File "a-populi.htm"

Full path: /home/argothem/www/memo-20240224212532/a-populi.htm
File size: 17.29 KB
MIME-type: text/html
Charset: 8 bit

<!DOCTYPE HTML PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.01 Transitional//EN"
"http://www.w3.org/TR/html4/loose.dtd">
<html>
<head>
<title>Document sans nom</title>
<meta http-equiv="Content-Type" content="text/html; charset=iso-8859-1">
<script language="JavaScript" type="text/JavaScript">
<!--
function MM_reloadPage(init) {  //reloads the window if Nav4 resized
  if (init==true) with (navigator) {if ((appName=="Netscape")&&(parseInt(appVersion)==4)) {
    document.MM_pgW=innerWidth; document.MM_pgH=innerHeight; onresize=MM_reloadPage; }}
  else if (innerWidth!=document.MM_pgW || innerHeight!=document.MM_pgH) location.reload();
}
MM_reloadPage(true);

function MM_swapImgRestore() { //v3.0
  var i,x,a=document.MM_sr; for(i=0;a&&i<a.length&&(x=a[i])&&x.oSrc;i++) x.src=x.oSrc;
}

function MM_preloadImages() { //v3.0
  var d=document; if(d.images){ if(!d.MM_p) d.MM_p=new Array();
    var i,j=d.MM_p.length,a=MM_preloadImages.arguments; for(i=0; i<a.length; i++)
    if (a[i].indexOf("#")!=0){ d.MM_p[j]=new Image; d.MM_p[j++].src=a[i];}}
}

function MM_findObj(n, d) { //v4.01
  var p,i,x;  if(!d) d=document; if((p=n.indexOf("?"))>0&&parent.frames.length) {
    d=parent.frames[n.substring(p+1)].document; n=n.substring(0,p);}
  if(!(x=d[n])&&d.all) x=d.all[n]; for (i=0;!x&&i<d.forms.length;i++) x=d.forms[i][n];
  for(i=0;!x&&d.layers&&i<d.layers.length;i++) x=MM_findObj(n,d.layers[i].document);
  if(!x && d.getElementById) x=d.getElementById(n); return x;
}

function MM_swapImage() { //v3.0
  var i,j=0,x,a=MM_swapImage.arguments; document.MM_sr=new Array; for(i=0;i<(a.length-2);i+=3)
   if ((x=MM_findObj(a[i]))!=null){document.MM_sr[j++]=x; if(!x.oSrc) x.oSrc=x.src; x.src=a[i+2];}
}
//-->
</script>
<style type="text/css">
<!--
.Style1 {
	font-size: xx-large;
	color: #FF0000;
	font-weight: bold;
}
.Style2 {
	font-style: italic;
	font-weight: bold;
	font-size: 24px;
}
.Style3 {
	font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;
	font-weight: bold;
	font-style: italic;
}
.Style4 {font-size: 24px}
.Style5 {
	font-size: xx-large;
	font-style: italic;
}
.Style6 {
	font-size: 18px;
	font-style: italic;
	font-weight: bold;
	border-top-color: #CC66CC;
	border-bottom-width: medium;
}
.Style7 {font-size: 14px}
.Style9 {
	font-size: 24px;
	font-family: "Courier New", Courier, mono;
	font-weight: bold;
}
body {
	background-image: url(araignes.jpg);
	margin-left: 10px;
}
.Style10 {
	color: #FF0000;
	font-weight: bold;
	font-style: italic;
	font-size: 24px;
}
.Style11 {font-size: 24px; color: #FF0000; font-weight: bold; }
.Style12 {
	font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;
	font-size: 36px;
}
.Style13 {
	color: #FF0000;
	font-weight: bold;
}
.Style14 {
	color: #00CC00;
	font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;
	font-size: 36px;
	font-style: italic;
}
.Style15 {font-size: x-large}
.Style18 {
	font-size: 13px;
	font-family: "Times New Roman", Times, serif;
}
.Style19 {
	color: #FF3300;
	font-weight: bold;
}
.Style20 {
	font-size: 16px;
	font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;
}
-->
</style>
</head>

<body onLoad="MM_preloadImages('attn.gif','populiscop.1.gif')" tracingsrc="araignes.jpg" tracingopacity="100">
<div id="Layer1" style="position:absolute; width:924px; height:555px; z-index:1; left: 12px; background-color: #F5F5F5; layer-background-color: #F5F5F5; border: 1px none #000000; top: 422px;">
