer les capacités systémiques et d’améliorer l’environnement politique dans son ensemble.
Contrairement à de nombreuses matières scolaires, les écoliers ne partent pas de zéro lorsqu’ils apprennent la nourriture à l’école. Ils sont déjà, à partir du cadre familial, apprêtés avec des habitudes souvent élaborées avec soin. Par conséquent, les éducateurs doivent reconnaître le pouvoir d’un tel apprentissage alimentaire informel ou caché et capitaliser sur les bases de référence et les expériences antérieures des enfants.
Mais aussi, ils apportent avec eux des années d’expérience avec la nourriture, les croyances et les préférences, ainsi qu’une exposition aux tendances commerciales, aux intérêts politiques et aux normes et traditions socioculturelles, qui façonnent toutes ce que les enfants ressentent, savent et font dans leur vie quotidienne.
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Les programmes éducatifs qui intègrent les connaissances sur l’alimentation jouent un rôle clé dans la sensibilisation aux enjeux de santé, d’environnement et de durabilité. Voici quelques intérêts majeurs :
Éducation à la santé : Apprendre aux élèves à adopter une alimentation équilibrée pour prévenir les maladies chroniques et favoriser le bien-être.
Impact environnemental : Sensibiliser aux effets de la production alimentaire sur la planète, comme la préservation des écosystèmes et la réduction des émissions de gaz à effet de serre.
Consommation responsable : Encourager des choix alimentaires éclairés, en tenant compte du gaspillage alimentaire et des modes de production durables.
Culture et société : Valoriser les traditions culinaires tout en explorant les innovations alimentaires qui pourraient façonner l’avenir.
L’avenir de l’humanité et de la planète dépend en grande partie de la manière dont nous produisons et consommons notre nourriture. Les programmes scolaires jouent donc un rôle essentiel en formant les générations futures à des pratiques alimentaires plus durables et responsables. Qu’en pensez-vous ? 😊',
'save' => 'Les programmes éducatifs qui opposaient le savoir scientifique des programmes scolaires à la formation d’un bon citoyen issue des décideurs régnants, continuent d’évoluer. Cette dernière culture, très souvent religieuse, est constitutive du comportement est politisée par les orientations despotiques, est aussi fatalement déroutante du savoir.
Il est possible que le système éducatif en général soit en liaison avec le traçage de l’avenir commun, où la bonne santé de l’individu est insérée, dans le projet commun d’une société forte et équilibrée. Des pays du monde entier intègrent déjà l’éducation alimentaire dans une perspective de durabilité dans leurs programmes formels.
Afin de progresser vers une action collective pour un avenir alimentaire plus durable, la nécessité du changement pour définir les objectifs de l’éducation en fonction des priorités et des intérêts des enfants. Soit la nouvelle matière pédagogique serait consacrée à la nourriture avec toutes ses thématiques de gastronomie, d’effet sur le climat, d’exploitation environnementale et de traduction des sciences dans la santé.
Un modèle d’apprentissage alimentaire existe dans les systèmes éducatifs des pays évolués, il consiste à suivre la démarche d’éviter l’obésité des élèves. C’est schématique, pourtant la globalité du sujet ramène à la santé publique et à l’avenir des populations. Ce qui fait une matière pédagogique entière ramenant à la nutrition des personnes en vue de les préserver des maladies.
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Ce qui est déjà décrit a été adapté par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et l’UNICEF, à partir du modèle d’apprentissage. Les principaux défis qui doivent être relevés, au-delà de la conception des programmes pour améliorer le succès de l’éducation alimentaire, y compris la nécessité de renforcer les capacités systémiques et d’améliorer l’environnement politique dans son ensemble.
Contrairement à de nombreuses matières scolaires, les écoliers ne partent pas de zéro lorsqu’ils apprennent la nourriture à l’école. Ils sont déjà, à partir du cadre familial, apprêtés avec des habitudes souvent élaborées avec soin. Par conséquent, les éducateurs doivent reconnaître le pouvoir d’un tel apprentissage alimentaire informel ou caché et capitaliser sur les bases de référence et les expériences antérieures des enfants.
Mais aussi, ils apportent avec eux des années d’expérience avec la nourriture, les croyances et les préférences, ainsi qu’une exposition aux tendances commerciales, aux intérêts politiques et aux normes et traditions socioculturelles, qui façonnent toutes ce que les enfants ressentent, savent et font dans leur vie quotidienne.
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Éducation à la santé : Apprendre aux élèves à adopter une alimentation équilibrée pour prévenir les maladies chroniques et favoriser le bien-être.
Impact environnemental : Sensibiliser aux effets de la production alimentaire sur la planète, comme la préservation des écosystèmes et la réduction des émissions de gaz à effet de serre.
Consommation responsable : Encourager des choix alimentaires éclairés, en tenant compte du gaspillage alimentaire et des modes de production durables.
Culture et société : Valoriser les traditions culinaires tout en explorant les innovations alimentaires qui pourraient façonner l’avenir.
L’avenir de l’humanité et de la planète dépend en grande partie de la manière dont nous produisons et consommons notre nourriture. Les programmes scolaires jouent donc un rôle essentiel en formant les générations futures à des pratiques alimentaires plus durables et responsables. Qu’en pensez-vous ? ',
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