  <p class="Style4"><u><span class="Style3">Premi&egrave;re Tatemerie</span></u>/</p>
  <p align="center" class="Style2">DE VRAIS EMIGRANTS CHOISIS SONT ARRIVES</p>
  <p align="center" class="Style2">5 OURS SLOVENES SUSCITENT UNE TOLLEE&nbsp; </p>
  <p class="Style7"><em>Les QUATRE premiers, sur cinq b&eacute;n&eacute;ficiaires du statut d'&eacute;migrants choisis, sont d&eacute;j&agrave; pass&eacute;s au travers des fronti&egrave;res. Que cela agace les d&eacute;tracteurs de la nouvelle l&eacute;gislation fran&ccedil;aise en la mati&egrave;re et d&eacute;plaise aux partisans d'une autre fa&ccedil;on d'hospitalit&eacute; envers des &eacute;trangers en l'hexagone. Quatre nouveaux h&ocirc;tes, apr&egrave;s avoir &eacute;t&eacute; soumis &agrave; une rigoureuse s&eacute;lection, ont d&eacute;j&agrave; bien, et sans titre, d&eacute;barqu&eacute; en France. </em></p>
  <p class="Style7"><em>Aucun &ecirc;tre de cette vague n'a obtenu de visa. Ni celui octroy&eacute; par une ambassade ou un consulat fran&ccedil;ais, et encore moins celui d'entr&eacute;e dans l'espace Schengen, parce qu'ils ne sont pas concern&eacute;s par ce dernier. Ils sont europ&eacute;ens et viennent de Slov&eacute;nie. Ils ne sont pas plombiers, ni gardiens d'immeubles ou ramasseurs d'ordures. Leur t&acirc;che unique, habiter et se multiplier apr&egrave;s que leur existence a &eacute;t&eacute; &eacute;radiqu&eacute;e. </em></p>
  <p class="Style7"><em>Les animadversions locales ne sont pas rest&eacute;es sans r&eacute;actions devant cette intrusion. Avant que les nouveaux arrivants ne foulent le sol national, les cocardiers ont manifest&eacute; en souillant la fa&ccedil;ade de la mairie qui a autoris&eacute; cette venue. (36% de la population fran&ccedil;aise, selon un rapport officiel, se d&eacute;clarent ouvertement racistes, ils n'&eacute;taient que 25% aux derni&egrave;res &eacute;lections pr&eacute;sidentielles)(1). </em></p>
  <p class="Style7"><em>Puis le jour &laquo;&nbsp;J&nbsp;&raquo; de l'accueil et au moment de la descente du v&eacute;hicule qui a ramen&eacute; ces sp&eacute;cimens trop bruns, les opposants &agrave; cette immigration ont carr&eacute;ment organis&eacute;s des guet-apens afin de les harceler. Ils comptent m&ecirc;me les chasser, s'ils pi&eacute;tinent l&agrave; o&ugrave; ils ne sont pas admis. Ennemis jur&eacute;s de cette pr&eacute;sence, les opposants se sont embusqu&eacute;s pour les effrayer et histoire de marquer les territoires. </em></p>
  <p class="Style7"><em>Les r&eacute;calcitrants &agrave; cet immigration choisie, d'un type d'ailleurs qui ne concerne pas les humains, qualifient ces nouveaux arrivants pourtant l&eacute;gaux, non pas en clandestins mais en pr&eacute;dateurs. Il ne s'agit, en fait, que des 5 ours qui peupleront un versant des monts pyr&eacute;n&eacute;ens </em></p>
  <p align="center"><strong><em> N.E. Tatem</em></strong></p>
  <p><em>(1) Rapport de la CNCDH (Commission Nationale Consultative des Droits de l'Homme), remis mardi 21 mars au premier ministre. Notons que ce rapport signale la diminution des actes racistes en 2005. </em></p>
</div>
<div id="Layer8" style="position:absolute; width:921px; height:765px; z-index:8; left: 14px; top: 1711px; background-color: #F6F6F6; layer-background-color: #F6F6F6; font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif; font-weight: bold; font-style: italic; font-size: 24px; border: 1px none #000000;">
  <p><u>TROISIEME Tatemerie</u> / </p>
  <p align="center" class="Style19">FERME-LA BUSH&nbsp;! </p>
  <p align="center" class="Style7">Passage sur la pointe des pieds du plus puissant Despote. </p>
  <p class="Style18">La fois d'avant, pas celle du 21 juin 06, qu'il &eacute;tait pass&eacute; du c&ocirc;t&eacute; des eurocrates officiels, quelques 100 000 manifestants, lui ont fait entendre leur d&eacute;sapprobation de sa guerre. Oui, ils sont venus de toute la vieille Europe, telle qu'il d&eacute;signe le bercail de la civilisation occidentale, pour l'accueillir avec le boucan de r&eacute;volt&eacute;s inondant les rues pour faire exprimer le non-recevoir, du gendarme formel et du criminel malveillant. Depuis 2004, il vient en ind&eacute;sirable, &eacute;vitant les protocoles officiels et la communication dont s'est habitu&eacute;e son envergure, pour ne pas soulever les protestations. Surtout que ses alli&eacute;s lui faussent compagnie et grondent, &agrave; qui ne veut les entendre aussi, les humbles de plusieurs r&eacute;gions de la Terre qui s'assument d&eacute;nonciateurs de l'imp&eacute;rialisme primaire. </p>
  <p class="Style18">Surtout l&agrave; o&ugrave; il a sem&eacute; la guerre et ses trains de mis&egrave;res, il d&eacute;barque sans s'annoncer. Oui&nbsp;! Du c&ocirc;t&eacute; des puits p&eacute;trolif&egrave;res, pr&eacute;tendument pour raison de s&eacute;curit&eacute; et se sachant la cible de l'ancienne chaire &agrave; canon &laquo;&nbsp;islamo-terroriste&nbsp;&raquo; de la CIA , il transite en voleur arborant le discours de policier. Aussi bien le terrorisme s&eacute;vissant sur la face du globe que les plus abjectes BOMBES ATOMIQUES, telle est l'uvre des Pr&eacute;sidents du pays o&ugrave; la libert&eacute; et la paix sont &agrave; la fois pi&eacute;g&eacute;es et brandies. Et le dernier en date, en dit long. </p>
  <p class="Style18">Avec des m&eacute;contentements de plus en plus acerbes, il risquait de se faire chasser, lui le puissant. Ah&nbsp;! La rue&nbsp;! L'irr&eacute;parable humiliation pour l'intouchable qu'il est, allait se produire. M&ecirc;me plus barricad&eacute;e que la fois pr&eacute;c&eacute;dente, la rue reste l'ar&egrave;ne des victoires des petits peuples. </p>
  <p class="Style18">De nos jours rares les pays o&ugrave; on le recevrait &agrave; bras ouverts, sans que la rue ne marque les annales de l'histoire. Loin du bureau ovale et de la maison dont la blancheur ne fait que ternir, des populations ont d&eacute;cid&eacute; de mettre &agrave; nu le plus couvert des Pr&eacute;sidents. L'Am&eacute;rique Latine, toute et enti&egrave;re, se pr&eacute;pare &agrave; sortir du giron malfaisant, pr&eacute;dateur et aux men&eacute;es vertigineuses pour l'humanit&eacute;. </p>
  <p class="Style18">Devant le parlement europ&eacute;en, il justifiait l'invasion de Bagdad. Cette fois, le bagne de Guantanamo n'a rien d'humain et de conventionnel. Kidnapp&eacute;s les mercenaires, de la guerre froide dont l'enjeu est toujours l'expansion de l'empire du mal, y sont enferm&eacute;s sans perspectives que la mort. </p>
  <p class="Style18">L'intrusion devant les &eacute;lus europ&eacute;ens de Bush 2, juin 06, a &eacute;t&eacute; gard&eacute;e secr&egrave;te jusqu'au moment o&ugrave; les t&eacute;l&eacute;visions l'ont furtivement montr&eacute;. Sic&nbsp;! Les observateurs, m&ecirc;me les plus avis&eacute;s, ont encaiss&eacute; sans brancher et sont rest&eacute;s silencieux apr&egrave;s coup. </p>
  <p class="Style18">Aussi bien pour l'invasion guerri&egrave;re de Bagdad que pour les ge&ocirc;les tropicales ou a&eacute;roport&eacute;es, de nouveaux acolytes et hommes de mains sont trouv&eacute;s. Les avions prisons ont le droit de survoler le territoire fran&ccedil;ais mais aucune trace n'a &eacute;t&eacute; trouv&eacute;e, &agrave; ce jour, de leurs escales. Avec la nouvelle Europe, ils ne manquent pas, les complices que manipul&eacute;s par ONG et Think Tank. </p>
  <p class="Style18">En 2004, la foule avait su, bien &agrave; l'avance qu'il allait venir, la guerre pr&eacute;ventivement mensong&egrave;re (alliance de la dictature de Saddam avec le terrorisme et l'arsenal nucl&eacute;aire) battait son plein. Cette fois sans transparence, des quatre &agrave; cinq milles sbires que son puissant pays a longtemps utilis&eacute; contre des peuples vuln&eacute;rables (non pas Cuba, la Chine et m&ecirc;me la Russie de Poutine), 3 suicides sont d&eacute;clar&eacute;s en actes anti-am&eacute;ricains. Mais les dictatures qu'il dit chasser, pour les remplacer de technocraties &agrave; la solde d'objectifs malsains, sont de r&eacute;elles op&eacute;rations de d&eacute;stabilisation de peuples qui ont pour destin le malheur. Et qui deviennent aussi et surtout champ du terrorisme qui se dit, pour l'instant, r&eacute;sistant. </p>
  <p class="Style18">A vrai dire, en &eacute;vitant la menace terroriste, les USA ne font que l'amplifier&nbsp;! </p>
  <p align="center" class="Style20">N.E. Tatem</p>
</div>
<div id="Layer7" style="position:absolute; width:925px; height:501px; z-index:7; top: 996px; left: 7px; background-color: #F5F5F5; layer-background-color: #F5F5F5; border: 4px none #000000; border-top-color: #CC9966;">
  <p align="left" class="Style4"><u><span class="Style3">Seconde  Tatemerie</span></u>/</p>
  <h2 align="center" class="Style5">Mon petit soldat de plomb</h2>
  <p align="center" class="Style9">Un chef de gouvernement alg&eacute;rien </p>
  <p class="Style7"><em>Un bataillon de figurines, faites de plomb, repr&eacute;sentant les arm&eacute;es de Bonaparte, tel &eacute;tait le meilleur jouet que j'ai eu quand j'&eacute;tais enfant. Il a marqu&eacute; ma vie. Il m'a laiss&eacute; beaucoups de souvenirs et son poids reste grav&eacute; dans ma m&eacute;moire. A chaque fois, depuis et jusqu'&agrave; ce jour, que je porte un truc pas l&eacute;ger, je me le rapelle. </em></p>
  <p class="Style7"><em>Parmi les soldats et les officiers peinturul&eacute;s de toutes les couleurs, il y a avait deux personnages en tabliers blancs. Je les, distinguais, et les ai pris pour deux infirmiers. Mon p&egrave;re m'expliqua, que seul celui qui a une croix rouge au dos s'occupe de la sant&eacute; du r&eacute;giment. Il est, visible avec ce signe, conventionnellement interdit que l'ennemi lui tire dessus. Le second est enseignant, me dit mon p&egrave;re. </em></p>
  <p class="Style7"><em>Parmi le bataillon qui pesait bien plus de trois kilos, car fait du m&eacute;tal tendrement maniable mais pesant, il est le seul &agrave; porter, outre son tablier blanc, une barbe. Taill&eacute;e de pr&egrave;s, elle lui d&eacute;corait impeccablement le visage, non pas comme Marx ou Che Guevara qui ne se donnaient point la peine de soigner leur tignasse faciale qui leur allait, en ic&ocirc;ne, comme une touffe d'arbrisseaux de maquis montagneux ou d'alfa de steppe. Celle de mon soldat miniature, ressemble davantage &agrave; celle d'un taliban maniaque d'hygi&egrave;ne pour berner le monde, qu'&agrave; celle d'un r&eacute;volutionnaire du genre Amilcar Cabral dont le geste d&eacute;passe l'apparence.</em></p>
  <p class="Style7"><em>Mon p&egrave;re me persuada que l'arm&eacute;e de l'empereur tenait beaucoup &agrave; l'&eacute;ducation et luttait contre l'analphab&eacute;tisme, c'est pour cela qu'elle avait toujours un enseignant dans ses rangs. Au bout de quelques jours de r&eacute;jouissance r&eacute;cr&eacute;ative avec ce personnage lourd, je l'ai &eacute;gar&eacute;. La figurine en barbe et tablier  d&eacute;pourvu de croix rouge, a disparu du lot, comme volatilis&eacute;e. On dirait qu'elle avait fondu dans un feu ou partie avec l'eau de nos toilettes o&ugrave; je perdais souvent, par m&eacute;garde, quelques objets. </em></p>
  <p class="Style7"><em>Je l'ai longtemps pleur&eacute;, chagrin&eacute; de cette perte. Je risquai de d&eacute;primer. Le joujou disparu dont j'avais pourtant son semblable, laissa un vide dans mon esprit. Des semaines puis des mois, ma peine fut grande. Mon p&egrave;re, inquiet de mon &eacute;tat, n'a pas cess&eacute; de me consoler. En vain, j'&eacute;tais touch&eacute; au plus profond de moi, d'avoir perdu soldat que je consid&eacute;rai valeureux. Comme si j'ai perdu un tout un combat de vie ou de mort, et toutes les guerres que j'organisais avec toute la collection. </em></p>
  <p class="Style7"><em>Finalement, mon g&eacute;niteur a r&eacute;ussi &agrave; juguler mes pleurs. Me promettant qu'une fois grand, je retrouverai mon petit soldat de plomb. </em></p>
  <p class="Style7"><em>Depuis que Belkhadem, sorti de dessous l'aile du burnous d'un certain feu Bitat (ancien pr&eacute;sident de l'assembl&eacute;e nationale alg&eacute;rienne, premier &agrave; d&eacute;couvrir dans un enseignant sans grade la marionnette &agrave; la mesure de la maniabilit&eacute; de tous les doigts), a &eacute;t&eacute; d&eacute;sign&eacute; &agrave; la t&ecirc;te du gouvernement alg&eacute;rien, j'ai aper&ccedil;u le teint, les yeux, la t&ecirc;te, la posture et les traits  de mon petit soldat de plomb. </em></p>
  <p class="Style7"><em>Je suis, enfin comme me l'a promis mon p&egrave;re, s&ucirc;r d'avoir retrouv&eacute; mon jouet. Mon petit soldat de plomb. </em></p>
  <p><em>Il fera, dor&eacute;navant, l'objet de beaucoup de mes jeux de grand. Les ris&eacute;es de ceux qui je servirai &agrave; ceux qui veulent les lire. </em></p>
  <p align="center" class="Style6">N.E Tatem </p>
</div>
<div id="Layer2" style="position:absolute; width:569px; height:213px; z-index:2; left: 333px; top: 98px;"><img src="Sans.gif" width="600" height="300"></div>
<div id="Layer3" style="position:absolute; width:416px; height:37px; z-index:3; left: 14px; top: 36px;">
  <div align="left">
    <p align="left" class="Style1">AVANT-GO&Ucirc;T, avant la rentr&eacute;e 2006.<span class="Style15"> LA SERIE </span><u><span class="Style14">&quot;Tatemeries&quot; </span></u></p>
    <p class="Style11">pour fixer la ligne de </p>
    <p class="Style11 Style12">notre statire sur le WEB </p>
  </div>
</div>
<div id="Layer4" style="position:absolute; width:329px; height:82px; z-index:4; left: 10px; top: 278px;">
  <p><a href="chart.htm" onMouseOut="MM_swapImgRestore()" onMouseOver="MM_swapImage('Image2','','attn.gif',1)"><span class="Style13">CLIQUER -ici----&gt;&gt; </span> <img src="billet.jpg" name="Image2" width="164" height="84" border="0"></a></p>
  <p class="Style10">SVP, ALLER. vers LA CHARTE </p>
</div>
<div id="Layer5" style="position:absolute; width:200px; height:873px; z-index:5; left: 944px; top: 21px;"><a href="scop.htm" onMouseOut="MM_swapImgRestore()" onMouseOver="MM_swapImage('Image3','','populiscop.1.gif',1)"><img src="populiscop.gif" name="Image3" width="190" height="1050" border="0"></a></div>
<div id="Layer6" style="position:absolute; width:532px; height:71px; z-index:6; left: 391px; top: 25px;"><img src="bannier4.gif" width="536" height="72"></div>
</body>
</html>